« Zacq » : différence entre les versions

De Caradoc
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Heureusement pour lui il était vif, rapide et sournois, et avait été habitué par son père dès son plus jeune âge à encaisser et esquiver les coups et à toujours retomber sur ses pattes... « Le chat » que les garnements du village l'appelaient... De tels réflexes de survie attirèrent l'attention d'une petite bande de brigands du <i>Bois du  Roy</i> qui lui confièrent quelques tâches pour le tester. Les ayant remplies haut la main, l'adolescent fut intégrer à la bande et commença ses véritables premiers larcins avec les autres. Mais très vite, leur territoire de jeu lui parut bien petit...
Heureusement pour lui il était vif, rapide et sournois, et avait été habitué par son père dès son plus jeune âge à encaisser et esquiver les coups et à toujours retomber sur ses pattes... « Le chat » que les garnements du village l'appelaient... De tels réflexes de survie attirèrent l'attention d'une petite bande de brigands du <i>Bois du  Roy</i> qui lui confièrent quelques tâches pour le tester. Les ayant remplies haut la main, l'adolescent fut intégrer à la bande et commença ses véritables premiers larcins avec les autres. Mais très vite, leur territoire de jeu lui parut bien petit...


C'est à peu près à cette époque-là qu'il apprit, lors d'une soirée de beuverie avec son pitoyable géniteur, que son grand-père maternel était un formidable escroc et un redoutable coureur de jupons... Il paraitrait même que la moitié des jeunes gens de la contrée seraient des bâtards de son aïeul.
C'est à peu près à cette époque-là qu'il apprit, lors d'une soirée de beuverie avec son pitoyable géniteur, que son grand-père maternel était un formidable escroc et un redoutable coureur de jupons... Il paraitrait même que la moitié des jeunes gens de la contrée seraient des bâtards de son aïeul. Jacq décida alors de franchir un cap et alla seul tenter sa chance dans la tristement célèbre guilde des « Sales Frappes de La Chênaie » : pillages, extorsions, meurtres et viols devinrent vite ses nouveaux passe-temps !
 
Jacq décida alors de franchir un cap et alla seul tenter sa chance dans la tristement célèbre guilde des « Sales Frappes de La Chênaie » : pillages, extorsions, meurtres et viols devinrent vite ses nouveaux passe-temps !


Mais tout s'arrêta brutalement quand la milice seigneuriale de Sire René de [[Castellanjou]], aidée par les persifflages d'anciennes concubines éconduites, trouva le repère de la Guilde. Jacq et ses autres comparses se retrouvèrent alors en geôle avec la corde comme seule issue, et après quelques jours de torture afin de s'assurer qu'ils n'avaient pas d'autres complices ils furent pendus haut et court en place publique !
Mais tout s'arrêta brutalement quand la milice seigneuriale de Sire René de [[Castellanjou]], aidée par les persifflages d'anciennes concubines éconduites, trouva le repère de la Guilde. Jacq et ses autres comparses se retrouvèrent alors en geôle avec la corde comme seule issue, et après quelques jours de torture afin de s'assurer qu'ils n'avaient pas d'autres complices ils furent pendus haut et court en place publique !

Version du 7 avril 2020 à 17:57

Informations :

Nom Zacq
Pseudo
Rôle Tirailleur
Grade Soldat
Contact


Jacq, dit Zacq le deux fois né...

Fils d'un patrouilleur fluvial alcoolique et d'une catin de la taverne miteuse d'une bourgade d'Aquitainie, le petit Jacq dû très vite se débrouiller seul dans sa chienne de vie.

Heureusement pour lui il était vif, rapide et sournois, et avait été habitué par son père dès son plus jeune âge à encaisser et esquiver les coups et à toujours retomber sur ses pattes... « Le chat » que les garnements du village l'appelaient... De tels réflexes de survie attirèrent l'attention d'une petite bande de brigands du Bois du Roy qui lui confièrent quelques tâches pour le tester. Les ayant remplies haut la main, l'adolescent fut intégrer à la bande et commença ses véritables premiers larcins avec les autres. Mais très vite, leur territoire de jeu lui parut bien petit...

C'est à peu près à cette époque-là qu'il apprit, lors d'une soirée de beuverie avec son pitoyable géniteur, que son grand-père maternel était un formidable escroc et un redoutable coureur de jupons... Il paraitrait même que la moitié des jeunes gens de la contrée seraient des bâtards de son aïeul. Jacq décida alors de franchir un cap et alla seul tenter sa chance dans la tristement célèbre guilde des « Sales Frappes de La Chênaie » : pillages, extorsions, meurtres et viols devinrent vite ses nouveaux passe-temps !

Mais tout s'arrêta brutalement quand la milice seigneuriale de Sire René de Castellanjou, aidée par les persifflages d'anciennes concubines éconduites, trouva le repère de la Guilde. Jacq et ses autres comparses se retrouvèrent alors en geôle avec la corde comme seule issue, et après quelques jours de torture afin de s'assurer qu'ils n'avaient pas d'autres complices ils furent pendus haut et court en place publique !

Ainsi aurait dû s'arrêter la piètre histoire de Jacq « le chat maudit » si son cadavre fraichement décroché n'avait pas été racheté par le Maistre Nicolas pour servir à l'une de ses expériences...

Lorsque Jacq ouvrit à nouveau les yeux, il ne comprit pas bien ce qu'il se passait mais la fumée qui lui piquait les narines et les yeux le persuadèrent rapidement qu'il n'était finalement pas mort. Il se précipita au dehors de la bâtisse où il s'était réveillé et vit des flammes déjà bien hautes en sortir par le toit et les fenêtres. Dans la confusion de l'incendie, nul villageois alentour ne le vit partir. Jacq se dit qu'il avait une deuxième chance alors mieux valait ne pas trop traîner dans le coin...

Bien qu'il ait la ferme intention de comprendre ce qui lui était arrivé après avoir été descendu de l'échafaud, il lui fallait à tout prix éviter de retomber sur les hommes et sur la justice expéditive du Sire René de Castellanjou. Il prit alors la route vers la côte et fut recruter dans une compagnie mercenaire à la réputation fleurissante : la Compagnie Caradoc. Il s'y engagea sous le nom de « Zacq », en rapport avec son cheveu sur la langue depuis qu'il s'en était coupé un petit bout lors de sa pendaison... Ses nouveaux compagnons s'y habitueraient sur le bateau en partance pour l'île de Mythodea, et si jamais on lui posait des questions sur son passé, il leur donnerait... sa langue au chat...