« Moine » : différence entre les versions

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===Expressions===
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* <b>Faire tomber la chasuble :</b> se disait autre fois d'un moine qui partait combattre pour son Ordre. Le moine déposait alors sa chasuble pour passer le gambison, la broigne ou la maille suivant ce qu'on lui fournissait. Souvent mal préparés, les moines qui ne perdaient pas la vie dans les combats étaient trop peu nombreux pour que l'expression <q> Renfiller sa chasuble </q> soit elle aussi usitée. De nos jours, faire tomber la chasuble est plutôt synonyme de manque de foi et de dépravation...<br><q><i> Le frère Pignole avait fait tomber sa chasuble depuis longtemps déjà, aussi on le laissait rarement seul en présence des nouveaux moinillons de l'abbaye de Saint-Patriste. </i></q> Rancelot, Livre des Ranceurs, Tome I.
* <b>Faire tomber la chasuble :</b> se disait autre fois d'un moine qui partait combattre pour son Ordre. Le moine déposait alors sa chasuble pour passer le gambison, la broigne ou la maille suivant ce qu'on lui fournissait. Souvent mal préparés, les moines qui ne perdaient pas la vie dans les combats étaient trop peu nombreux pour que l'expression <q> Renfiller sa chasuble </q> soit elle aussi usitée. De nos jours, faire tomber la chasuble est plutôt synonyme de manque de foi et de dépravation...<br><q><i> Le frère Pignole avait fait tomber sa chasuble depuis longtemps déjà, aussi on le laissait rarement seul en présence des nouveaux moinillons de l'abbaye de Saint-Patriste. </i></q> [[Rancelot]], [[Livre des Ranceurs, Tome I]].
* <b>Une moinette :</b> une <q> moinette </q> n'est absolument pas le féminin d'un moine ! Ce terme s'emploie pour désigner une femme qui s'amuse à détourner les moines de leurs saints préceptes, le plus souvent par le pécher de chair...<br><q><i> Verrunique était connue pour être une moinette, elle venait tous les jours faire son pissou devant la fenêtre des frères copistes dont les travaux s'en retrouvaient fortement perturbés </i></q> Rancelot, Livre des Ranceurs, Tome I.
* <b>Une moinette :</b> une <q> moinette </q> n'est absolument pas le féminin d'un moine ! Ce terme s'emploie pour désigner une femme qui s'amuse à détourner les moines de leurs saints préceptes, le plus souvent par le pécher de chair...<br><q><i> Verrunique était connue pour être une moinette, elle venait tous les jours faire son pissou devant la fenêtre des frères copistes dont les travaux s'en retrouvaient fortement perturbés </i></q> [[Rancelot]], [[Livre des Ranceurs, Tome I]].


===Les différentes sortes de moines===
===Les différentes sortes de moines===

Version du 22 janvier 2020 à 13:11

Les moines

Les moines sont des personnes dévouées corps et âmes à une divinité, un(e) Saint(e), ou une cause plus ou moins noble se rapportant à une religion, et qui s'efforcent de respecter des préceptes de vie sensés permettre leur élévation spirituelle.

Expressions

  • Faire tomber la chasuble : se disait autre fois d'un moine qui partait combattre pour son Ordre. Le moine déposait alors sa chasuble pour passer le gambison, la broigne ou la maille suivant ce qu'on lui fournissait. Souvent mal préparés, les moines qui ne perdaient pas la vie dans les combats étaient trop peu nombreux pour que l'expression Renfiller sa chasuble soit elle aussi usitée. De nos jours, faire tomber la chasuble est plutôt synonyme de manque de foi et de dépravation...
    Le frère Pignole avait fait tomber sa chasuble depuis longtemps déjà, aussi on le laissait rarement seul en présence des nouveaux moinillons de l'abbaye de Saint-Patriste. Rancelot, Livre des Ranceurs, Tome I.
  • Une moinette : une moinette n'est absolument pas le féminin d'un moine ! Ce terme s'emploie pour désigner une femme qui s'amuse à détourner les moines de leurs saints préceptes, le plus souvent par le pécher de chair...
    Verrunique était connue pour être une moinette, elle venait tous les jours faire son pissou devant la fenêtre des frères copistes dont les travaux s'en retrouvaient fortement perturbés Rancelot, Livre des Ranceurs, Tome I.

Les différentes sortes de moines

Il y a quatre sortes de moines, qu'on se le dise une bonne fois pour toute.

  • Les cénobites : la plupart des moines vivent en communauté et suivent des règles de vie terrestres strictes visant à les guider vers le salut éternel.
  • Les anachorètes : ce sont les ermites, ils vivent dans la solitude suivant les préceptes du noble ennui et de l'abstinence radicale édictés par le Père Thieurry L'ermite à son retour miraculeux de la déculottée du col du feu-noir à la frontière de l'Empire et de la Breutonnie.
  • Les sarabaïtes : ces moines vivent en communauté mais chacun pourra suivre ses propres règles ou prier le saint qu'il voudra. Comme parmi eux se trouve souvent d'anciens moines-guerriers, il n'est pas rare que de violentes échauffourées éclatent dans les couvents pour des prétextes divers : un ancien moine Patriste pourra rentrer dans une rage folle pour une histoire de pieds sales, tandis qu'un frère garde-cuite Bernardin forcera lourdement ses voisins à prendre la pire biture de leur existence...
  • Les gyrovagues : moine voyageur parfois vagabond, les principes de vie du gyrovague peuvent grandement fluctuer en fonction des opportunités. Ils apprécieront qu'on leur offre le gîte et le couvert mais demanderont la meilleure couche et peut-être même que la bonne les y accompagne.

Les moines de la Compagnie Caradoc

Les moines connus à ce jour dans la Compagnie sont :

Chez les Gollikiens

Chez les Bernardins

Chez les Patristes

  • Rancelot, qui fut élevé en partie dans sa jeunesse au monastère du Ranceval mais faillit à devenir un sage ecclésiaste... Il en demeure que le Capitaine Vétéran de la compagnie est une grande source de connaissance concernant cet ordre.

Autres

  • Les moinillons de Troll-cale-en-bourg en 1209 : ils étaient au nombre de quatre et disaient venir de l'abbaye de Troll-cale-en-bourg en Gascognie mais aucun de nos meilleurs érudits en relation avec des ouvrages géogrophiques de qualité n'ont pu établir précisément de quel diocèse il était question... Le mystère reste entier car ce groupe de moines se volatilisa après la campagne.
  • La Panzerette Pascale Hyne : élevée par ses sœurs de la Lochegarde au rang de Feld Capitaine dès 1212, Pascale Hyne épousadéfinitivement l'ensemble des préceptes de Sainte-Marie Mamelonne en 1216 lorsqu'elle devint l'intendante de la Championnie Caradoc pour le DrachenFest. Suite à cela elle prit de plus en plus d'importante au sein de l'Ordre et fut admise dans les hautes sphères du culte en Breutonnie sous le nom religieux de Sœurine Mamelle .