Catégorie:Patriste

De Caradoc

Les Patristes sont une communauté de moines cénobites, localisée dans la région du Ranceval et particulièrement réputés pour leur production de glaires d'abbaye. L'abbé Grouillot est sans doute le moine Patriste le plus connu de nos jours, il fut le précepteur de Rancelot dans ses jeunes années.

Saint-Patriste

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Saint-Patriste le bien nommé, peinture représentant le Saint protecteur des enfants priant â genoux vêtu de sa seul ceinturon caractéristique, après avoir fait don de sa bure à deux jeunes enfants dans le besoin..
Peinture représentant le supplice de saint Patriste qu'il accueil avec détachement préférant porter son amour vers le sourire ingénue d'un enfant.

Les écrits retraçant la vie de Saint-Patriste le bien nommé sont pour la plupart fort anciens et mentionnent peu de faits remarquables dans son existence. Il est surtout connu par le biais de ses représentations sous les traits d'un moine débonnaire emplie de joie alors même que l'on vient de lui couper la verge. Le quantité d'enluminure dépeignant cette scène qui furent produites à l'abbaye des moines Saint Patristes de Ranceval avant 887 est prodigieuse, mais chute nettement après la découverte de la fabrication des glaires d'abbaye. Quoi qu'il en soit, le fait notable de ce Saint bretonnien est qu'il n'aurait pas saigné lors de son émasculation et qu'il aurait eu ces mots traduits du vieux bretonnien : "Ken vaguo Prech't ma bout'keu, ja venti me reuchbat la marmouille" soit "Qu'ils s'amusent avec le bout qu'ils m'ont pris, je préfère m'occuper des enfants" ce qui le place comme étant le Saint protecteur des bambins et incarnant l'insouciance de la jeunesse.

Glaire d'Abbaye des moines Patristes

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Les glaires d’abbayes sont issues d'un processus de sélection très rigoureux opéré par les plus expérimentés des moines Patristes.

Le climat le plus souvent froid et humide de la Région de Ranceval ne permettant pas la culture pérenne de céréales traditionnelles, certains ordres de moines de cette contrée méconnue durent user d'ingrédients de remplacement pour produire les saints breuvages que tout homme de foi est en droit d'attendre en contrepartie d'une vie de dévotion. Dans son guide des curiosités culinaires de Bretonnie, le chroniqueur-farfouilleur Guillaume de Baisenville relate l'étonnante découverte que firent les moinillons du couvent des Saint-Patristes en 887, tandis que reclus dans leur cellule pour une histoire de mœurs, ils versèrent le contenu du crachoir de leur chambrée dans la bouche de leur plus jeune compagnon pour s'amuser un peu. Celui-ci au lieu de dégobiller tout de go, afficha un sourire de satisfaction et demanda s'il n'en restait pas un peu au fond du crachoir! En effet, les glaires fermentées dans le bocal en cuivre oxydé, combinées avec les températures et l'humidité des chambres monacales, produisaient une étonnante mixture à la fois âpre et sucrée au léger goût de fruits à coque, ressemblant à un sirop légèrement alcoolisé. Ainsi fut découvert la recette des glaires d'abbaye, dont la production allaient croître durant les siècles suivants, alliant parfois des techniques de double ou triple fermentation afin d'obtenir plus de saveur. Seule la texture épaisse et collante peu avenante dudit breuvage allait empêcher sa diffusion en dehors des contrées de Ranceval. Aujourd'hui encore, bon nombre d'amateurs de glaires fermentées vous assureront que blonde, brune ou ambrée, les meilleures glaires d'abbaye sont celles foulées au pied par les moines Saint-Patristes.

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