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Harold Trenchard dit Hal,
Harold Trenchard dit Hal,


est un jeune diplômé en médecine de l’H.E.R.M.I.N.E (Haute Ecole Royale de Médecine et d’Ingénierie Naval des Escoumins) arrivé il a peu sur le continent de Mythodea à bord d’un navire marchand. Il a rapidement rejoint ses compatriotes à Triskel, c’est là, après avoir entendu les rumeurs d’invasion de l’Ouest, qu’il décide de s’engager dans la CRS et de rejoindre la Compagnie Caradoc.
est un jeune diplômé en médecine de l’H.E.R.M.I.N.E (Haute École Royale de Médecine et d’Ingénierie Naval des Escoumins) arrivé il a peu sur le continent de Mythodea à bord d’un navire marchand. Il a rapidement rejoint ses compatriotes à Triskel et c’est là, après avoir entendu les rumeurs d’invasion de l’Ouest, qu’il décide de s’engager dans la CRS et de rejoindre la Compagnie Caradoc.


== Bretonnie ==
== Bretonnie ==


Mon père était un chirurgien de terrain dans l’armée Bretonnienne qui avait rengainé son épée quand ma mère est tombée enceinte de moi. Ils se sont alors installés dans la ville côtière de BourgLeRene, mon père ayant réussi à acheter une vielle boutique pour une bouchée de pain.
Mon père était un chirurgien de terrain dans l’armée Bretonnienne qui avait rengainé son épée quand ma mère est tombée enceinte de moi. Ils se sont alors installés dans la ville côtière de BourgLeRene, mon père ayant réussi à acheter une vielle boutique pour une bouchée de pain.<br>
C’est dans l’arrière-boutique que j’ai grandi, lisant les tomes d’anatomie, de biologie et d’alchimie, aidant mon père et courant les rues de BourgLeRene.
C’est dans l’arrière-boutique que j’ai grandi, lisant les tomes d’anatomie, de biologie et d’alchimie, aidant mon père et courant les rues de BourgLeRene.<br>
Etant destiné à reprendre la boutique familiale, je fu tout naturellement envoyer faire mes études à de l’H.E.R.M.I.N.E (Haute Ecole Royale de Médecine et d’Ingénierie Naval des Escoumins) et recevoir une formation à la fois médicale et militaire.  
Étant destiné à reprendre la boutique familiale, je fus tout naturellement envoyé faire mes études à de l’H.E.R.M.I.N.E (Haute École Royale de Médecine et d’Ingénierie Naval des Escoumins) et reçu donc une formation à la fois médicale et militaire.


C’est 5 ans plus tard que je rentrer chez mes parents, un diplôme de barbier-chirurgien en poche. Durant mes études, je me suis spécialisé dans le traitement de blessures superficielles par les cataplasmes et les potions, bien plus propre et efficace que la chirurgie plus classique.
C’est 5 ans plus tard que je rentrais enfin chez mes parents, un diplôme de barbier-chirurgien en poche. Durant mes études, je me suis spécialisé dans le traitement de blessures superficielles par les cataplasmes et les potions, bien plus propre et efficace que la chirurgie plus classique dites <q> charcutière </q>...<br>
Je repris rapidement le travail de mon père, le pauvre, il commençait à se faire vieux et ses mains n’avaient plus la dextérité de jeunes années. Malheureusement en héritant du travail de mon père, j’héritais aussi de ses dettes. Il se trouve que la boutique appartenait en fait à un parrain de la pègre qui avait roulé mon géniteur dans la farine. Pour rembourser ces dettes, me voilà embarqué dans des affaires de plus en plus louches.
Je repris rapidement le travail de mon père qui, le pauvre, commençait à se faire vieux et dont les mains n’avaient plus la dextérité de ses jeunes années. Malheureusement en héritant du travail de mon père, j’héritais aussi de ses dettes. Il se trouvait que la boutique appartenait en fait à un parrain de la pègre qui avait roulé mon géniteur dans la farine. Et afin de rembourser ces dettes, j'étais embarqué dans des affaires de plus en plus louches... Au début je devais simplement fournir des soins gratuits aux membres du gang, puis garantir la bonne santé des filles des joies et des participants aux tournois de pugilat mais avec le temps je fus contraint à prendre une place toujours plus importante dans leurs activités.
Au début je devais simplement fournir des soins gratuits aux membres du gang, puis garantir la bonne santé des filles des joies et des participants aux tournois de pugilat mais avec le temps j’ai dû prendre une place plus active dans leurs activités.  


N’en pouvant plus, ayant plus de dettes que feu mes parents et subissant à la fois les pressions des autorités locales et du gang. Je pris mes maigres possessions et embarquai dans le premier navire venu.  
N’en pouvant plus, ayant plus de dettes encore que feu mes parents et subissant à la fois les pressions des autorités locales et celles du gang, je pris mes maigres possessions et j'embarquais dans le premier navire qui voulut bien de moi, bien décidé à changer de vie quoi qu'il m'en coûte.


== Nova Bretonnia ==
== Nova Bretonnia ==


C’est à bord de ce navire marchand que j’ai atteint les côtes de [[Mythodea]]. Perdu sur ce tout nouveau continent, je me suis dirigé tout naturellement vers les terres de [[Nova Bretonnia]]. Là, je retrouvai enfin le calme de mon enfance entouré par des compatriotes. J’ai vécu quelque temps à Triskel, en tant que soigneur itinérant, offrant mes services de taverne en auberge et d’auberge en bordel.<br>
Après moultes changement de cap et d'embarcations, c’est à bord d'un robuste navire marchand de la flotte d'un certain [[Paolo Armatio]] que j’ai atteint les côtes de [[Mythodea]]. J'avais entendu ce nom légendaire dans bien des tavernes mais jamais je n'aurai pensé qu'il existait vraiment... et encore moins que j'y mettrai les pieds un jour ! Un peu perdu sur ce tout nouveau continent, je fis la rencontre d'un moine peu reluisant mais qui disait pouvoir m'aider contre une chopine de bière et un saucisson d'âne. Ce moine <q> [[Bernardin]] </q>, un ordre qui avait très mauvaise réputation dans ma contrée natale, me mit effectivement sur la route de [[Nova Bretonnia]], des terres colonisées par d'anciens Bretonniens qui comme moi, avaient fuit l'ancien continent pour diverses raisons qu'il n'y avait plus lieu d'évoquer ici...<br>
Mais je cherchais un poste plus stable et c’est au détour d’une chopine que je l’ai trouvé, sous la forme d’une escouade de la CRS. Ceux-ci interpelèrent l’un des clients, malheureusement l’arrestation tourna rapidement à la rixe généralisée. Usant de mes talents de combat en milieu alcoolisé, acquis durant mes études et années de travail dans les bas-fonds de BourgLeRene, je sortis de cette mêlée avec pour seule blessure une lèvre fendue. Une fois le combat calmé et le suspect enfui, je passai le reste la soirée à m’occuper des blessés, dont l’un des CRS.
-bas, je retrouvai enfin le calme de mon enfance entouré par des compatriotes forts accueillants. J’ai vécu quelque temps en tant que soigneur itinérant à Triskel, la capitale, offrant mes services de taverne en auberge et d’auberge en bordel...<br>
Oh, j'aurai pu vivre longtemps de la sorte car il y avait fort à faire entre les dents pourries à arracher, les maladies de peau et autres joyeusetés en dessous de la ceinture, mais je cherchais un poste plus stable et c’est au détour d’une chopine que je l’ai trouvé, sous la forme d’une escouade de la <q><i> CRS </i></q>. Je compris vite qu'il s'agissait d'une sorte de milice qui gérait la basse justice. Ceux-ci interpelèrent l’un des clients, et malheureusement ou pas, l’arrestation tourna rapidement à la rixe généralisée. Pris dans cette mêlée, j'usais de mes talents de combat en milieu alcoolisé, acquis durant mes études et années de travail dans les bas-fonds de BourgLeRene. J'en sortais avec pour seule blessure une lèvre fendue et une fois le calme revenu et le suspect enfui, je passais le reste la soirée à m’occuper des blessés, dont l’un des membres de la milice.


Il semblerait que mes compétences martiales et médicales aient impressionné la Compagnie Royale de Sécurité car ses membres partagèrent avec moi un nombre non négligeable de pichets de bière en attendant que leur collègue soit remis.<br>
Il semblerait que mes compétences martiales et médicales aient impressionné le garde amoché de la CRS qui m'appris que cela voulait dire <q> Compagnie Royale de Sécurité </q>. Ses membres partagèrent avec moi un nombre non négligeable de pichets de bière en attendant que leur collègue soit remis et je me dis que j'étais au moins aussi <q> royal </q> qu'eux et leur demandais s'ils recherchaient de nouveau membres. C'était effectivement le cas et selon leurs dires la solde était plutôt raisonnable.
J’appris que la CRS recherchais de nouveaux membres et aux dires de certains gardes, la solde est plutôt raisonnable.


C’est donc sans trop hésiter que je me suis engagé dans la CRS. Après 8 semaines de formation avec [[Brycham]] et les autres formateurs, me voici dorénavant patrouilleur à Triskel et ses abords...
C’est donc sans trop hésiter que je m'engageais dans la C.R.S. et, après pas moins de 8 semaines d'une formation poussée sous la houlette de [[Brycham]] et des autres formateurs, je devenais dorénavant patrouilleur à Triskel et ses abords avec mes nouveaux compagnons.


== 1219 ==
== 1219 ==
Puis les rumeurs d’une invasion imminentes des terres de l’ouest pénétrèrent la cité ! La capitale était en ébullition, la Caradoc était mobilisée et la CRS devait la rejoindre.  
Puis les rumeurs d’une invasion imminentes des terres de l’Ouest ont pénétré la cité ! La capitale était en ébullition, la Caradoc est d'ores et déjà mobilisée et la CRS ne va pas tarder à la rejoindre. Un mélange de peur et d'envie m'a envahit, je veux nous défendre, être utile à ceux qui m'ont accueillis. Est-ce l'appel de la guerre que je ressens ?


Demain, je pars au front pour protéger mon pays, comme mon père avant moi. J’espère qu’il sera fier de moi.
Demain, je pars au front pour protéger mon pays, comme mon père avant moi. J’espère qu’il sera fier de moi.

Version du 2 juillet 2019 à 12:42

Harold Trenchard

Informations :

Nom Harold Trenchard
Pseudo Zeppo
Hal
Rôle Soigneur
Grade Soldat C.R.S.
Contact

Harold Trenchard dit Hal,

est un jeune diplômé en médecine de l’H.E.R.M.I.N.E (Haute École Royale de Médecine et d’Ingénierie Naval des Escoumins) arrivé il a peu sur le continent de Mythodea à bord d’un navire marchand. Il a rapidement rejoint ses compatriotes à Triskel et c’est là, après avoir entendu les rumeurs d’invasion de l’Ouest, qu’il décide de s’engager dans la CRS et de rejoindre la Compagnie Caradoc.

Bretonnie

Mon père était un chirurgien de terrain dans l’armée Bretonnienne qui avait rengainé son épée quand ma mère est tombée enceinte de moi. Ils se sont alors installés dans la ville côtière de BourgLeRene, mon père ayant réussi à acheter une vielle boutique pour une bouchée de pain.
C’est dans l’arrière-boutique que j’ai grandi, lisant les tomes d’anatomie, de biologie et d’alchimie, aidant mon père et courant les rues de BourgLeRene.
Étant destiné à reprendre la boutique familiale, je fus tout naturellement envoyé faire mes études à de l’H.E.R.M.I.N.E (Haute École Royale de Médecine et d’Ingénierie Naval des Escoumins) et reçu donc une formation à la fois médicale et militaire.

C’est 5 ans plus tard que je rentrais enfin chez mes parents, un diplôme de barbier-chirurgien en poche. Durant mes études, je me suis spécialisé dans le traitement de blessures superficielles par les cataplasmes et les potions, bien plus propre et efficace que la chirurgie plus classique dites charcutière ...
Je repris rapidement le travail de mon père qui, le pauvre, commençait à se faire vieux et dont les mains n’avaient plus la dextérité de ses jeunes années. Malheureusement en héritant du travail de mon père, j’héritais aussi de ses dettes. Il se trouvait que la boutique appartenait en fait à un parrain de la pègre qui avait roulé mon géniteur dans la farine. Et afin de rembourser ces dettes, j'étais embarqué dans des affaires de plus en plus louches... Au début je devais simplement fournir des soins gratuits aux membres du gang, puis garantir la bonne santé des filles des joies et des participants aux tournois de pugilat mais avec le temps je fus contraint à prendre une place toujours plus importante dans leurs activités.

N’en pouvant plus, ayant plus de dettes encore que feu mes parents et subissant à la fois les pressions des autorités locales et celles du gang, je pris mes maigres possessions et j'embarquais dans le premier navire qui voulut bien de moi, bien décidé à changer de vie quoi qu'il m'en coûte.

Nova Bretonnia

Après moultes changement de cap et d'embarcations, c’est à bord d'un robuste navire marchand de la flotte d'un certain Paolo Armatio que j’ai atteint les côtes de Mythodea. J'avais entendu ce nom légendaire dans bien des tavernes mais jamais je n'aurai pensé qu'il existait vraiment... et encore moins que j'y mettrai les pieds un jour ! Un peu perdu sur ce tout nouveau continent, je fis la rencontre d'un moine peu reluisant mais qui disait pouvoir m'aider contre une chopine de bière et un saucisson d'âne. Ce moine Bernardin , un ordre qui avait très mauvaise réputation dans ma contrée natale, me mit effectivement sur la route de Nova Bretonnia, des terres colonisées par d'anciens Bretonniens qui comme moi, avaient fuit l'ancien continent pour diverses raisons qu'il n'y avait plus lieu d'évoquer ici...
Là-bas, je retrouvai enfin le calme de mon enfance entouré par des compatriotes forts accueillants. J’ai vécu quelque temps en tant que soigneur itinérant à Triskel, la capitale, offrant mes services de taverne en auberge et d’auberge en bordel...
Oh, j'aurai pu vivre longtemps de la sorte car il y avait fort à faire entre les dents pourries à arracher, les maladies de peau et autres joyeusetés en dessous de la ceinture, mais je cherchais un poste plus stable et c’est au détour d’une chopine que je l’ai trouvé, sous la forme d’une escouade de la CRS . Je compris vite qu'il s'agissait d'une sorte de milice qui gérait la basse justice. Ceux-ci interpelèrent l’un des clients, et malheureusement ou pas, l’arrestation tourna rapidement à la rixe généralisée. Pris dans cette mêlée, j'usais de mes talents de combat en milieu alcoolisé, acquis durant mes études et années de travail dans les bas-fonds de BourgLeRene. J'en sortais avec pour seule blessure une lèvre fendue et une fois le calme revenu et le suspect enfui, je passais le reste la soirée à m’occuper des blessés, dont l’un des membres de la milice.

Il semblerait que mes compétences martiales et médicales aient impressionné le garde amoché de la CRS qui m'appris que cela voulait dire Compagnie Royale de Sécurité . Ses membres partagèrent avec moi un nombre non négligeable de pichets de bière en attendant que leur collègue soit remis et je me dis que j'étais au moins aussi royal qu'eux et leur demandais s'ils recherchaient de nouveau membres. C'était effectivement le cas et selon leurs dires la solde était plutôt raisonnable.

C’est donc sans trop hésiter que je m'engageais dans la C.R.S. et, après pas moins de 8 semaines d'une formation poussée sous la houlette de Brycham et des autres formateurs, je devenais dorénavant patrouilleur à Triskel et ses abords avec mes nouveaux compagnons.

1219

Puis les rumeurs d’une invasion imminentes des terres de l’Ouest ont pénétré la cité ! La capitale était en ébullition, la Caradoc est d'ores et déjà mobilisée et la CRS ne va pas tarder à la rejoindre. Un mélange de peur et d'envie m'a envahit, je veux nous défendre, être utile à ceux qui m'ont accueillis. Est-ce l'appel de la guerre que je ressens ?

Demain, je pars au front pour protéger mon pays, comme mon père avant moi. J’espère qu’il sera fier de moi.