« Rois Breutonniens » : différence entre les versions

De Caradoc
m (→‎Seraphin le Malin : ajout de la construction du Mont Saint-Missel)
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:Durant son règne de vingt-et-un ans, il décide également de renommer le <q> Grand Duché de Parfait Autarquie </q> en un sobre <q> [[Pays Autarque]] </q> car cela sonnait moins séditieux.
:Durant son règne de vingt-et-un ans, il décide également de renommer le <q> Grand Duché de Parfait Autarquie </q> en un sobre <q> [[Pays Autarque]] </q> car cela sonnait moins séditieux.


:Il meurt entre les cuisses de son épouse à l'âge fort honorable de soixante-sept ans, ce qui en fait un des rois Bretonniens à avoir vécu le plus longtemps et le seul être décédé d'une mort presque naturelle.
:Il meurt entre les cuisses de son épouse à l'âge fort honorable de soixante-sept ans, ce qui en fait un des monarques Bretonniens à avoir vécu le plus longtemps et le seul être décédé d'une mort presque naturelle.


==Fulbert le Bilieux==
==Fulbert le Bilieux==

Version du 14 mai 2019 à 01:38


Les Rois Bretonniens :

(liste non exhaustive suivant un semblant d'ordre chronologique)

Charles Ier, dit Charles le Faible

Un cœur à prendre Maturine, Duchesse de Bricotin, qui mit terme malgré elle à l'appétit des conquérants barbares Brotonniens.
Il signa l'accord de paix de Virnouille-sur-Hydre en 924 avec le terrible chef de guerre barbare Gouledebro après plus d'une année de pillage et de victoires écrasantes sur les troupes bretonniennes qui tentaient de s'opposer à l'invasion. Le Roi Charles, également en proie avec une forte épidémie qui ravageait le Sud du pays, n'avait d'autre choix que de proposer des négociations, fussent-elles désastreuses pour le royaume. Alors qu'il prévoyait déjà de léguer l'Aquitainie et une partie de l'Autarquie s'il le fallait, il eut la présence d'esprit d'amener ses trois filles, Maturine son aînée, veuve de feu le Duc de Bricotin et mère de cinq enfants en bas âge, sa cadette Vasoline, Baronne de Vardounie et de Parinavie, déjà mariée trois fois, et enfin sa dernière, Piridine de Bavoire, fillette fluette atteinte de la  maladie des anges , aussi appelée la vitiligale, et âgée d'à peine 14 ans. Alors que les discussions piétinaient, les barbares commencèrent à bousculer les diplomates Bretonniens, jusqu'à faire tomber à la renverse le Roi Charles derrière lequel s'était dissimulée la jeune Piridine jusqu'à lors. À la vue de la jeune princesse au teint diaphane, les terribles envahisseurs stoppèrent toutes velléités, l'immense Gouledebro posa un genoux à terre et pointa la fillette du doigt tout en marmonnant des paroles obscures les yeux chargés de larmes coulant le long de ses joues velues. Finalement, le Roi de Bretonnie n'eut qu'à céder les fiefs des ses filles et la promesse du mariage entre Gouledebro et Piridine, qui semblait être la vision exacte d'une de leur déesse Nordique. Quelque peu décontenancé, le Roi proposa tout de même d'ajouter les mains de ses deux autres filles : Vasoline fut choisie par un colosse recouvert d'une peau d'ours des plus odorante, mais personne ne voulut de Maturine, à tel point que les envahisseurs restituèrent d'eux-mêmes les territoires de basse Parinavie. Ivre de chagrin et pétrie de honte de n'avoir même pas été défendue par son père le Roi, la pauvre Maturine sauta dans la rivière depuis la grand-muraille de Virnouille avec ses cinq enfants. On prétend que les soirs de pleine lune, on peut apercevoir dans l'Hydre cinq visages de bambins en pleurs...

Seraphin le Malin

Le Roi Serpahin et sa jeune épouse France de Breutagne.
Le bas peuple ne peut imaginer la lourde tâche qui repose sur les épaules de nos héroïques monarques Bretonniens
Amandistar de Chalaburne, Grand érudit et conseiller du Duc de Chiampagne.
De par son mariage avec l'héritière du dernier Roi Fainéant, France de Breutagne, il rattacha définitivement les terres de Breutagne au royaume de Bretonnie en l'an 1004.
En 1008, alors que les seigneurs de Breutagne ce font de plus en plus critiques envers le pouvoir royal et tentent des actions de rébellions, le Roi Seraphin donne finalement son accord pour la construction d'un édifice d'une envergure encore jamais vue auparavant : l'abbaye du Mont Saint-Missel, dont l'accès se fera par une route située depuis le Duché qui aura le plus participer à sa construction entre celui de Breutagne et de Norwandie et qui bénéficiera donc de toutes les taxes sur les marchandises et des pèlerinages qui y transiteront. Cela eut pour effet de faire oublier aux Breutons leur désir d'indépendance et les monta contre les Norwands dans une lutte effrénée qui appauvrit les deux Grands-Duchés, obligés de s'endetter chacun auprès de la couronne afin de supplanter son voisin, renforçant d'autant plus l'emprise du Roi sur ces deux Grands-Duchés. À cause d'un phénomène d'envasement de la route de Breutagne, c'est finalement la Norwandie qui gagnera cette bataille des contributeurs après quarante années de construction.
Durant son règne de vingt-et-un ans, il décide également de renommer le Grand Duché de Parfait Autarquie en un sobre Pays Autarque car cela sonnait moins séditieux.
Il meurt entre les cuisses de son épouse à l'âge fort honorable de soixante-sept ans, ce qui en fait un des monarques Bretonniens à avoir vécu le plus longtemps et le seul être décédé d'une mort presque naturelle.

Fulbert le Bilieux

Plus colérique que guerrier, le Roi Fulbert changea souvent de vaiselle royale.

Aymeric le Fade

Roi de Bretonnie du temps de Caradoc et des raids du terribles Calife Noir à la fin du XIème siècle. Il s'illustra par une gestion totalement dilettante du problème mais s'octroya tout de même le mérite d'avoir employé ce bon Caradoc à ramener les filles captives du Duc de Mortadelle en Bretonnie.

Lambric le Court

Fils aîné d'Aymeric le Fade, le chétif Lambric régna 63 jours en tout et pour tout. Son seul acte notable fut le début de la rédaction de la Grande Réforme du Royaume qu'il voulu mettre en place après 62 jours d'intense réflexion sans sortir de son dispensaire, et qui se compose d'un seul et unique ouvrage manuscrit où l'on peut lire en page de garde Grande Réforme suivi de quelques tâches d'encre dues au début de la quinte de toux qui l'emporta au petit matin après une nuit de supplice.

Charles le Coq, dit Charles Un, dit Charles Coquin

Deuxième fils du Roi Aymeric, le petit Charles, surnommé Le Coq depuis son enfance car il aimait à se pavaner à la cour en grimpant sur les remparts pour crier à tue-tête qu'il était plus fort que son frère aîné, aurait normalement dû prendre Charles II comme nom de souverain royal. Mais il avait en horreur l'idée de prendre la suite de Charles Ier, dit le Faible , qui selon lui était un couard et n'aurait jamais dû céder un lopin de terre au terribles Nordiques qui fondèrent par la suite le duché de Brotonnie. Aussi, Charles le Coq décida qu'on l’appellerait Charles Un plutôt que deux . Ce choix étonnant et à l'encontre de toutes les règles de succession arithmétiques lui valut le surnom de Coquin , contraction de Coq et de Un comme le comprennent aisément les érudits à la première lecture.
Au terme d'un règne où il multiplia les provocations envers les royaumes voisins sans jamais être pris au sérieux, il se lança finalement dans une reconquête de ce qu'il appelait le territoire perdu de Brotonnie . Cette énième provocation fut froidement accueillit par les Brotonniens qui mirent un terme aux velléités de Charles Coquin après une campagne d'une semaine de marche et d'une journée et demi de bataille.

Cloarec le Ruminant

Boniface II Cœur de Bœuf

Dernier Roi à avoir gouverné la Bretonnie, il su maintenir une paix durable avec l'Empire.
À sa mort en 1205, il laisse un héritier trop jeune pour reigner et demande à son frère Guy de gourverner en attendant la majorité du Prince Johann Ier.

Johann Ier

Prince héritier du Royaume de Bretonnie, Johann Ier est soumis à la loi Graalique remise en vigueur par la régence successive de son oncle puis de sa tante. Il doit de ce fait accomplir trois Hauts-Faits d'arme avant de pouvoir prétendre au trône, mais doit déjà apprendre à ne pas tomber de cheval dans un premier temps.