La quête Glabrique
La quête glabrique désigne une aventure à laquelle pris part la fine fleure de l'élite de la compagnie caradoc et qui se solda par le perte de Georges de montequeue victime d'un puissant sortilège l'ayant plongé, encore jusqu'à ce jour, dans un profond sommeil.
Origine
Après la campagne de 1011, le Chovalier exposa à ses compagnons la quête qu'il avait commencé l'année précédente. Une puissante capilomanciene recommandée par les frères Val brun, lui aurait promis la réalisation d'une puissante potion si il lui ramenait des flatulences d'une créature fantastique; un centaure mi-troll mi-âne. Après plusieurs semaines de recherches, il semblait exister une chance pour que cette créature puisse se trouver en brotonnie, à l'extrême nord de la bretonnie. Sentant l'appel de l'aventure Caribert de Caradoc, Georges de Montequeu et le baron trall décidèrent d'accompagner le chovalier dans sa quête.
L'hospitalité à gaufre bleue
Finalement retenu par une sombre histoire de , le baron trall dû annuler sa participation au voyage et demanda à son fidèle Pépin de le remplacer. Il recommanda également à ses compagnons de commencer leur aventure par le château de gaufre bleue (goufre bleu en dialecte brotonnien car il est construit au dessus d'une faille abyssale et sombre de la sinistre côté boréale). C'est son propre frère Leonard de Trall qui en est le seigneur et y demeure également sa grand-tante, le puissante sorcière Branou qui connait de puissant sortilèges ainsi que les secrets de nombre de créatures légendaires.
Se mettant en route, les fidèles compagnons y arrivèrent donc après une bonne semaine de chevauchée. Ils furent bien accueillit et le récit de leurs aventures passiona leurs hôtes et nottament le neveu du Baron Trall, Gilles de Trall, fils unique de Leonard. Informée de l'objet de leur visite, la sorcière Branou indiqua qu'elle pourrait aider nos aventurier le lendemain car elle savait, pensait elle, où trouver cette créature légendaire.
L'attaque du jumeau de Moktar
Les réjouissances durèrent tard dans la nuit, et alors que presque tout le monde était parti se coucher, le Chovalier fut attaqué sournoisement par un terrible jumeau de Moktar. L'assaillant fut mis en fuite par Caribert et quelques gardes, mais malheureusement, en voulant s'interposer, le jeune Gilles de Trall fut tué par un coup de dague empoisonné. Tout le château de Gaufrebleu pleura l’héritier de la seigneurie pendant trois jours et trois nuits jusqu'à ce qu'il fut déposé dans un magnifique tombeau dans les profondeurs de la crypte familiale des Tralls. Mais à peine la cérémonie d'enterrement du pauvre Gilles de Trall achevée, le Marquis eut la fâcheuse idée de proposer une partie de son célèbre jeu histoire de "détendre l'atmosphère" (selon ses propres termes) et déposa à même le catafalque une biscotte fraîchement cuite du matin. Ceci eut bien évidement pour effet de choquer nombres de personnes dans l'assemblée et notamment, la sorcière Branou. Elle interrompit le Marquis dans ses œuvres et lui lança la malédiction suivante : "Toi, Georges de Montequeu, ton attitude dépravée et irrespectueuse est inacceptable. Tu n'as pas respecté le sommeil éternel de Gilles de Trall, tu vas donc à ton tour dormir d'un profond sommeil ! Tu ne te réveillera pas avant qu'une femme source au cœur pur et aux justes sentiments envers ta personne ne te donne un chaste baiser."
A peine avait elle terminé son incantation que Georges de montequeue s'écroula à même le sol froid de la crypte, un sourire niais au coin des lèvres.
Le retour
Désormais persona non grata à Gaufrebleu, ses compagnons prirent très rapidement congé en emportant avec eux le corps inerte du pauvre marquis à bord d'une charrette de fortune. Ils prirent le chemin du retour jusque chez le Baron Trall afin de lui annoncer à la fois la triste fin de son neveu Gilles, le courroux de Branou et la malédiction qui afflige à présent Georges de Montequeue. Pas rancunier et attristé de voir un si bon compagnon comme le marquis dans un si piteux état, le baron ordonna la construction d'un mausolée afin d'y déposer le dormeur.