Discussion:Mythodea 1219

De Caradoc

Je ne suis pas connu pour avoir la mémoire la plus juste, mais voici ce que je mettrais dans le déroulé chronologique des évenements 2019:

Faire une intro sur le fait que c'est un groupe hétéroclite de vétérans injustements chassés (mais sans trop rappeler les faits, c'est déjà à lire ailleurs) et de nouveaux rencontrés lors de cet injuste exil (cuisinier, commiscuillers, moines...)

A peine arrivés sur le continent, il nous tient à coeur de montrer la vaillance de notre bras, la force de nos armes, et que nous ne sommes pas une force armée à négliger. Nous manoeuvrons avec force intelligence pour être invités à de belles et fastes manoeuvres militaires. Icelles manoeuvres servent d'écrin à la beauté de nos troupes.

Diplomatie: nous travaillons auprès de l'Ouest (ou la Feste? Je suis pas assez câlé pour être sûr du truc) pour leur prouver que nous ne sommes point des ennemis, et que ce que certains appellent bien trop rapidement "dissidence" n'est qu'un problème interne qui ne doit en rien entâcher les relations diplomatiques entre nous et l'Ouest. C'est avec stupéfaction que, lors de cette entrevue que nous avions planifiée comme une simple première prise de contact, nous avons obtenu le droit inaliénable de nous établir en nos Terres légitimes de Caradoc le Bourg; droit octroyé par la Voix de l'Ouest en personne, et, chose encore plus incroyable, en présence et avec l'appui d'Isenden lui même! Après une telle nouvelle, encore tous secoués par un tel succès, nous avons fêtés plus que de raison cette victoire de papier avec moults victuailles et alcools rares! C'est d'ailleurs lors de ces premières libations que notre bon Frère Picrate, moine Bernardin de la plus pure espèce, nous a démontré que son foie et sa foi étaient inébranlables: un modèle de piété ethylique qui a eu à coeur de guider chaucun d'entre nous sur les chemin de la piété Caradocienne.

Ce fût d'ailleurs lors d'une de ses prière à la taverne de la cité qu'il rencontra la Duchiasse. Personnalité venant de terres lointaines, femme aux charmes certains et à l'accent plus que douteux, elle pris rapidement ombrage des libertés libidineuses et alcoolisées de notre bon Picrate. Le gant fût jeté, et un rendez vous fût pris le lendemain au zénith pour laver l'affront de paroles émechées et insensées.

Bien que proche d'un louable état d'hébétitude pieuse - proche de deux grammes selon les témoins-, notre frère s'équipa et alla se battre face à une duchiasse dubitative. Il faut dire qu'à défaut de respirer la confiance en soit et d'avoir l'oeil du guerrier avisé, Picrate exhalait de merveilleux relents de bière, de vinasse et d'autres substances indéfinissables, et dans ses yeux injectés de sang l'on trouvait plus l'envie d'une paillasse que celui d'en découdre. Pour autant, il sa battit, et les véritables connaisseurs du noble art de l'escrime ont su reconnaitre un fier duel, équilibré et gagné sur le fil par la Duchiasse.

De ce duel, un belle amitié se forgea alors entre notre belle Compagnie et ces intriguants personnages venant de ces contrées lointaines connues comme Terres d'Azures.

Laissant notre moine Bernardin se reposer enfin, nous sommes aller chercher gloire et batailles pour montrer à qui voulait que nous sommes des mercenaires plus que capables.