Gluck
Informations :
Nom | Gluck |
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Pseudo | La chance |
Rôle | Invité |
Grade | Banner-anführer der Sturmlanze Chef de la bannière des Chargeurs |
Contact |
( Ancien perso : Gollik )
Glück la chance
a noyé son lointain passé dans la boisson.
C'est un clochard invétéré connu dans tous les débits de boissons, il porte en chef une couronne aussi cabossée que clinquante ce qui lui valut le surnom de Roi de la taverne
.
Il éleva également la mendicité au rang d'un noble art et se fera également appeller Roi des mendiants
.
Il serait le frère de Floewin ce qui expliquerait sa venue dans la Compagnie à partir de 1215, bien que celle-ci ne semble pas vraiment vouloir ébruiter cette filiation...
Le mendiant-roi
Il n'y a pas plus belle activité pour un bon-à-rien que la mendicité ! Obtenir sans rien faire ! Une vie de roi !
Glück est un misérable mendiant qui, à force de gagner de l'argent en tendant une vielle chope de bois, développe une grande fascination pour les chopes et essaye d'en avoir le plus possible.
Plus de chopes... Plus de richesses !
Comme beaucoup de mendiants, Glück aime l'or et les objets brillants. Il négocia la fabrication d'une grande couronne brillante auprès des artians de l'Atelier du corbeau.
Glück a maintenant une couronne digne d'un roi... Ce qui ne change évidemment rien à sa condition de mendiant.
J'ai un caillou dans la tête et une belle couronne !
Le plus grand plaisir de Glück c'est de charger avec sa couronne et ses chopes ! Il charge sans armure, sans peur... Et sans raison !...
Charger, c'est déjà gagner !
La promotion du mendiant
Durant l'année 1215 Glück chargea trois fois le Herold des Zorns (le héraut de la colère)
La troisième fois il réussit (avec l'aide d'un groupe de psychopathes) à immobiliser le héraut de la colère durant quelques instants grâce à un câlin collectif.
Il fut récompensé par les Heerführer Marwin et Jaques de Idou en devenant le Banner-anführer (chef de bannière) de la Sturmlanze (La bannière des chargeurs)
Glück siège désormais au conseil des bannières de la Feste der Vielfalt (forteresse de la diversité)
Parfois Glück apparaît dans les grandes batailles assis dans une charrette tirée par un berserker possédant un cerveau de cheval de guerre : le brave et loyal Pferd.
Le duel durant la bataille des quatre grammes (Anno 1215)
Les lignes caradociennes avancent, c'est alors que je provoque en duel l'un des champion mort-vivant, et pas un petit, un bien bourrin en armure complète armé d'un gros marteau ! Ill est fort et lent alors j'esquive facilement ses coups ! Je sens que ça l'énerve, il comptait sans doute en finir vite avec le mendiant gringalet que je suis mais il ne parvient pas à me toucher ! De rage il lâche son marteau... pour venir me désarmer à grand coup de gantelets rouillés ! Il m'attrape alors à mains nues et me projette par terre ! Je suis un peu sonné et c'est là qu'il s'assied sur moi de tout son poid mort et commence à m'étrangler ! Heureusement que je me retrouve à portée de main de mes chopines ! Je les agrippe et je le frappe de toute ma force alcoolique ! Il tombe à la renverse et je parviens à me relèver ! Je cours alors vers son marteau que j'attrape et avec lequel je le martèle violement jusqu'à ce qu'il ne soit plus qu'une bouillie de chair décomposée et d'acier rouillé ! Je peux alors brailler mon cri de victoire et m'évanouir dans les bras de nos soigneuses !
Rien que de repenser à ce combat, je veux retourner sur le champ de bataille !
La quête des dix trônes (Anno 1216)
Glück a pour but cette année de s'asseoir sur les dix trônes des dragons du DrachenFest.
Au terme d'une campagne riche en émotions de toutes sortes, Glück s'est donc assis sur :
- le trône rouge (Les Gardes rouges envoyèrent Glück à l'hospice)
- le trône bleu ( Glück négocia avec le dragon bleu. Une minute sur le trône contre un tonneau rempli de chopes)
- le trône d'or (Glück défia le dragon d'or dans un jeu de dé. Le dragon d'or accepta, perdit et le laissa donc s'asseoir quelques instants sur son trône)
Quand la chance tourne (Anno 1219)
Glück n'eut point de chance en cette campagne 1219. D'abord durement touché à la tête lors d'un duel contre un champion mort-vivant, cette blessure allait lui faire perdre la vigilance que le bon mendiant se doit de conserver en toute occasion.
Alors Glück est mort, poignardé, laissant derrière lui ses compagnons.
Bien malin qui saura dénicher des informations sur son assassin.
Et bien vaillant celui qui saura le venger...
Adieu compagnon de boisson et de baston,
Tu trouveras là-haut ta taverne éternelle,
Mais pour nous ici bas, tu en resteras le Roi.
Citations
La douleur est une mauvaise blague! Mais cela reste une blague ! Ah ah ahahhh!
Glück, après une charge...
Je suis le roi de mes chopes et de mes couilles, et c'est déjà pas si mal !
Glück quand on lui demande pourquoi il est roi...
Sous une armure, tout le monde à des muscles
Il est plus facile d'être vaillant quand on est bien né, bien portant et dans une belle armure.
Le jeu du Holayahihi
À part picoler, la meilleure occupation entre les batailles serait, selon Glück, le jeu du HOLAYAHIHI !
Les règles, présentées comme simplissimes sont les suivantes :
- Frapper un panzer et lui dire que c'est un coup d’un tirailleur,
- Le panzer n’est pas content et va donc frapper un tirailleur,
- Le tirailleur va à son tour frapper le soigneur venu lui demander si ça allait,
- Devant cette injustice, le soigneur va se défouler sur un mage… quoi de plus naturel ?
- Le mage fuit et... se cogne contre un panzer, à qui il dit que c'est un tirailleur qui l'a poussé…
- Le panzer va donc frapper un autre tirailleur (pour cogner le mage au passage, voir la dernière règle spéciale)… et ainsi de suite !
- Le dernier debout a gagné (donc ça ne peut pas être un mage).
- Le roi de la taverne gagne, même s’il perd ! C’est comme ça, c’est son jeu !
- Attention, règle spéciale : un panzer n'a pas le droit de frapper un mage, sauf s'il crie
HOLAYAHIHI !
Chanson du roi de la taverne
Aussi appelée Chanson de Glück, le roi de la taverne
De la taverne j'suis le roi,
C'est à ma santé que l'on boit !
Buvons tous un coup à la santé, à la taverne, à la chopi-ne,
Payons tous un coup à l'affamé, au roi des mendiants, et surtout des fous !
Quand les portes sont bien fermées,
Moi seul sait par où faut rentrer !
Buvons tous un coup à la santé, à la taverne, à la chopi-ne,
Payons tous un coup à l'assoiffé, au roi des mendiants, et surtout des fous !
Je lance mes chopes dans les cieux,
Grâce à elles j'assomme même les dieux !
Buvons tous un coup à la santé, à la taverne, à la chopi-ne,
Payons tous un coup à l'affamé, au roi des mendiants, et surtout des fous !
Tout cet argent que j'ai gagné,
Dans les bouteilles je l'ai vidé !
Buvons tous un coup à la santé, à la taverne, à la chopi-ne,
Payons tous un coup à l'affamé, au roi des mendiants, et surtout des fous !
Et quand je fais parler mes poings,
Faut dire que j'suis un vrai bourrin !
Buvons tous un coup à la santé, à la taverne, à la chopi-ne,
Payons tous un coup à l'affamé, au roi des mendiants, et surtout des fous !
Si je me fais déculotter,
Tu verras bien ma couille dorée !
Buvons tous un coup à la santé, à la taverne, à la chopi-ne,
Payons tous un coup à l'affamé, au roi des mendiants, et surtout des fous !
Buvons tous un coup à la santé, à la taverne, à la chopi-ne,
Payons tous un coup à l'affamé, et glou et glou, et glou et Glück !