« Brotonniens » : différence entre les versions
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En l'année 923, la [[Bretonnie]] subit une violente invasion à sa frontière nord. Déferlant sur les contrées, une armée de barbares hirsutes menée par un chef du nom de | En l'année 923, la [[Bretonnie]] subit une violente invasion à sa frontière nord. Déferlant sur les contrées, une armée de barbares hirsutes menée par un chef du nom de <b>Gouledebro</b> (<i><b> gaūl' daį Braū'</b> dans leur langue, celui qui mange ses compagnons de table au banquet du Valhalla</i>). Les pillages et les destructions furent très violent ce qui provoqua une grande panique et des mouvements de populations particulièrement important. Soumise à des dissensions politiques et à peine remise d'une épidémie de diarrhée hurlante, la [[Bretonnie]] n'avait pas les moyen de se défendre. Princes et barons tardèrent ainsi à réagir et laissèrent s'installer cet état de fait. | ||
== La fondation du duché de Brotonnie == | == La fondation du duché de Brotonnie == | ||
[[Fichier:Gouledebro.jpg|vignette|''Gouledebro'', le grand chef barbare qui devint duc de Brotonnie]] | |||
C'est alors que le roi bretonnien de l'époque, [[Charles le faible]], proposa à l'envahisseur une partie du territoire de la [[Bretonnie]] septentrionale en échange de l'arrêt des pillages sur son royaume. Ainsi fut signée en 924 la paix de [[Virnouille sur Hydre]] qui instituait le chef de guerre Gouledebro comme seul et unique régnant sur un territoire qui incluait alors le Bicrotin, la Vardounie et une partie de la basse Parinavie. En échange Gouledebro devait prêter hommage simple au roi de [[Bretonnie]] qui le reconnaissait alors comme son vassal. Les termes du traité incluaient également la main de la plus jeune fille du roi, [[Piridine de Bavoire]] alors âgée tout juste de 14 ans. Les nouveaux venus étaient autorisé à se marier avec des Bretonniènes à condition qu'ils se conforment aux règles d’hygiène et de bienséance de la société de l'époque. | |||
C'est alors que le roi bretonnien de l'époque, [[Charles le faible]], proposa à l'envahisseur une partie du territoire de la [[Bretonnie]] septentrionale en échange de l'arrêt des pillages sur son royaume. Ainsi fut signée en 924 la paix de [[Virnouille sur Hydre]] qui instituait le chef de guerre | |||
Les premières années furent compliquées pour les populations locales mais après une génération, les farouches guerrier nordiques étaient devenus de parfait chevalier et soldats bretonnien que l'on ne distinguait plus que par leur taille, leur forte voix et leur appétit légendaire. | Les premières années furent compliquées pour les populations locales mais après une génération, les farouches guerrier nordiques étaient devenus de parfait chevalier et soldats bretonnien que l'on ne distinguait plus que par leur taille, leur forte voix et leur appétit légendaire. | ||
== La taille des brotonniens == | == La taille des brotonniens == | ||
Les chevaliers Brotonniens impressionnent par leur taille et leur force ce qui en fait de précieux alliés à la bataille et de redoutables concurrent à la taverne. Un Brotonnien fera au minimum deux têtes de plus qu'un bretonnien déjà considéré comme grand et certains atteignent des tailles presque surnaturelles. | |||
À leur arrivée en [[Bretonnie]], les hommes de Gouledbro étaient vu par les populations locales comme de véritables géant à l’appétit insatiable. Un légende tenace veut que ces hommes venus du nord étaient les fils des géants des glaces, mais [[Alcofribas Nachier]] dans ses chroniques Brotonnienes explique leur grande taille par l'obligation pour leurs femmes de vivre suspendues dans les arbres afin d'échapper aux goursisks, de terribles ours violeurs et lubriques des froides foret de la Walinchka. | |||
À leur arrivée en [[Bretonnie]], les hommes de |
Version du 5 janvier 2019 à 04:06
L'invasion
En l'année 923, la Bretonnie subit une violente invasion à sa frontière nord. Déferlant sur les contrées, une armée de barbares hirsutes menée par un chef du nom de Gouledebro ( gaūl' daį Braū' dans leur langue, celui qui mange ses compagnons de table au banquet du Valhalla). Les pillages et les destructions furent très violent ce qui provoqua une grande panique et des mouvements de populations particulièrement important. Soumise à des dissensions politiques et à peine remise d'une épidémie de diarrhée hurlante, la Bretonnie n'avait pas les moyen de se défendre. Princes et barons tardèrent ainsi à réagir et laissèrent s'installer cet état de fait.
La fondation du duché de Brotonnie
C'est alors que le roi bretonnien de l'époque, Charles le faible, proposa à l'envahisseur une partie du territoire de la Bretonnie septentrionale en échange de l'arrêt des pillages sur son royaume. Ainsi fut signée en 924 la paix de Virnouille sur Hydre qui instituait le chef de guerre Gouledebro comme seul et unique régnant sur un territoire qui incluait alors le Bicrotin, la Vardounie et une partie de la basse Parinavie. En échange Gouledebro devait prêter hommage simple au roi de Bretonnie qui le reconnaissait alors comme son vassal. Les termes du traité incluaient également la main de la plus jeune fille du roi, Piridine de Bavoire alors âgée tout juste de 14 ans. Les nouveaux venus étaient autorisé à se marier avec des Bretonniènes à condition qu'ils se conforment aux règles d’hygiène et de bienséance de la société de l'époque.
Les premières années furent compliquées pour les populations locales mais après une génération, les farouches guerrier nordiques étaient devenus de parfait chevalier et soldats bretonnien que l'on ne distinguait plus que par leur taille, leur forte voix et leur appétit légendaire.
La taille des brotonniens
Les chevaliers Brotonniens impressionnent par leur taille et leur force ce qui en fait de précieux alliés à la bataille et de redoutables concurrent à la taverne. Un Brotonnien fera au minimum deux têtes de plus qu'un bretonnien déjà considéré comme grand et certains atteignent des tailles presque surnaturelles.
À leur arrivée en Bretonnie, les hommes de Gouledbro étaient vu par les populations locales comme de véritables géant à l’appétit insatiable. Un légende tenace veut que ces hommes venus du nord étaient les fils des géants des glaces, mais Alcofribas Nachier dans ses chroniques Brotonnienes explique leur grande taille par l'obligation pour leurs femmes de vivre suspendues dans les arbres afin d'échapper aux goursisks, de terribles ours violeurs et lubriques des froides foret de la Walinchka.