Lothar Tyramon
Informations :
Nom | Lothar Tyramon |
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Pseudo | Lothar |
Rôle | Tirailleur Bouclier |
Grade | Soldat |
Contact |
Passé :
« Du kan ikke drepe meg, Eg er Lothar Baldurson »
(traduction en bretonnien : « Vous ne pouvez pas me tuer, je suis Lothar le fils de Baldur »)
Lothar Havardson de son nom de naissance est un bâtard de Havard Baldur, guerrier du nord. Son père reçu le nom de Baldur pour sa faculté à ne pas ressentir la douleur. Lothar quand à lui n'étant connu que par sa naissance illégitime chercha à se démarquer dès son plus jeune âge de toutes les façons possible. Une fois ça cérémonie de passage à l'âge adulte il prit comme voie d'être reconnu par ses paires pour ces fait d'armes et non pour le fait d'être un bâtard.
Les premières batailles Lothar s'équipa d'une hachette dans chaque main et du maquillage de guerre « arlequin » traduit en bretonnien, symbole de fureur et fourberie, et déferla dans le dos de ces ennemis une fois occupé par la première ligne de son camp. Un seul mot d'ordre « La fin justifie les moyens ».
Lothar accompli son objectif en obtenant son titre « Tyrämon » qu'il obtenu lorsqu'il se dressa pour empêcher l'exécution d'un innocent. Ce qui lui valu ce nom fût sa volonté de rétablir la vérité et la justice mais surtout le fait que malgré son petit gabarit il se releva toujours après être mis à terre. Tyrämon signifiant « la Montagne de la Justice » étant dans ce cas la preuve de sa détermination. Depuis ce jour la philosophie de Lothar changea comprenant que le plus important n'était pas tuer le plus de personnes mais d'être une personne honorable.
Son père fût retrouver mort peu de temps après d'une flèche entourée de gui. Lothar enleva le bracelet de son père et le garda précieusement avec lui, endossant le devoir d'honorer sa famille en mourant sur le champ de bataille de façon héroïque.
Lors des conflits du Nord Lothar choisi de fuir afin de ne prendre parti pour aucune des personnes souhaitant le pouvoir, craignant les répercutions futures de la milice de la Reine au pouvoir.
Il suivit une route le conduisant vers l'Ouest où il croisa Isimar, un nouveau Chevalier de Nova Bretonnia qui cherchait un bucheron pour sa terre. Ce fût l'occasion d'avoir de l'argent à mettre de côté. En discutant avec lui il apprit que Nova Bretonnia avait une Compagnie appelée « Caradoc ». Lothar se dit qu'il était peut-être temps de se faire de nouveaux alliés et de retourner prouver sa valeur au combat.
L'an de grâce 1218 :
- Un Viking heureux -
« J'adore ma vie p*tain ! »
Fraichement arrivé pour la campagne de Mythodea de 1218, il était donc enfin temps pour lui de faire connaissance avec cette compagnie dont il avait tant entendu parler.
Lothar fût surpris de l'accueil des gens de l'ouest et aussi de la Caradoc. Il aperçut des personnes heureuse de vivre, heureuse de se battre et heureuse de porter les couleurs qui les unissaient : le Noir, le Blanc.
Porter fièrement des couleurs ? C'était quelque chose qui lui était totalement inconnu. Pourtant au fil des discours il se sentit pris d'une volonté de se battre pour les autres, ou plutôt, pour les siens.
Lors des évènements de la campagne il put découvrir l'Ouest avec la voix de l'ouest lors d'une soirée mondaine ou il était garde du corps du Ri Isenden de Nova Bretonnia. Il put nouer ce qui semble être un début d'amitié avec le Ri de Atlantis.
Lors de cette campagne Lothar se prit d'affection pour plusieurs nouvelles personnes :
- Valriel, avec qui il avait une sorte de « jeu d'insulte ».
- Jio, qui l'a soigné à plusieurs reprises et a montré sa volonté de toujours faire plus jusqu'à aller en première ligne.
- Sanca, un bouffon toujours présent pour rire et se battre avec qui il avait eu de longue discussion à la taverne. Celui-ci mourut malheureusement après la Bataille de l'Atelier laissant un grand vide lors des soirées qui suivirent...
- « Sergent », dont il n'a jamais appris le prénom. Ce qui marqua Lothar fut de voir la façon qu'elle avait de se battre et de commander malgré son jeune âge. Toujours souriante au camp et féroce et « soyeux » sur le champ de bataille.
- Ripper, lui c'était quelqu'un pour qui Lothar avait plus un profond respect qu'une réelle relation amicale. Ripper incarnait la droiture du guerrier sur le champ de bataille, et un nordique digne de ce nom ne pouvait que respecter cela.
- Gluck, le Roi de la Taverne avec qui il a combattu, rigolé, festoyé, et souffert. Ce dernier lui a accordé un morceau de sa chemise pour le « bénir » de sa chance ce qui a marché puisqu'il n'a pas été touché une seule fois de toute cette journée. Il garde aujourd'hui ce morceau avec lui non pas comme une relique mais la marque d'une amitié.