« Ulriche » : différence entre les versions

De Caradoc
m (Corrections)
m (Alban a déplacé la page Ulrich vers Ulriche sans laisser de redirection : pour ne pas confondre avec Ulric)
(Aucune différence)

Version du 17 mai 2022 à 14:38

Ulriche

Informations :

Nom Ulriche
Pseudo Régis
Rôle Tirailleur
Grade Caporal
----
Vice-gouverneur
de Nova Bretonnia
Contact


Sa naissance

Ulrich est née la Dame seule sait où, et de quels parents. Il fut découvert non loin d’un champ pastoral sur les terres de Bretonnie, au sein du Duché de l’Anguille, alors qu’il n’était qu’un jeune nourrisson n’ayant probablement pas encore maté un an. Pour sa chance, ce furent des servantes de la Dame qui le découvrirent et l’emmenèrent avec elles au sein de leur petit domaine, situé au nord-est du château. Ulrich fut ainsi élevé aussi bien qu’un jeune enfant pouvait rêver de l’être. Il apprit ainsi, outre les différentes taches inhérentes à la bonne tenue de leur demeure, l’élevage des bêtes domestiques, lire et écrire et, chose qu’il n’aurait jamais approchée s’il avait été élevé comme un jeune bretonnien ordinaire, les bonnes manières.


L'entrainement

Les années passèrent ainsi avec leurs lots de soucis, de peines et de joies. Jusqu’au jour où Ulrich atteignit ses 10 printemps. Bien qu’encore un garçonnet, la petite communauté des servantes de la Dame n’avait pas pour habitude d’avoir des hommes dans leur rang... et elles n’allaient pas changer pour autant. On remit à Ulrich quelques affaires personnelles, bien davantage qu’un jeune homme de son âge de basse extraction pouvait espérer posséder, et on l’emmena en direction de l’Anguille afin d’être confié à l’un des généreux donateurs qui soutenait financièrement le domaine.

L’homme en question était un Chevalier revenu d’une glorieuse croisade en terre arabique, considérablement enrichie par les combats menés (mais surtout les pillages en règle). Disposant d’un fief octroyé par le Duc de l'Anguille, situé sur les bords de la Sannez et en vue de Couronne, le Chevalier était remarquablement bien installé pour un homme de sa « simple » condition.

Initialement dévolu aux tâches ménagères du château, comme tout garçonnet du bas peuple, Ulrich grandit sans faire d’histoire jusqu’à ses 14 ans, âge où on découvrit son incroyable talent... le bougre savait lire et écrire ! De simple garçon de château, il passa jeune page pour le Chevalier ainsi que pour le Mestre en charge de l’administration, ou ce qui en tenait lieux, du domaine. Cette promotion socialement enviable n’était pas tout à fait du gout d’Ulrich, qui avait pris gout aux travaux en lien avec les animaux des lieux, notamment les chevaux. S’il n’y avait que deux ou trois destriers, de fiers et puissantes bêtes, le Chevalier disposait d’une foultitude de bétails et de chevaux de moindres valeurs. Et Ulrich aimait à s’en occuper, tout particulièrement les chevaux. Mais qui se souciait des désirs d’un jeune homme en devenir, provenant d'on ne savait où ? Les plus folles rumeurs couraient quant à sa provenance, et d’aucun disait qu’il pouvait être le fruit de quelques amours interdits entre une servante de la Dame et on ne savait qui, encore une fois. Un Noble peut être ? Un Chevalier par trop hardi ? Ou l’un de ses immondes hommes-bêtes qui parfois parvenait à se saisir des femmes vulnérables en lisières des forêts ? Nul ne le savait.

Ulrich grandit donc encore, parvenant à s’occuper de temps à autres des chevaux, jusqu’à ce que son Maître ne réponde à l’appel aux armes du Duc de l’Anguille : une harde d’homme bête émergeait depuis la forêt d’Arden en Artenois. Maintenant âgé de 16 printemps, Ulrich avait commencé à suivre l’entrainement des jeunes hommes du domaine. Mais comme il travaillait le plus clair de son temps dans l’enceinte du château, il avait suivis celui des hommes d’armes du chevalier plutôt que celui de la valetaille des trois bourgs extérieurs. Le jeune Ulrich savait manier la lance ainsi que l’arc, et avait suivis les bases du combat à l’épée bien qu’il n’y en eu aucune pour lui.

La bataille, ou plutôt le carnage, qui eut lieux en lisière du domaine fut particulièrement éprouvante pour le jeune homme. Certes la soldatesque bretonnienne engagea des hommes bêtes culbuté par la prodigieuse charge menée par la Chevalerie du Duché, donc avec un certains avantage, mais le nombre de mort fut important et des flots de sangs inondèrent la plaine.

Sa bravoure au combat ne passa néanmoins pas inaperçu. Guère difficile me direz-vous au milieu d’une foule de gueux qui tentaient davantage de rester en vie que d’occire l’ennemi. D’ailleurs la foule de gueux était plus réduite qu’au départ. Le Chevalier ayant perdu son propre écuyer dans la bataille, nomma Ulrich à sa place. Commença alors une nouvelle vie pour notre jeune héros (ou pas) en devenir. Entraînements et services au Chevaliers se succédaient, et le jeune Ulrich devint un jeune homme, grandit de corps et d’esprit, se faisant obéir de la plupart dans le Château.

Plus libre de ses faits et gestes, Ulrich s’occupait davantage des chevaux de son maître et pu débuter le long et difficile travail de dresseur de chevaux. Métier ardue s’il en est mais ô combien prestigieux. Mais Ulrich aimait particulièrement ce travail, tandis qu’une paix relative existait dans le Duché.


Première guerre

Mais comme de bien souvent, la paix ne dura pas. Ulrich était devenu un écuyer, dresseur de chevaux reconnu et un combattant digne de son rang. Il possédait quelques biens, la plupart destinés à la guerre ou à son travail. Et voici qu’un beau jour, le Chevalier reçu l’appel du Ban afin de rallier une importante troupe en partance pour une terre nouvelle : Nova Bretonnia.

La traversée fut éprouvante, tant pour les hommes que pour les bêtes. À leurs arrivées au port Abhainn Cuan, les troupes bretonnienne étaient considérablement affaiblies. Il ne fallut qu’une simple embuscade fortuite (mais si c’est prévue ce n’est alors plus une embuscade) sur la route menant à la capitale de l’Ouest, Grian Quihenya, pour quasiment décimer le petit contingent bretonnien. Tout au plus restait-il une centaine d’hommes, et aucun chevalier ou noble. La débâcle était totale. Nombreux furent ceux à rebrousser chemin, mais Ulrich n’avait rien derrière lui. Son Maître était tombé au combat, et sans héritier d’aucune sorte, le fief reviendrait au suzerain. Ulrich alla donc de l’avant, jusqu’à apprendre l’existence d’une Compagnie dont les origines remontait à sa terre bretonnienne. La Caradoc disait-on, établie au nord en la citée de Ager Stormgard.

Il n’en fallait pas davantage à Ulrich. Combattant endurci bien que découvrant ce nouveau continent, il chemina vers le nord. Tantôt seul tantôt accompagnant quelques marchant. Il découvrit ainsi Steinhofen où l'on élevait nombre de belles bêtes. Ulrich trouva là un moyen de payer son voyage, car provisions et équipement coûtaient fort chers. Surtout qu’il transportait ses possessions complètes avec l’aide d’un cheval de trait.

Ses pérégrinations finirent par le conduire jusqu’au bivouac de la Compagnie Caradoc, qui visiblement était en campagne et pas exactement à Ager Stormgard. La suite, s’écrirait au sein de la Compagnie...


L'intronisation au sein de la Compagnie Caradoc (Campagne estivale de 1217)

Sa première campagne dans la Compagnie Caradoc ne fut pas de tout repos pour Ulrich, ce dernier intégrant les rangs des archers.
Mentalement transformé en poulet par un sortilège manqué, et très suspect, de l'un des mages dès son arrivée, cette mésaventure ne fit rien pour réconcilier le bretonnien avec la magie.

Se découvrant un lien particulier avec le brave Pferd, avec lequel il pouvait communiquer du fait de sa profession (dresseur de chevaux), Ulrich se mit en quête des citoyens de l'Ouest qui vendaient cette précieuse ressources et les découvrit au sein du Camp de l'Ouest.
Quelques tractations plus tard, et après avoir reçu une ferme à exploiter de la part du Bourgmestre, Ulrich avait en sa possession une dizaine de chevaux ouestriens dont l'achat avait été financé par la Voix de l'Ouest en personne.


Fouilles archéologiques de 1218

Ayant rejoint les membres de la Compagnie au sein du Sceau de l'Ouest, Ulrich prête son concours lors de ses fouilles en terres Morts-Vivantes.

Dès la fin du premier après midi, L'Ouest monte une expédition jusqu’au mur noir. Des combats ont lieux contre les morts-vivants qui gardent l'endroit tandis que l'Ouest « rencontre » leur nouvelle reine. Impossible de passer, même suite à l'assaut de l'Archon en personne, la troupe recule avec plus ou moins d’ordres. Ulrich reste longtemps en arrière garde jusqu’à être blessé à l’épaule lors de la contre-attaque. Il est récupéré par une intrigante jeune femme aux dents longues et aux oreilles pointues puis est soigné par un barde. Un barde quoi... On aura tout vu !

Au matin, attaque des troupes morts-vivantes et de la glace noire. La victoire n’est due qu’à l’intervention in-extremis de la Feste ainsi que de la Phalange Noire sur l’arrière de l’ennemi.

Traque des morts-vivants dans la campagne environnante. Nombreuses escarmouches. Tentative d’éliminer le chasseur, sans succès mais le bourreau est mis hors d’état de nuire. Ulrich suppliera Akim et les Caradociens de rester pour soutenir les troupes de l’Est sur le point d’être submergée, avec de très nombreux blessés, par les forces morts vivantes. Réussite de l’opération, mais il faut ensuite se replier de crainte d’être submergé pour également soigner les blessés.

Dans la journée, Ulrich et Glück affrontent la tête haute, face à un buisson, une cohorte de morts-vivants. Vous ne le croyez pas? Demandez-leur.

Inauguration du sport « l’enfoncer d’archer » par Gazgul et Ulrich. (haut-fait à venir ?)

Les caradociens et leur amis de la Bannière du Silence joue un rôle de tirailleurs très efficace en escarmouche.

Gazgul est touché par la pestilence et seule une intervention magique faisant bouillir son sang permet de le sauver.

Dans la soirée, Akim et Ulrich participe à un rituel de forge demandé par le Ministre de la Magie de l'Ouest en personne afin de forger un métal très rare et de lui insuffler la magie. La Phalange Noire fournira l’enclume avec quelques réticences compréhensibles. Le Mage d’Ignis élèvera la température à quelques 2500° pour travailler le métal, provoquant de lourdes souffrances aux aides forgerons, protégés par un sortilège de Wolfir.

Exploration du donjon.

Ulrich sauve Akim et Natanael in extremis face aux automates de la Schwartz Eis.

Guère de certitudes suite à cette exploration. 3 masses étaient présentes pour 4 emplacements. La Phalange Noire évoquera la nécessité de récupérer des essences élémentaires auprès des tribus en question pour remplir les jauges, 10 par jauge, ceci libérant l’arme. Usage uniquement contre Xoros ou Hagen, je ne sais plus, et disparition ensuite. Nous n’avons pas trouvé le tombeau de la personne censément enterré ici. Il était possible de communiquer de façon simple avec les automates de garde, mais pas de les détruire.

Bataille pour libérer Ellen. Ulrich se porte courageusement (et inconsidérément) seul devant le champion mort-vivant dans l’espoir de l’arrêter. Seule l’intervention des caradociens et de la bannière du Silence permet de le repousser. À priori le reste de l’armée alliée semble être venue en touriste, sans trop savoir « pourquoi ».

Vexation absolue : Il y a quand même UN CONNARD qui s’est planté entre Ellen et le Champion Mort Vivant. Pensez-vous que qui que ce soit aura remercié le petit Ulrich ? Pensez-vous !


L'inauguration du WorldBeaker par le Basilisk, printemps 1219

Invité par la Phalange Noire pour l'inauguration du WorldBeaker par les gens du Basilisk, Ulrich se rend au printemps 1219 en terre de Drada d'Issan.

Là où tout un chacun s'attendait à prendre des petits fours et à boire pendant l'inauguration, des brigands attaquent la Compagnie de la Phalange Noire au sein de laquelle Ulrich et des membres de la Bannière du Silence se trouvent. En arrivant sur les lieux du laboratoire, un combat confus semble se dérouler.

En définitive, il apparait qu'un dénommé Torin, très sensible à Terra, ait monté le Jugement des Cinq . Sorte de groupuscule déterminé à détruire le Sceau du Nord par l'explosion du World Breaker. Il lavait le cerveau de ses suivants dans un lieu nommé le Creuset . Le Jugement des Cinq avait ainsi saboté la console du WorldBeaker. Il fallu œuvrer pour le réparer. Vous aurez d'avantage d'informations en demandant directement à Ulrich!


Fouilles archéologiques de 1219

Campagne estivale de 1219