« Chouigneur » : différence entre les versions

De Caradoc
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[[image:Soigneuse.JPG|thumb|«<i> À leurs débuts, les soigneuses sont chastes, pures et innocentes. </i>» [[Hyzelle]] citation 1213]]
« <i>La guerre c'est votre métier,<br>
« <i>La guerre c'est votre métier,<br>
:le nôtre c'est de vous maintenir en vie (bande d'abrutis)...</i> »
:le nôtre c'est de vous maintenir en vie (bande d'abrutis)...</i> »
:::::::::Credo du soigneur anonyme
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Version du 31 janvier 2023 à 17:41

Fichier:Soins.JPG
Les soigneurs en action.
Fichier:Soigneuse.JPG
« À leurs débuts, les soigneuses sont chastes, pures et innocentes. » Hyzelle citation 1213

« La guerre c'est votre métier,

le nôtre c'est de vous maintenir en vie (bande d'abrutis)... »
Credo du soigneur anonyme


À la guerre nombreux sont les blessés, et sans les soigneurs de la compagnie, cela ferait bien longtemps que nous ne serions plus...
Leur rôle est bien sûr de soigner tout type de blessures, de la coupure au membre brisé en passant par la pointe de flèche ayant perforé les couches d'armures, mais également de prévenir et de guérir des maladies qui ne sont malheureusement pas rares dans les contrés que nous traversons, sans parler des confrontations avec les immondes créatures infectées par la Pestilence !

Il n'est pas rare que les soigneurs allient l'utile à l'agréable en acquérant aussi des connaissances en Alchimie ou mieux, en fabrication d'hypocras et de remontant.

Lors des batailles, les soigneurs sont positionnés en retrait près de la bannière et des porteurs d'eau. Mais plus les combats s'enlisent, plus il est compliqué de rapporter les blessés depuis les premières lignes. Les soigneurs peuvent donc être amenés à se déplacer à l'avant même si cela les expose aux combats.

L'année 1216 fut marquée, entre autres, par la première venue de deux soigneurs de l'Ordre monastique des Bernardins qui furent fort appréciés lors du DrachenFest.

Toutefois, certains compagnons se seraient plaints de comportements trop enjoués, tactiles et même légèrement déplacés de la part de nos bons moines soigneurs qui, profitant de leur proximité avec les blessés, auraient tenté de leur fouiller les bourses, escarcelles, corsets et besaces, ou bien se seraient attardés à vérifier la bonne santé de parties anatomiques non concernées par les blessures...

Bien sûr de telles allégations sont fort mal venues, les Bernardins ayant toujours faits preuve d'un désintérêt que n'égale que leur sérieux, et seront donc accueillies comme il se doit : aussi froidement que les bouderies d'un mage...