Alphabreut
Révision datée du 21 mai 2021 à 23:24 par Pépin (discussion | contributions) (→Les vingt-trois basiques)
L'Alphabreut est l'ensemble des caractères ou lettrons qui compose notre langue écrite : le nouveau breutonnien.
Seuls les érudits et les gens ayant reçut une bonne éducation connaissent l'ensemble des lettrons. Les autres se contentront de reconnaitre péniblement les vingt-trois basiques sans comprendre l'immense subtilité des règles d'Heurthographe ou de Sainte-Axe.
Les vingt-trois basiques
- A : le ahhhh.
- B : le bêhhh.
- C : le cé.
- D : le dé.
- E : l'euf. Si c'est un œuf mangeable, on y colle un « o » pour marqué la volonté et le vouloir. (À ne pas confondre avec la lettre féminine sacrée « e »).
- F : le feuh.
- G : le gueu.
- I : le iiii.
- J : le jicle.
- K : le keu.
- L : le leu.
- M : le meuh.
- N : le neuh.
- O : le oh.
- P : le pé, ou le pè selon les régions.
- Q : le cul, ou cru selon les régions.
- R : le reuh.
- S : le sgueg, ausi appelé serpentin.
- T : le té, en forme de tétine.
- V : le veu. Si c'est un vœu pieu, on y colle un « o » avant pour marqué la volonté et le vouloir.
- W : le vévé.
- X : la croix.
- Z : le zgueg.
Le deux complémentaires
- H : le hache.
- Y : le yo grayc.
Les lettrons mauvais (mais quand même utiles)
- U : le veu mal fait.
- $ : le vilain sgeg.
- & : le ziguigui pour accoller deux mots.
Les autres lettrons avancés
- ꙍ : les petites.
- Ꙍ : les grosses.
- ꙭ : les petits.
- Ꙭ : les gros.
- • : le trou.
- ᴥ : le contre-trou.
- \ : la verge oblique vers le bas.
- / : la verge oblique vers le haut.