Akim

Akim

Informations :

Nom	Akim
Pseudo
Rôle	Panzer
Grade	Soldat
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Akim le fils du forgeron

Né dans les collines bordant les grandes forêts de l'Ouest, Akim passa une enfance heureuse entouré par ses 12 frères et sœurs. Excellent artisan, reconnu par ses pairs, le père d'Akim a toujours su offrir à sa famille tout ce dont elle avait besoin. Malgré ce cadre idyllique, le jeune homme en grandissant, refusait peu à peu l'idée de reprendre l'affaire familialle, cela malgré l'instruction patiente de son père.

Ce qui faisait rêver Akim, c'était ces chevaliers en armure, ces mercenaires à la mine patibulaire et ces commandants riches de leurs soldes qui venaient dans leur village pour s'y équiper, se reposer ou se distraire. Leurs récits, leurs contes, leurs rumeurs et leurs légendes attisaient les braises de son imagination déjà fertile, jusqu'à allumer en lui un inextinguible brasier. La soif d'aventure qu'ils avaient allumés en lui le consumait et le jeune homme ne pouvait bientôt plus penser à autre chose.

Il s'en entretint avec ses parents qui acceptèrent, devant son insistance, de le laisser partir. Equipé d'un pavois, d'une veille armure et d'un sabre, il partit en quête d'aventure. De tous les recits qu'il avait entendu ces dernières années, ceux qui concernaient la Caradoc, célèbre compagnie de mercenaires, avaient le plus attirés son attention. Apprenant qu'ils étaient toujours en recrutement avant de partir pour Kelriothar, Akim se hâta dans ses recherches. Sur sa route il rencontra Nero, jeune guerrier tout de plate équipé, et Nathanaël « jeune » (plus vieux que lui dans les faits) elfe aux cheveux changeants selon un cycle incompréhensible. C'est ensemble qu'ils parvinrent au terme de leur voyage jusqu'aux abords du camps de l'Unité où la Compagnie Caradoc avait ses quartiers, près du portail.

Année 1215

Akim prêta serment à la compagnie et au Kaiser. Après avoir assisté à une exécution sans procès et à une mise à mort barbare et humiliante ; Akim commença à se demander si il était dans la bonne compagnie. Lorsque ses frères et sœurs d'armes se mirent à se moquer copieusement des mages de la compagnie alors que ceux ci avaient pourtant de nombreuses informations de valeur à partager, et qu'une soigneuse de la compagnie se fit violer par ses propres frères d'arme ; Akim, dégoutté, rejeta l'armure et le pavois. On lui avait conté de nombreux exploits sur cette compagnie et il avait de plus en plus de mal à croire en leurs véracités. Les regards de leurs alliés en disaient longs et les « Caradoc en retard ! » de la bannière de l'unité au moins autant.

Le jeune homme abandonna temporairement son rêve d'être chevalier et délaissa le pavois pour l'arc. Il rencontra un jeune guerrier au détour d'une ruelle qui cassait copieusement les dents d'un trio de malandrins mal avisés. Ils sympathisèrent rapidement, se découvrant des idéaux moraux communs. Akim lui demanda si il accepterait d'entrer dans la compagnie Caradoc en qualité de Panzer afin de le remplacer dans la ligne. Il accepta, à la grande joie de l'archer qui pouvait ainsi se consacrer à son nouveau rôle, l'esprit tranquille. C'est ainsi que débuta son amitié avec Isaac Foreign. Pendant un an, Akim continua de harceler Falafel sur des écrits qu'il achetait à des érudits de passage ou à des marchands. Découvrant de nombreux secrets avec lui, le jeune homme se promit de ne plus jamais laisser les enjeux de cette croisade lui passer sous le nez. Il savait désormais pourquoi il avait bien fait de changer de voie. Il voulait réfléchir, comprendre, apprendre. Le monde miroir comme Mythodea étaient d'une richesse à nulle autre pareil et il comptait bien en comprendre toutes les merveilles.