« Jean de Comblessac » : différence entre les versions

De Caradoc
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[[Image:Baron_Vauvert.JPG‎|thumb|Le baron de Vauvert]]
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Jean de Comblessac gère les terres de sa baronnie suite à la disparition de son père Pierre de Comblessac, il y a 5 ans. Son père était un grand homme ayant réussi à créer la paix dans une terre troublée souvent par les invasions. Il avait par le passé remis ainsi les terres de Valencour à des vikings pour tempérer leur ardeur. Ceux-ci étaient installés 50 ans sans aucunes violences et vivaient de pêche et de cultures. Pourtant vous saviez que ces terres, personne n’en voulait par le passé car elles étaient trop pauvres pour une paysan bretonnien.
[[Category:Personnage Caradoc]]
Votre père avait redynamisé le commerce et instauré des taxes pour augmenter les services de milices et de soutien aux populations s’implantant dans sa baronnie.
[[Category:Geographichus]]
[[Category:Morvandie]]
[[Category:Inter-Caradoc_2009]]


Il avait soutenu l’implantation de bretonniens d’Aquitanie auprès du roi lui-même sur les terres du Vauvert suite au départ brutal et inattendu des quelques dernières peuplades vikings. Bref, Pierre était un bon baron estimé et son fils Jean n’était pas de même. Dépensier, bon vivant et peu enclin à gouverner (juste pour le faste), il avait vidé les coffres de sa baronnie. On aurait plus l’appelait Roi fainéant.
[[Image:Baron_Vauvert.JPG|thumb|Jean de Comblessac, Baron de Vauvert<br>revêtant la dernière houppelande à la mode 1206.]]
Joueur à ses heures perdues, il aimait jouer au « sieben » pour « Oublier… » et s’amuser à outrance dans les volutes de fumées d’alcool. Il n’avait pas la mesure de son père.  
Jean de Comblessac, Baron de Vauvert, Comte de Valencour et Seigneur de Comblessac.


La Baronnie mourrait à petit feu et rien ne semblait changer les choses.
Personnage extravagant gérant les terres de la baronnie de Vauvert depuis la disparition de son père Pierre de Comblessac il y a déjà cinq années, en été 1201.
Au mois d’avril, Jean devait donc faire face à une nouvelle « invasion ». Au perron du logis du château, Le Frère Blaise, seul rescapé de l’abbaye de Ker-Ar-Beg l’informait de la destruction de celle-ci et de son sac : Le trésor fut vidé. Aucuns frères n’avaient survécu !
Il a donc envoyé une missive au Roi à Neu York afin de l’avertir de l’instabilité de sa baronnie en exagérant les faits (une flotte impressionnante). Il lui fallait des hommes car la milice n’avait pas suffi. Le temps passa et le baron a devancé le roi en louant les services des hommes de la communauté vikings des terres de Valencour. Ils lui devaient bien cela ou pour son père !


==Un père méritant : Pierre « le Juste » et les colons Vikinghers==
Le père de l'actuel Baron était un grand homme qui réussit à instaurer la paix dans une contrée souvent troublée par les invasions des peuples du Nord. Il avait ainsi par le passé remis les terres de Valencour à des vikinghers faméliques fuyant la rudesse du grand Nord. Ceux-ci s'y étaient installés il y a maintenant plusieurs dizaines d'années sans aucune violence et s'étaient sédentarisés, ils vivaient de pêche et de cultures alors que par le passé, les terres de Valencour avaient toujours été jugées trop pauvres et battues par des vents trop froids et humides pour y faire pousser durablement quoi que ça soit. Les colons vikings semblaient faire mentir ces on-dit.


Il avez ses hommes. Les « locaux Bretonniens» ne se sentaient pas pour autant à l’aise auprès de leurs voisins comme frères d’armes. Point de compagnie en vue, les renforts se faisaient attendre. Alors qu’en ce samedi du 18ème jour les hommes de Grim étaient prêts à en découdre. Le baron donc décidé que ce samedi 18 Avril au soir soit une trêve sur ces terres du Vauvert. Meilleur moyen pour attendre les secours mais aussi pour rappeler les talents de son père (ce pacificateur). Des tables ont été dressées et chacun s’installe autour du feu afin de trouver un arrangement.
L'ancien baron avait ainsi fait renaître l'agriculture et le commerce et instauré des taxes afin de payer des milices pour protéger les populations de colons de sa baronnie. Il avait aussi soutenu l'implantation de Breutonniens venus de [[Queutardie]] sur les terres de Vauvert auprès du Roi lui-même. Colons vikinghers et anciens Queutains y vivaient sans encombre.
Hélas la trêve fut courte et Le baron disparut dans la nuit suite à une possession que l'on dit démoniaque.
 
==Une descendance lascive==
Si tous s'accordent à tenir en haute estime le Baron Pierre de Comblessac, il est tout autrement pour son fils Jean qu'on aura tôt fait de surnommer le « baron fainéant » de Vauvert. En effet ce dernier était dépensier, bon vivant et peu enclin à gouverner ou juste pour le faste. Il avait réussi à vider les coffres de sa baronnie en cinq petites années. Pas étonnant me direz-vous lorsqu'on sait qu'il adorait les jeux d'argent, avec une préférence pour le « [[Sieben]] », un jeu du bas peuple dont il faisait d'interminables parties, rajoutant toujours une bourse supplémentaire sortie de sa houppelande de velours. Ajoutez à cela son addiction pour l'alcool et les fragrances et vous obtiendrez un personnage contrastant fortement avec l'homme de juste mesure qu'avait été son père.
 
Les soldes des miliciens se faisaient plus rares, les taxes avaient doublé mais servaient surtout à maintenir le train de vie oisif de Jean qui ne voyait pas que sa Baronnie se mourrait à petit feu et ne semblait en aucun cas vouloir changer les choses.
 
==1206, une nouvelle invasion venue du Nord==
Mais peu avant le début du mois d'avril 1206, Jean dû faire face à une nouvelle « invasion » venue par les mers. Des navires de guerre Vikinghers sillonnaient les côtes et des troupes barbares menaient des excursions dans les terres, semant des grandes inquiétudes parmi la population qui doutait fortement des capacités militaires du Baron en cas de conflit. Jean de Comblessac pris tout de même la chose à cœur ; il convoqua les chefs de famille des colons vikinghers de Valencour, qui lui apprirent que les récentes incursions étaient le fait du clan vikingher d'Yddland, et qu'avec eux on pouvait craindre le pire. Jean en prit bonne note et envoya missive au Roi afin de l’avertir des risques des troubles à venir et du piètre état de ses forces. Il exagéra les faits en parlant d'une flotte immense déversant des hordes de barbares hirsutes, et de ses pauvres paysans qui continuaient à labourer courageusement leurs terres comme le feraient de bons et loyaux sujets. Il demanda au Roi d'appuyer sur les seigneuries alentours pour que lui soit envoyés bon nombre d'hommes d'armes car sa milice ne pourrait repousser plus longtemps les terribles barbares.
 
Le temps passa et le baron compris que le Roi n'était pas dupe. La menace était pourtant bien réelle et Jean décida d'armer les colons vikinghers de Valencour. Ceux-ci ne parurent pas enchantés d'être sous les ordres du capitaine de la milice du baron mais Jean argua qu'ils devraient s'y plier pour honorer la mémoire de son père Pierre de Comblessac, baron de Vauvert qui leur avait octroyer leurs terres. Des patrouilles furent organisées pour intercepter les petits groupes de barbares mais sans succès, ceux-ci ne semblaient pas vouloir de confrontation. Des restes de bivouac furent trouvés et fouillés, il semblait que ces vikinghers n'étaient pas là pour s'installer mais plutôt en reconnaissance.
 
Alors que la présence des vikinghers d'Yddland était néanmoins de plus en plus visible, se jouant de la milice et des colons, le Baron reçut finalement une réponse laconique d'un seigneur de [[Beurretagne]] qui lui disait agir sur injonction de la régence du royaume en envoyant une compagnie mercenaire qu'il faudrait nourrir et laisser se servir sur l'ennemi si les armes venaient à parler. Jean pensa que les choses commençaient à lui sourire et se sentant auréolé des talents pacificateurs de son père, décida qu'il était temps d'organiser un banquet afin de faire retomber les tensions, et que tous y seraient les bienvenus, Breutonniens, colons et même ces intrigants barbares. Il aurait lieu pour l'arrivée des mercenaires qu'on lui avait promis.
 
==Le banquet de Vauvert==
Le dix-septième jour du mois d'avril 1206, un messager rapporta que la Compagnie mercenaire de Saint-Caradoc n'était plus qu'à un jour de marche. C'était parfait, il était temps de dresser les tables dans la cour de la ferme qui servirait de gîte aux mercenaires, de préparer le bois pour faire grand feu, et de tuer quelques cochons et même un veau pour le repas. Cette fête serait l'occasion de proposer aux barbares un petit lopin de terre comme l'avait fait jadis Pierre de Comblessac, ou alors servirait à mieux jauger ses intrus pour un affrontement dont les mercenaires sortiraient certainement vainqueurs. Peu importe, l'histoire retiendrait avant tout que le Baron Jean menait les opérations.
 
Hélas pour Jean de Comblessac, le fameux banquet se terminera par sa propre disparition dans la nuit...
 
 
:<i>La suite des évènements est relatée dans la [[Lettre de Panaverne]].</i>
 
 
==Armoiries de Vauvert==
*Baronnie de Vauvert avant l'arrivée des colons à Valencour : <i>Plein de sinople à tête de veau d'argent et filière de même.</i> Le Vauvert était autrefois une terre d'élevage bovin et de pâturage. Il n'est donc pas étonnant que les armoiries représentent une tête de veau, viande noble et chère dont peu de région peuvent se réclamer d'en avoir fait leur spécialité. La filière d'argent symbolise justement le savoir-faire particulièrement bien gardé de la région pour ce type d'élevage.
*Baronnie de Vauvert suite à l'installation des colons vikings à Valencour : <i>Plein de sinople à tête de veau d'argent au chef ondulé d'argent chargé de trois runes de sable et à filière d'argent.</i> À la demande des colons vikings, le Baron Pierre de Comblessac fit rajouter en chef quatre runes afin de montrer qu'il considérait les colons comme de loyaux éléments de sa baronnie.
*Jean de Comblessac fit repeindre d'or toutes les têtes de veaux des armoiries qu'il voyait car il trouvait que cela correspondait mieux à son rang. Il projetait également de les remplacer par des têtes de lion mais son tragique destin ne lui permit pas de mettre en œuvre cette autre fantaisie.
 
<i>(Illustrations à venir)</i>
 
==Armoiries de Comblessac==
[[image:Comblessac.png|thumb|left|« De sinople chargé de 3 épis d'or et champagne de même », le blason de Comblessac en [[Morvandie]].]]
Seigneurie de Comblessac : <i>De sinople chargé de trois épis d'or et champagne de même.</i><br>Les récoltes traditionnellement abondantes dans la seigneurie furent représentées sur les armoiries par un un écu dont les épis de blé <i>comblaient le sac</i> représenté ici par la pièce en champagne d'or.
 
==Armoiries de Valencour==
Fief de Valencour : <i>(à venir)</i>
 
<i>(Illustration à venir)</i>

Version actuelle datée du 5 novembre 2022 à 21:56

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Jean de Comblessac, Baron de Vauvert
revêtant la dernière houppelande à la mode 1206.

Jean de Comblessac, Baron de Vauvert, Comte de Valencour et Seigneur de Comblessac.

Personnage extravagant gérant les terres de la baronnie de Vauvert depuis la disparition de son père Pierre de Comblessac il y a déjà cinq années, en été 1201.

Un père méritant : Pierre « le Juste » et les colons Vikinghers

Le père de l'actuel Baron était un grand homme qui réussit à instaurer la paix dans une contrée souvent troublée par les invasions des peuples du Nord. Il avait ainsi par le passé remis les terres de Valencour à des vikinghers faméliques fuyant la rudesse du grand Nord. Ceux-ci s'y étaient installés il y a maintenant plusieurs dizaines d'années sans aucune violence et s'étaient sédentarisés, ils vivaient de pêche et de cultures alors que par le passé, les terres de Valencour avaient toujours été jugées trop pauvres et battues par des vents trop froids et humides pour y faire pousser durablement quoi que ça soit. Les colons vikings semblaient faire mentir ces on-dit.

L'ancien baron avait ainsi fait renaître l'agriculture et le commerce et instauré des taxes afin de payer des milices pour protéger les populations de colons de sa baronnie. Il avait aussi soutenu l'implantation de Breutonniens venus de Queutardie sur les terres de Vauvert auprès du Roi lui-même. Colons vikinghers et anciens Queutains y vivaient sans encombre.

Une descendance lascive

Si tous s'accordent à tenir en haute estime le Baron Pierre de Comblessac, il est tout autrement pour son fils Jean qu'on aura tôt fait de surnommer le « baron fainéant » de Vauvert. En effet ce dernier était dépensier, bon vivant et peu enclin à gouverner ou juste pour le faste. Il avait réussi à vider les coffres de sa baronnie en cinq petites années. Pas étonnant me direz-vous lorsqu'on sait qu'il adorait les jeux d'argent, avec une préférence pour le « Sieben », un jeu du bas peuple dont il faisait d'interminables parties, rajoutant toujours une bourse supplémentaire sortie de sa houppelande de velours. Ajoutez à cela son addiction pour l'alcool et les fragrances et vous obtiendrez un personnage contrastant fortement avec l'homme de juste mesure qu'avait été son père.

Les soldes des miliciens se faisaient plus rares, les taxes avaient doublé mais servaient surtout à maintenir le train de vie oisif de Jean qui ne voyait pas que sa Baronnie se mourrait à petit feu et ne semblait en aucun cas vouloir changer les choses.

1206, une nouvelle invasion venue du Nord

Mais peu avant le début du mois d'avril 1206, Jean dû faire face à une nouvelle « invasion » venue par les mers. Des navires de guerre Vikinghers sillonnaient les côtes et des troupes barbares menaient des excursions dans les terres, semant des grandes inquiétudes parmi la population qui doutait fortement des capacités militaires du Baron en cas de conflit. Jean de Comblessac pris tout de même la chose à cœur ; il convoqua les chefs de famille des colons vikinghers de Valencour, qui lui apprirent que les récentes incursions étaient le fait du clan vikingher d'Yddland, et qu'avec eux on pouvait craindre le pire. Jean en prit bonne note et envoya missive au Roi afin de l’avertir des risques des troubles à venir et du piètre état de ses forces. Il exagéra les faits en parlant d'une flotte immense déversant des hordes de barbares hirsutes, et de ses pauvres paysans qui continuaient à labourer courageusement leurs terres comme le feraient de bons et loyaux sujets. Il demanda au Roi d'appuyer sur les seigneuries alentours pour que lui soit envoyés bon nombre d'hommes d'armes car sa milice ne pourrait repousser plus longtemps les terribles barbares.

Le temps passa et le baron compris que le Roi n'était pas dupe. La menace était pourtant bien réelle et Jean décida d'armer les colons vikinghers de Valencour. Ceux-ci ne parurent pas enchantés d'être sous les ordres du capitaine de la milice du baron mais Jean argua qu'ils devraient s'y plier pour honorer la mémoire de son père Pierre de Comblessac, baron de Vauvert qui leur avait octroyer leurs terres. Des patrouilles furent organisées pour intercepter les petits groupes de barbares mais sans succès, ceux-ci ne semblaient pas vouloir de confrontation. Des restes de bivouac furent trouvés et fouillés, il semblait que ces vikinghers n'étaient pas là pour s'installer mais plutôt en reconnaissance.

Alors que la présence des vikinghers d'Yddland était néanmoins de plus en plus visible, se jouant de la milice et des colons, le Baron reçut finalement une réponse laconique d'un seigneur de Beurretagne qui lui disait agir sur injonction de la régence du royaume en envoyant une compagnie mercenaire qu'il faudrait nourrir et laisser se servir sur l'ennemi si les armes venaient à parler. Jean pensa que les choses commençaient à lui sourire et se sentant auréolé des talents pacificateurs de son père, décida qu'il était temps d'organiser un banquet afin de faire retomber les tensions, et que tous y seraient les bienvenus, Breutonniens, colons et même ces intrigants barbares. Il aurait lieu pour l'arrivée des mercenaires qu'on lui avait promis.

Le banquet de Vauvert

Le dix-septième jour du mois d'avril 1206, un messager rapporta que la Compagnie mercenaire de Saint-Caradoc n'était plus qu'à un jour de marche. C'était parfait, il était temps de dresser les tables dans la cour de la ferme qui servirait de gîte aux mercenaires, de préparer le bois pour faire grand feu, et de tuer quelques cochons et même un veau pour le repas. Cette fête serait l'occasion de proposer aux barbares un petit lopin de terre comme l'avait fait jadis Pierre de Comblessac, ou alors servirait à mieux jauger ses intrus pour un affrontement dont les mercenaires sortiraient certainement vainqueurs. Peu importe, l'histoire retiendrait avant tout que le Baron Jean menait les opérations.

Hélas pour Jean de Comblessac, le fameux banquet se terminera par sa propre disparition dans la nuit...


La suite des évènements est relatée dans la Lettre de Panaverne.


Armoiries de Vauvert

  • Baronnie de Vauvert avant l'arrivée des colons à Valencour : Plein de sinople à tête de veau d'argent et filière de même. Le Vauvert était autrefois une terre d'élevage bovin et de pâturage. Il n'est donc pas étonnant que les armoiries représentent une tête de veau, viande noble et chère dont peu de région peuvent se réclamer d'en avoir fait leur spécialité. La filière d'argent symbolise justement le savoir-faire particulièrement bien gardé de la région pour ce type d'élevage.
  • Baronnie de Vauvert suite à l'installation des colons vikings à Valencour : Plein de sinople à tête de veau d'argent au chef ondulé d'argent chargé de trois runes de sable et à filière d'argent. À la demande des colons vikings, le Baron Pierre de Comblessac fit rajouter en chef quatre runes afin de montrer qu'il considérait les colons comme de loyaux éléments de sa baronnie.
  • Jean de Comblessac fit repeindre d'or toutes les têtes de veaux des armoiries qu'il voyait car il trouvait que cela correspondait mieux à son rang. Il projetait également de les remplacer par des têtes de lion mais son tragique destin ne lui permit pas de mettre en œuvre cette autre fantaisie.

(Illustrations à venir)

Armoiries de Comblessac

« De sinople chargé de 3 épis d'or et champagne de même », le blason de Comblessac en Morvandie.

Seigneurie de Comblessac : De sinople chargé de trois épis d'or et champagne de même.
Les récoltes traditionnellement abondantes dans la seigneurie furent représentées sur les armoiries par un un écu dont les épis de blé comblaient le sac représenté ici par la pièce en champagne d'or.

Armoiries de Valencour

Fief de Valencour : (à venir)

(Illustration à venir)