Aldarion
Informations :
Nom | Aldarion |
---|---|
Pseudo | |
Rôle | Écuyer |
Grade | Soldatounet |
Contact |
Aldarion « l'Orphelin » était un jeune Albionnais que nous avions récupéré, élevé et entrainé au sein de la Compagnie. Il fût notre plus jeune membre en 1207.
Il avait grandi dans un petit village d'Albion, la tête plein de rêves de combats contre des dragons et autres créatures mystiques... et voulait bien sûr devenir chevaler « quand il serait grand ».
Mais par une belle journée d'été, de viles créatures à la peau noire et aux cheveux blancs qu'on n'avait jamais vues dans la région attaquèrent son village. Ce fût un vrai massacre qui dura une journée entière et dont il fut le seul survivant.
Il nous racontait comment il s'était terré dans une pile de cadavres pour échapper à ses bourreaux, puis comment il avait survécu tant bien que mal parmi les ruines des masures, les carcasses de bétails à attendre en vain que ses parents se réveillent. Lorsqu'un contingent de l'Alliance Mercenaire inspecta ce qu'il restait du village, les soldats trouvèrent le gamin à moitié mort de faim et le ramenèrent au camp.
Attiré par nos chants, notre charcuterie et notre mauvais cidre du cru, il devint vite la mascotte de notre compagnie et nous l'avons élevé comme un parfait petit mercenaire Breutonnien, peu discipliné, râleur et au goût suffisamment prononcé pour les mauvais alcools pour qu'on l'inscrive au registre malgré son jeune âge.
À la fin de notre difficile campagne, il était devenu un valeureux écuyer : il connaissait toutes sortes d'armes, savait entretenir les armures lourdes, réparer les boucliers et comptait mieux que notre trésorier, et même en rotant.
Alors que nous nous préparions à embarquer pour Mythodea, il nous dit le cœur serré que sa place était en Albion et qu'il resterait sous protection des rescapés du Royaume Licorne, et qu'il allait parfaire sa formation pour un jour combattre les forces des maléfiques Elfes Noirs qui lui avaient tant pris.
Nous espérons qu'il eut bonne fortune dans son entreprise et qu'il boit toujours autant de cidre.