« Sengar » : différence entre les versions
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Pendant longtemps il a porté les couleurs d'un grand seigneur, mais pris d'une rage meurtrière quand quelqu'un tenta d'assassiner son maitre, il massacra l'ennemi, les cinq gardes et son seigneur. Dès qu'il eu repris ces esprits, il prit ses jambes à son cou face au carnage qu'il venait d'accomplir. | |||
Après quelques années d'errance, il trouva une place au sein de la compagnie caradoc qui cherchait ardemment un solide gaillard pour porter sa bannière et la defendre coute que coute. | |||
Voici maintenant quelques uns de ces exploits: | |||
En l'an de grâce 1012, alors qu'il assurait la "protection" de notre frère inquisiteur, la cloche d'alarme retentit au campement. rapidement ils revinrent pour s'apercevoir que les morts-vivants tentaient d'attaquer le campement. Voyant sa bannière flotter juste derrière la muraille, il savait que les siens n'attendaient qu'une opportunité pour effectuer une sortie et repousser l'assaillant. C'est alors que lui vint une idée de génie, il allait porter à l'ennemi un coup qui l'obligerait à séparer ses troupes, il allait s'emparer de la bannière adverse. Il s'approcha discrètement de la bannière et à l'aide des potions de berserk dont il a le secret se déchaina contre le porte-bannière. Quand il eu la bannière en main il poussa le cri de ralliement de la compagnie en tant que signal pour les forces coincées dans l'enceinte du campement, cependant il n'eut pas le temps de s'enfuir avec l'emblême capturé qu'une horde d'ennemi lui tomba dessus et le reduisit en miette. il ne dut son salut qu'au chaman orque qui le ramassa et le soigna tant bien que mal. | |||
En l'an de grâce 1012, alors qu'il se réapprovisionnait en ville, il entendit l'alarme résonner au camp de la terre, rapidement il retrouva les quelques caradociens eparpillés en ville et ensembles ils tentèrent de rejoindre le camp créant une brèche dans les lignes de morts-vivants. | |||
Un des morts vivants lui assena un coup de marteau qui le fit tomber à terre, l'adversaire un peu trop sur de lui le conduisit encore hagard mais pas completement défait au sein des prisonniers. Quelques instants plus tard , alors qu'il eut repris ces esprits, il s'empara d'une des potions qu'il avait à sa ceinture et dans une folie meurtrière se releva et brandit son épée à deux mains comme si elle ne pesait plus rien. Dans les minutes qui suivirent il occit deux de ces monstres avec une rage comme rarement on en voyait, le sergent ennemi très surpris de ce rebondissement ne mis pourtant pas longtemps pour venir à bout du forcené. | |||
De longues minutes plus tard quand il rouvrit les yeux il se trouvait parmi les blessés à l'exterieur du campement qui avait été investi par les envahisseurs. Il vit par dessus le mur que sa bannière flottait toujours à l'intérieur du camp, et ne pouvait se résoudre à la laisser ainsi. | |||
C'est ainsi que boitant, il se fraya un chemin juste derrière les lignes de combattant, dès que la porte fut reprise il se faufilla claudiquant de plus en plus vers sa bannière, son devoir était de la porter là où elle devait etre, en première ligne, donnant courage et montrant la valeur de la compagnie c'est ainsi qu'il traversa le camp à bout de force pour finalement ramener la bannière auprès de la fameuse ligne caradocienne alors même qu'il était toujours des adversaires debout. | |||
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Version du 11 août 2012 à 01:49
Informations :
Nom | Sengar |
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Pseudo | Seb |
Rôle | Porte-Bannière |
Grade | Soldat |
Contact |
Pendant longtemps il a porté les couleurs d'un grand seigneur, mais pris d'une rage meurtrière quand quelqu'un tenta d'assassiner son maitre, il massacra l'ennemi, les cinq gardes et son seigneur. Dès qu'il eu repris ces esprits, il prit ses jambes à son cou face au carnage qu'il venait d'accomplir.
Après quelques années d'errance, il trouva une place au sein de la compagnie caradoc qui cherchait ardemment un solide gaillard pour porter sa bannière et la defendre coute que coute.
Voici maintenant quelques uns de ces exploits:
En l'an de grâce 1012, alors qu'il assurait la "protection" de notre frère inquisiteur, la cloche d'alarme retentit au campement. rapidement ils revinrent pour s'apercevoir que les morts-vivants tentaient d'attaquer le campement. Voyant sa bannière flotter juste derrière la muraille, il savait que les siens n'attendaient qu'une opportunité pour effectuer une sortie et repousser l'assaillant. C'est alors que lui vint une idée de génie, il allait porter à l'ennemi un coup qui l'obligerait à séparer ses troupes, il allait s'emparer de la bannière adverse. Il s'approcha discrètement de la bannière et à l'aide des potions de berserk dont il a le secret se déchaina contre le porte-bannière. Quand il eu la bannière en main il poussa le cri de ralliement de la compagnie en tant que signal pour les forces coincées dans l'enceinte du campement, cependant il n'eut pas le temps de s'enfuir avec l'emblême capturé qu'une horde d'ennemi lui tomba dessus et le reduisit en miette. il ne dut son salut qu'au chaman orque qui le ramassa et le soigna tant bien que mal.
En l'an de grâce 1012, alors qu'il se réapprovisionnait en ville, il entendit l'alarme résonner au camp de la terre, rapidement il retrouva les quelques caradociens eparpillés en ville et ensembles ils tentèrent de rejoindre le camp créant une brèche dans les lignes de morts-vivants. Un des morts vivants lui assena un coup de marteau qui le fit tomber à terre, l'adversaire un peu trop sur de lui le conduisit encore hagard mais pas completement défait au sein des prisonniers. Quelques instants plus tard , alors qu'il eut repris ces esprits, il s'empara d'une des potions qu'il avait à sa ceinture et dans une folie meurtrière se releva et brandit son épée à deux mains comme si elle ne pesait plus rien. Dans les minutes qui suivirent il occit deux de ces monstres avec une rage comme rarement on en voyait, le sergent ennemi très surpris de ce rebondissement ne mis pourtant pas longtemps pour venir à bout du forcené. De longues minutes plus tard quand il rouvrit les yeux il se trouvait parmi les blessés à l'exterieur du campement qui avait été investi par les envahisseurs. Il vit par dessus le mur que sa bannière flottait toujours à l'intérieur du camp, et ne pouvait se résoudre à la laisser ainsi. C'est ainsi que boitant, il se fraya un chemin juste derrière les lignes de combattant, dès que la porte fut reprise il se faufilla claudiquant de plus en plus vers sa bannière, son devoir était de la porter là où elle devait etre, en première ligne, donnant courage et montrant la valeur de la compagnie c'est ainsi qu'il traversa le camp à bout de force pour finalement ramener la bannière auprès de la fameuse ligne caradocienne alors même qu'il était toujours des adversaires debout.