« Isimar » : différence entre les versions

De Caradoc
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Isimar a beaucoup changé depuis qu’il a rejoint les rangs de la Caradoc. Originaire de Transylvanie, il y exerçait la profession de prête dans un monastère aux pratiques et croyances occultes. Il n’avait cependant jamais fait ce choix, puisqu’il est né de l’union interdite entre son père, lui-même prête au monastère, et de sa mère, femme a qui l’hospitalité du lieu de culte avait été accordée pendant un temps. Il y grandit sans connaitre ses parents, punit sévèrement pour leur manquement aux règles fondamentales du monastère. Pendant des années, il reçut l’enseignement de l’écriture, la lecture, et de la magie, essentielle aux rituels réguliers du lieu de culte.
Le monastère étant étroitement lié à la famille Folks, c’est ainsi qu’Isimar fit la connaissance d’Isenden, un être pour le moins étrange. Ils apprirent à se connaître au fil des ans, Isenden lui rendant régulièrement visite. L’année de ses vingt ans, alors qu’ils étaient devenus amis, Isenden demanda à Isimar de l’aider dans sa mission. Il devrait quitter le monastère et se joindre à lui dans le but de mener une guerre pour Mythodea. Il attendait du jeune prêtre qu’il soit le protecteur de son cercle de mages, qu’il avait réuni au sein de la compagnie Caradoc. Isimar hésita pendant quelques semaines, ne connaissant rien d’autre que le monastère. Il ne connaissait rien à la guerre, ni au monde extérieur. Mais il finit par accepter, par soif de découverte et d’apprentissage.
Isimar découvrit alors tout un autre monde aux côtés de la compagnie Caradoc. Il connut l’adrénaline de la guerre, et le sentiment d’appartenance. La fierté de faire partie d’un groupe de fiers combattants portant les mêmes couleurs et entonnant les mêmes paroles en marchant au combat. Sa performance en tant que mage et protecteur du cercle ne fut, en revanche, pas brillante, en grande partie à cause de l’immunité des combattants ennemis contre la magie. Pourtant prêt à persévérer et à user de ses connaissances diverses dans le but d’aider la cause pour laquelle tous se battaient, il suivit Isenden sans relâche. C’est ainsi qu’il se retrouva à consulter les souvenirs du ratio à l’aide d’un étrange instrument. Ces souvenirs étaient horribles et dérangeants. Au point qu’ils semblaient gravés dans sa mémoire, comme une mélodie qui ne voudrait jamais en sortir. Isimar commençait à devenir fou, et il demanda alors à Isenden de l’aider à effacer ces souvenirs de son esprit. Son ami l’aida donc au moyen d’un rituel. Rituel qui malheureusement tourna mal, puisqu’en plus de supprimer les souvenirs du ratio gravés dans l’esprit d’Isimar, il supprima également son habilité à utiliser la magie, ainsi que ses capacités de lecture et d’écriture. Du prêtre mage, il ne restait plus que l’homme.
Ne pouvant retourner à ses anciennes occupations au monastère, et n’en ayant pas le souhait de toute manière, Isimar rentra donc avec ses nouveaux camarades et s’installa à Nova Bretonnia. Il lui fallut quelques semaines pour trouver une nouvelle activité qui pourrait lui convenir, mais il se rendit vite compte que le travail manuel du monastère lui manquait parfois. Dans le but de se rendre utile, il fit donc l’acquisition d’une hache de bûcheron et s’employa à couper du bois. Il y prit rapidement goût, et décida d’en faire son occupation, au moins pendant un temps. Grâce à l’aide d’artisans locaux, ainsi que des fonds prêtés par Isenden, il se fit bâtir une modeste bâtisse.
Depuis Isimar ne quitte Nova Bretonnia que pour se joindre à l’effort de guerre de la compagnie Caradoc. Il ne peut plus utiliser sa magie, mais il a trouvé dans la hache et le bouclier une autre façon de se battre pour défendre les terres et la population qui sont maintenant les siennes.


[[Catégorie:Membre 2014]]
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Version du 25 juin 2017 à 21:45

Isimar

Informations :

Nom Isimar
Pseudo
Rôle Ancien mage / Tirailleur
Grade Soldat
Contact

Isimar a beaucoup changé depuis qu’il a rejoint les rangs de la Caradoc. Originaire de Transylvanie, il y exerçait la profession de prête dans un monastère aux pratiques et croyances occultes. Il n’avait cependant jamais fait ce choix, puisqu’il est né de l’union interdite entre son père, lui-même prête au monastère, et de sa mère, femme a qui l’hospitalité du lieu de culte avait été accordée pendant un temps. Il y grandit sans connaitre ses parents, punit sévèrement pour leur manquement aux règles fondamentales du monastère. Pendant des années, il reçut l’enseignement de l’écriture, la lecture, et de la magie, essentielle aux rituels réguliers du lieu de culte. Le monastère étant étroitement lié à la famille Folks, c’est ainsi qu’Isimar fit la connaissance d’Isenden, un être pour le moins étrange. Ils apprirent à se connaître au fil des ans, Isenden lui rendant régulièrement visite. L’année de ses vingt ans, alors qu’ils étaient devenus amis, Isenden demanda à Isimar de l’aider dans sa mission. Il devrait quitter le monastère et se joindre à lui dans le but de mener une guerre pour Mythodea. Il attendait du jeune prêtre qu’il soit le protecteur de son cercle de mages, qu’il avait réuni au sein de la compagnie Caradoc. Isimar hésita pendant quelques semaines, ne connaissant rien d’autre que le monastère. Il ne connaissait rien à la guerre, ni au monde extérieur. Mais il finit par accepter, par soif de découverte et d’apprentissage.



Isimar découvrit alors tout un autre monde aux côtés de la compagnie Caradoc. Il connut l’adrénaline de la guerre, et le sentiment d’appartenance. La fierté de faire partie d’un groupe de fiers combattants portant les mêmes couleurs et entonnant les mêmes paroles en marchant au combat. Sa performance en tant que mage et protecteur du cercle ne fut, en revanche, pas brillante, en grande partie à cause de l’immunité des combattants ennemis contre la magie. Pourtant prêt à persévérer et à user de ses connaissances diverses dans le but d’aider la cause pour laquelle tous se battaient, il suivit Isenden sans relâche. C’est ainsi qu’il se retrouva à consulter les souvenirs du ratio à l’aide d’un étrange instrument. Ces souvenirs étaient horribles et dérangeants. Au point qu’ils semblaient gravés dans sa mémoire, comme une mélodie qui ne voudrait jamais en sortir. Isimar commençait à devenir fou, et il demanda alors à Isenden de l’aider à effacer ces souvenirs de son esprit. Son ami l’aida donc au moyen d’un rituel. Rituel qui malheureusement tourna mal, puisqu’en plus de supprimer les souvenirs du ratio gravés dans l’esprit d’Isimar, il supprima également son habilité à utiliser la magie, ainsi que ses capacités de lecture et d’écriture. Du prêtre mage, il ne restait plus que l’homme.



Ne pouvant retourner à ses anciennes occupations au monastère, et n’en ayant pas le souhait de toute manière, Isimar rentra donc avec ses nouveaux camarades et s’installa à Nova Bretonnia. Il lui fallut quelques semaines pour trouver une nouvelle activité qui pourrait lui convenir, mais il se rendit vite compte que le travail manuel du monastère lui manquait parfois. Dans le but de se rendre utile, il fit donc l’acquisition d’une hache de bûcheron et s’employa à couper du bois. Il y prit rapidement goût, et décida d’en faire son occupation, au moins pendant un temps. Grâce à l’aide d’artisans locaux, ainsi que des fonds prêtés par Isenden, il se fit bâtir une modeste bâtisse. Depuis Isimar ne quitte Nova Bretonnia que pour se joindre à l’effort de guerre de la compagnie Caradoc. Il ne peut plus utiliser sa magie, mais il a trouvé dans la hache et le bouclier une autre façon de se battre pour défendre les terres et la population qui sont maintenant les siennes.