JEAN GILLES

De Caradoc

Le gendre :

Beau-père, mon beau-père, je viens me plaindre à vous,

Chœurs :

Beau-père, mon beau-père, je viens me plaindre à vous...

Le beau-père :

De quoi vous plaignez-vous, Jean-Gilles mon gendre, de quoi vous plaignez-vous, ma fille est toute à vous.


Le gendre :

Oui, mais que faut-il faire, quand nous sommes entre nous ?...

Chœurs :

Oui, mais que faut-il faire, quand nous sommes entre nous ?...

Le beau-père :

Que ne la baisez-vous, Jean-Gilles mon gendre, que ne la baisez-vous, ma fille est toute à vous.


Le gendre :

Oui, mais si je la baise, des enfants elle me fout !

Chœurs :

Oui, mais si je la baise, des enfants elle me fout !

Le beau-père :

Que ne la p’lotez-vous, Jean-Gilles mon gendre, que ne la p’lotez-vous, ma fille est toute à vous.


Le gendre :

Oui, mais, si je la p’lote, ses seins deviendrons mou !

Chœurs :

Oui, mais, si je la p’lote, ses seins deviendrons mou !

Le beau-père :

Que ne la branlez-vous, Jean-Gilles mon gendre, que ne la branlez-vous, ma fille est toute à vous.

Le gendre :

Oui, mais, si je la branle, on se foutra de nous !

Chœurs :

Oui, mais, si je la branle, on se foutra de nous !

Le beau-père :

Que n’la gougnotez-vous, Jean-Gilles mon gendre, que n’la gougnotez-vous, ma fille est toute à vous.


Le gendre :

Oui, mais, si j’la gougnote, ça m’laissera comme un goût !

Chœurs :

Oui, mais, si j’la gougnote, ça m’laissera comme un goût !

Le beau-père :

Que ne l’enculez-vous, Jean-Gilles mon gendre, que ne l’enculez-vous, ma fille est toute à vous !


Le gendre :

Oui, mais, si je l’encule, elle chiera partout !

Chœurs :

Oui, mais, si je l’encule, elle chiera partout !

Le beau-père :

C’est vous, qui me faites chier, Jean-Gilles mon gendre ! C’est vous, qui me faites chier, Aux chiott’s, et branlez-vous !