« Armand de Severac » : différence entre les versions
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Il fit son éducation entouré des plus fines lames et des meilleurs soldats de son temps.<br> | Il fit son éducation entouré des plus fines lames et des meilleurs soldats de son temps.<br> | ||
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Version actuelle datée du 14 mars 2024 à 13:48
Informations :
| Nom | Armand de Severac |
|---|---|
| Pseudo | ATN |
| Rôle | Panzer |
| Grade | Soldat |
| Contact |
« Réfléchir c'est déjà désobéir »
- Citation du Premier bataillon Panzer de la Caradoc.
Enfance et adolescence
Il est le fils du plus vieux capitaine des faucons noirs de Foulqueue, Jean « l'ours » de Severac.
Né d'une fille de peu dans un bordel lors de l'une des célèbres campagnes de Foulqueue, Jean le prit avec lui quinze années plus tard, lorsqu'il fut en âge de lui servir d'écuyer, alors que les faucons repartaient au combat.
Il fit son éducation entouré des plus fines lames et des meilleurs soldats de son temps.
Martial lui apprit tout ce qu'il savait lorsque Jean laissait à Armand un peu de temps libre.
Et il apprit la vie de mercenaire au coté de Nech qui n'en ratait jamais une ; alcool et femmes, tout y passa.
Vie adulte
Lorsque Renée prit la suite de Foulqueue Terra, Jean prit part pour l'honneur à la rébellion contre le nouveau comte de Castellanjou.
Son fils lui servit d'écuyer lors de l'assaut, mais au cœur de la bataille son père succomba et Armand dut prendre l'épée pour défendre la dépouille de son paternel assaillit par l'armée de Queutardie.
Une fois la bataille terminée, et les rebelles de Castellanjou en déroute. Armand exécuta une sépulture sommaire, sachant bien que les troupes de Renée ou les renforts de Queutardie viendrait tôt ou tard frapper à la vieille masure des Severac.
Lorsque ceux ci vinrent à la porte de la demeure familiale pour la piller et la brûler, le jeune Severac avait déjà empaqueté une armure et quelques lames. Après avoir franchis les frontières de Castellanjou, il lui apparut urgent de trouver quelqu'un pour employer ses maigres talents et son épée, il avait perdu de vue ses anciens compagnons mais ils n'étaient pas du genre à passer inaperçus. Au pire il savait que Sam toujours au courant des derniers ragots ne raterait pas une rumeur parlant d'anciens Faucons noir en exil.
Sur la route il fut rattraper par son oncle Kaënis de Severac, qui avait reçut une lettre de Jean l'enjoignant de se joindre à la bataille de Castellanjou du côté des rebelles, mais quand il arriva tout était terminé et les terres de Severac récupéré par le Comte d'Anjou.
À présent
Il leur a fallut quelques mois pour rattraper un groupe de fuyard, et faire un bout de chemin avec eux.
Armand et Kaënis ont repéré la trace de Nech et des autres, il semble qu'ils aient signés un contrat dans la fameuse Compagnie Caradoc.
Voilà comment le périple d'Armand débuta.
1211
Le serment fut solennel, et il devint l'un des leurs.
Il dut prouver bien rapidement qu'il avait sa place dans la ligne des Panzers.
Et même lorsque Argus approcha, il tenu la ligne car la retraite n'avait pas été ordonnée, ou peut être ne l'avait-il simplement pas entendue...
À force de batailles, Armand a gagné le droit de revendiquer sa propre terre, et y trouva enfin le refuge qui lui manquait.
Avec Demm et Jacoppo, ils convinrent de s'associer pour unir leurs établissements respectifs afin de créer une « rue des plaisirs » à Nova Breutonnia, quelque chose qui leur rappellera leurs années d'apprentissage du métier de mercenaire !