« Kermut de Montbezoard » : différence entre les versions
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Né d'une famille de démunis, dans une bourgade miteuse de à la frontière entre la [[Bretonnie]] et l'Empire, il voua sa jeunesse à l'apprentissage du métier des armes auprès d'un vieux soldat vétéran du village. En grandissant, et dans une logique de perfectionnement, il suivi l'enseignement d'un forgeron car <q><i> armes et armures doivent être entretenues et de qualités </i></q> selon les dires de ses mentors. | |||
== L'ivresse de la forge == | |||
Il vécu donc quelques temps dans cette même bourgade en travaillant comme forgeron, jusqu'à ce qu'il fasse la rencontre d'un étrange moine lors de la fête du village pour célébrer la fin des vendanges. L'homme se nommait [[Frère Polux]] de l'ordre des [[Bernardins]]. Il avait l'œil malicieux de l'homme d'église à la fois riche et avare de connaissances et Kermut se senti obligé de partager avec lui son pichet de vinasse afin de lui demander où il avait obtenu le curieux bandeau de tête en métal forgé qu'il portait. Après plusieurs tournées, l'homme de foi lui avait révélé qu'il s'agissait d'un objet créé par des maitres forgerons nains qui l'avaient initiée à la magie des runes. Il alla même plus loin en affirmant que leur technique de forge était imparfaite et que la sagesse des enseignements de Saint-Bernard pouvait amener à la perfection de cet art.<br> | |||
La curiosité et l'éthilisme de Kermut étaient tels qu'il supplia le moine de lui enseigner son savoir. Contre l'ouverture d'un tonnelet d'hypocras, Frêre Polux lui révéla alors qu'un acier dont la trempe s'effectue dans le vin produirait des objets miraculeusement robustes, souples et inoxidables et incita le jeune forgeron à faire l'essai immédiatement. | |||
Il est difficile de dire qui de l'empressement ou de l'ébriété de Kermut eut pour effet de mettre le feu à la forge ; toujours est-il qu'au petit matin c'est le village entier qui partait en flamme dans un brasier d'où peu survécurent.<br> | |||
N'ayant plus de lieu où résider, Kermut décida de partir visiter d'autres duchés vers l'Ouest, un peu triste d'avoir perdu la trace du Bernardins dans la cohue dû à l'incendie. | |||
[[ | == Un nouveau départ == | ||
[[ | Alors qu'il cherchait un employeur à qui ses compétences martiales seraient utiles, il rencontra un colosse qui recrutait pour la compagnie Caradoc, une glorieuse compagnie mercenaire à ce que lui disait celui qu'il apprendra par la suite à connaître sous le nom de [[Caribert]]. Ce dernier repartait pour de nouvelles terres de bataille pleines de promesses au-delà du grand océan. Cela semblait tentant et n'ayant plus rien à perdre, Kermut embarqua un été 1211 pour l'île de [[Mythodea]] ! Il fût directement accepter dès le lendemain de son arrivée suite sa première cuite avec ses nouveaux compagnons et rejoignit logiquement la glorieuse section des [[Panzer]]s, l'infanterie lourde Caradocienne menée par le grand [[Sergent]] [[Caribert]]. | ||
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Combattant fièrement et vainqueur d'un duel face à une [[Armure du Vide]], il fut récompensé par le Le [[Kaiser]] [[Ker Lamèche]] qui lui octroya même un terrain sur les terres de [[Nova Bretonnia]]. Il y construisit un moulin afin de faire fonctionner facilement les soufflets de sa nouvelle forge. | |||
À ses heures perdues, il est aussi brasseur, et c'est ainsi qu'il fonda la maison <i>Kaïser Bier</i>, en l'honneur de celui qui lui permis de retrouver une vie normale et saine mêlant régulièrement combat et éthylisme. | |||
Il est fort possible que le souvenirs du secrêt du moine Bernardin ressurgissent dans son esprit et le pousse à tenter l'expérience de la trempe à la bière, qu'il appelerait alors la <q><i> Kaïser forge </i></q>... |
Version du 23 janvier 2019 à 17:05
Informations :
Nom | Kermut de Montbezoard |
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Pseudo | Kermut / Ronan |
Rôle | Panzer |
Grade | Soldat |
Contact |
Le soldat aux lorgnons
Né d'une famille de démunis, dans une bourgade miteuse de à la frontière entre la Bretonnie et l'Empire, il voua sa jeunesse à l'apprentissage du métier des armes auprès d'un vieux soldat vétéran du village. En grandissant, et dans une logique de perfectionnement, il suivi l'enseignement d'un forgeron car armes et armures doivent être entretenues et de qualités
selon les dires de ses mentors.
L'ivresse de la forge
Il vécu donc quelques temps dans cette même bourgade en travaillant comme forgeron, jusqu'à ce qu'il fasse la rencontre d'un étrange moine lors de la fête du village pour célébrer la fin des vendanges. L'homme se nommait Frère Polux de l'ordre des Bernardins. Il avait l'œil malicieux de l'homme d'église à la fois riche et avare de connaissances et Kermut se senti obligé de partager avec lui son pichet de vinasse afin de lui demander où il avait obtenu le curieux bandeau de tête en métal forgé qu'il portait. Après plusieurs tournées, l'homme de foi lui avait révélé qu'il s'agissait d'un objet créé par des maitres forgerons nains qui l'avaient initiée à la magie des runes. Il alla même plus loin en affirmant que leur technique de forge était imparfaite et que la sagesse des enseignements de Saint-Bernard pouvait amener à la perfection de cet art.
La curiosité et l'éthilisme de Kermut étaient tels qu'il supplia le moine de lui enseigner son savoir. Contre l'ouverture d'un tonnelet d'hypocras, Frêre Polux lui révéla alors qu'un acier dont la trempe s'effectue dans le vin produirait des objets miraculeusement robustes, souples et inoxidables et incita le jeune forgeron à faire l'essai immédiatement.
Il est difficile de dire qui de l'empressement ou de l'ébriété de Kermut eut pour effet de mettre le feu à la forge ; toujours est-il qu'au petit matin c'est le village entier qui partait en flamme dans un brasier d'où peu survécurent.
N'ayant plus de lieu où résider, Kermut décida de partir visiter d'autres duchés vers l'Ouest, un peu triste d'avoir perdu la trace du Bernardins dans la cohue dû à l'incendie.
Un nouveau départ
Alors qu'il cherchait un employeur à qui ses compétences martiales seraient utiles, il rencontra un colosse qui recrutait pour la compagnie Caradoc, une glorieuse compagnie mercenaire à ce que lui disait celui qu'il apprendra par la suite à connaître sous le nom de Caribert. Ce dernier repartait pour de nouvelles terres de bataille pleines de promesses au-delà du grand océan. Cela semblait tentant et n'ayant plus rien à perdre, Kermut embarqua un été 1211 pour l'île de Mythodea ! Il fût directement accepter dès le lendemain de son arrivée suite sa première cuite avec ses nouveaux compagnons et rejoignit logiquement la glorieuse section des Panzers, l'infanterie lourde Caradocienne menée par le grand Sergent Caribert.
Kermut le Caradocien
Combattant fièrement et vainqueur d'un duel face à une Armure du Vide, il fut récompensé par le Le Kaiser Ker Lamèche qui lui octroya même un terrain sur les terres de Nova Bretonnia. Il y construisit un moulin afin de faire fonctionner facilement les soufflets de sa nouvelle forge.
À ses heures perdues, il est aussi brasseur, et c'est ainsi qu'il fonda la maison Kaïser Bier, en l'honneur de celui qui lui permis de retrouver une vie normale et saine mêlant régulièrement combat et éthylisme.
Il est fort possible que le souvenirs du secrêt du moine Bernardin ressurgissent dans son esprit et le pousse à tenter l'expérience de la trempe à la bière, qu'il appelerait alors la Kaïser forge
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