LES FILLES DE CAMARET

De Caradoc
Révision datée du 8 janvier 2010 à 01:59 par Frau spiesse (discussion | contributions) (Nouvelle page : LES FILLES DE CAMARET Les filles de Camaret se disent toutes vierges (bis) Mais quand elles sont dans mon lit Elles préfèrent tenir mon vit Qu’un cierge. (ter) Fillette d...)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

LES FILLES DE CAMARET

Les filles de Camaret se disent toutes vierges (bis) Mais quand elles sont dans mon lit Elles préfèrent tenir mon vit Qu’un cierge. (ter)

Fillette de Camaret, où est ton pucelage ? (bis) Il s’en est allé sur l’eau, Avec les petits bateaux, Il nage. (ter)

Mon mari s’en est allé à la pêche en Espagne. (bis)  Il m’a laissé sans le sou,  Mais avec mon petit trou  J’en gagne. (ter)   

Les rideaux de notre lit sont faits de serge rouge (bis) Mais quand nous sommes dedans La rage du cul nous prend, Tout bouge. (ter)

 Mon mari, que fais-tu là ? Tu me perces la cuisse. (bis)  Faut-il donc que tu soies saoul  Pour ne pas trouver le trou  Qui pisse ! (ter)   

Le maire de Camaret vient d’acheter un âne (bis) Un âne républicain Pour baiser tout’s les putains D’Bretagne. (ter)

Une simple supposition que tu serais ma tante, (bis)  Je te ferais le présent  De l’andouille qui me pend  Z’au ventre. (ter)   

Si les filles de Camaret s’en vont à la prière, (bis) C’n’est pas pour prier l’Seigneur, Mais pour branler le prieur Qui bande. (ter)

  Le curé de Camaret a des couilles qui pendent (bis)  Et quand il s’assied dessus  Ca lui rentre dans le cul,  Il bande. (ter)  
La servante à m’sieur l’curé a le ventre qui gargouille. (bis)  C’est qu’elle en a trop mangé  De l’andouille à m’sieur l’curé,  D’ l’andouille. (ter)   

Célina, si tu m’aimais, tu me ferais des nouilles (bis) Et, tandis que j’les mangerais, Ton p’tit doigt me chatouill’rait Les couilles. (ter)