« Noar Sargel » : différence entre les versions
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Mon frère ne sait guère se défendre autrement que par la parole et notre géniteur se fait vieux, ses nuits sont agitées et je crains chaque matin qu'il ne se réveille pas... | |||
Je me suis lié d'amitié avec un garde appelé [[Sulpice d'Episcomonte|Sulpice]], il me donne des conseils et je lui rends en m'occupant de son vieux père qui s'épuise à la forge seigneuriale... | |||
Finalement c'est le mien qui parti en premier, par un matin humide et froid, comme on le dit de la couche d'une catin de [[Morvandie]]. | |||
Après ça, mon frère [[Cheresc]] et moi avons décidé de rejoindre les mercenaires employés par notre seigneur plutôt que de nous tuer à reprendre l'affaire familiale criblée de dettes... | |||
Ce sera ma première guerre. Il parait | J'avais vécu toute ma vie à la ferme, je m'y étais construit un corps solide et endurant. Les petites tâches ne manquaient pas là-bas ; soigner les bêtes, réparer le matériel de ferme et consolider le toit des bâtisses... Pour sûr j'y ai appris quelques compétences qui me seront utiles dans mon nouveau métier. » | ||
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« Peste soit de Le Guellec ! Après lui avoir rendu moultes services voilà qu'il nous pourchasse ! J'ai même failli être torturé et tué, je ne remercierai jamais assez mon ami [[Sulpice]] de m'avoir aider à me libérer ! | |||
Maintenant nous avons fuit en Mauritanie, et nous attendons de rejoindre l'pile d'[[Albion]] pour une nouvelle mission ; notre destin nous attends là bas, je suis sur que de grandes choses nous y attendent ! Ce sera ma première vraie guerre. Il parait qu'après dix années on peut devenir vétéran... Ou bien un mort en beaucoup moins de temps... Il n'y a pas d'autre alternative. | |||
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Version actuelle datée du 22 juillet 2024 à 15:26
Informations :
| Nom | Noar Sargel |
|---|---|
| Pseudo | |
| Rôle | Panzer |
| Grade | Soldat |
| Contact |
« Je me nomme Noar Sargel, je n'ai que dix-huit ans mais je fais déjà partie de la compagnie de Saint-Caradoc.
Suite à la mort de ma mère, j'ai réussi à persuader mon père de me laisser suivre un entrainement militaire contre quelques services auprès des hommes d'armes de notre redouté Seigneur Le Guellec.
Mon frère ne sait guère se défendre autrement que par la parole et notre géniteur se fait vieux, ses nuits sont agitées et je crains chaque matin qu'il ne se réveille pas...
Je me suis lié d'amitié avec un garde appelé Sulpice, il me donne des conseils et je lui rends en m'occupant de son vieux père qui s'épuise à la forge seigneuriale... Finalement c'est le mien qui parti en premier, par un matin humide et froid, comme on le dit de la couche d'une catin de Morvandie.
Après ça, mon frère Cheresc et moi avons décidé de rejoindre les mercenaires employés par notre seigneur plutôt que de nous tuer à reprendre l'affaire familiale criblée de dettes...
J'avais vécu toute ma vie à la ferme, je m'y étais construit un corps solide et endurant. Les petites tâches ne manquaient pas là-bas ; soigner les bêtes, réparer le matériel de ferme et consolider le toit des bâtisses... Pour sûr j'y ai appris quelques compétences qui me seront utiles dans mon nouveau métier. »
* *
*« Peste soit de Le Guellec ! Après lui avoir rendu moultes services voilà qu'il nous pourchasse ! J'ai même failli être torturé et tué, je ne remercierai jamais assez mon ami Sulpice de m'avoir aider à me libérer !
Maintenant nous avons fuit en Mauritanie, et nous attendons de rejoindre l'pile d'Albion pour une nouvelle mission ; notre destin nous attends là bas, je suis sur que de grandes choses nous y attendent ! Ce sera ma première vraie guerre. Il parait qu'après dix années on peut devenir vétéran... Ou bien un mort en beaucoup moins de temps... Il n'y a pas d'autre alternative.
Et j'espère encore vivre longtemps. »