Georges de Montequeu

De Caradoc

⭐️⭐️⭐️

Georges de Montequeu

Informations :

Nom Georges de Montequeu
Pseudo Makeu
Rôle Panzer
Grade Soldat
Contact Messagerie

Georges de Montequeu, « Marquis de la Biscotte », troisième du nom et inventeur du célèbre jeu éponyme.

Ce personnage au physique contrasté a rejoint pour la première fois la Caradoc lors de la campagne de 1212 pendant laquelle il s'est immédiatement fait remarquer pour son sens aigüe de l'indiscipline.

Il a cependant réussi à tenir la ligne parmi les Panzers lors de la grande bataille pour l'ouverture du sceau.


Accueil dans la compagnie

D'après les témoins oculaires, l'arrivée du Marquis dans la Caradoc a été accompagnée de violence envers sa personne. En l'espace de quelques minutes il se fit tout d'abord ouvrir le front sur l'armure de Guy du Val Brun, puis déchirer le lobe de l'oreille droite par Caribert de Caradoc qui voulait se servir de son faciès comme d'un torche cul. Personne n'est à ce jour capable d'expliquer cet enchaînement de malchance qui conduisit à ces blessures, mais certains y voient là un transfert du mauvais oeil de Pépin Quincampoix vers Georges de Montequeu.


Georges de Montequeu en état de sommeil magique avancé dont il ne semble jamais pouvoir être sorti.

La quête Glabrique

Après la campagne de 1212, Georges de Montequeu participa avec ses bon compagnons Caribert de Caradoc, Pépin Quincampoix et Le Chovalier à une expédition au château de Gaufrebleu que les chroniqueurs appelleront plus tard la quête Glabrique. Malheureusement pour lui son sympathique comportement de dépravé, d'ordinaire si réjouissant, s'avèra complètement déplacé aux obsèques du pauvre Gilles de Trall. Ceci lui valut de subir le courroux de la puissante sorcière Branou qui le plongea dans un profond sommeil magique dont seul un baiser d'amour véritable pourrait l'en délivrer.


La nouvelle demeure du chevalier endormi

Très peiné, le Baron Trall fit venir les meilleurs architectes de Nova Bretonnia afin de construire une chapelle pour héberger le corps endormi du pauvre marquis. Il ordonna également que toute femme de la contrée âgée de plus de 11 ans se rende à cette même chapelle pour tenter de lever la malédiction. Malheureusement, il faut croire que la Baronnie Trall ne contient qu'une population de dévergondées, car cette ordonnance baronale n'eut d'autre effet que le déclenchement d'une large épidémie d'herpès.


La quête du réveil du Marquis

Les années passèrent et le corps du Marquis restait décidément insensible à toute sollicitation (mis à part la partie la plus honteuse de sa personne). Pépin, Caribert et les autres parcoururent pourtant des centaines de lieux afin de trouver celle qui saurait briser l'enchantement – mais en vain. Il fallut donc, comme le craignait le Baron, se rendre à l'évidence : la malédiction était puissante et en venir à bout allait demander patience et abnégation. Aussi convinrent-ils d'emmener le Marquis avec eux à chaque fois que possible lorsqu'ils se déplaçaient loin de la baronnie et d'inviter chaque jeune autochtone qu'il croiserait à tenter de le réveiller.


Les « Compagnons de la Biscotte » en 1213, veillant sur le sommeil de leur ami.

1217, l'incident diplomatrique

Pour la fête des dix ans de la Compagnie à Mythodea, le Chovalier voulu contenir un tant soit peu les réactions lubriques de son somnolent ami, et cru bon de lui poser un Penüs Captivus. Cet objet bien connu du culte de Saint-Vergeron permet d'augmenter la production de smegma afin d'obtenir un meilleur rendement dans la fabrication du fromage de moine. Mais les fidèles compagnons Rancelot et Pépin n'en furent pas averti. Ces derniers, en tant que bons Compagnons de la Biscotte haranguaient femmes et curieux de haute ou basse extraction à se pencher sur le corps du Marquis pour y déposer un doux et sincère baiser d'amour pur. Mais l'incroyable affluence due à cette soirée d'anniversaire eut tôt fait de venir à bout des tissus spongieux affreusement comprimés de leur ami. Cela causa donc en plein banquet la tragique explosion que l'on connait et qui interrompit même les parties endiablées de paris de courses épiques menées par les Haquebutes.

Fort heureusement, le Chovalier compris immédiatement ce qu'il se passait et accouru pour prodiguer des secours adéquats en apposant des cataplasmes à base de moût de raisins dans la plus pure tradition Bernardine. À ce jour, peu de personnes ont pu voir ce qu'il reste du membre traumatisé du Marquis mais les Compagnons de la Biscotte semblent avoir décidé de concert de ne pas retenter l'expérience par peur des séquelles irréversibles que pourrait causer une nouvelle érection incontrôlée. Aussi, à moins d'une extraordinaire chirurgie ou de l'assurance d'avoir enfin trouvé la véritable Dame-source de la malédiction de Branou, Georges de Montequeu restera dans son mausolée sous la garde alternée du fidèle Pépin et du Baron Trall.

Citations

  • « Si mon fils préfère la jute à la joute, qu'y puis-je ? Je ne vais tout de même pas le déshériter pour cela ! Les temps changent, nous sommes au XIIIème siècle tout de même. Alors pour que jeunesse se fasse, je préfère l'envoyer pacifier les terres sauvages par delà le Grand Océan ! »
    Marquis Gralbert de Montequeue, père de Georges (1212)
  • « Le Marquis de la Biscotte baise comme il mange : vite et mal ! »
    Caribert de Caradoc (1212)
  • « Si j'en crois les dires de Caribert, je ne saurais que conseiller au Marquis d'ouvrir un restaurant Fastfoutre »
    Baron Trall (1212)
  • « Ce n'est pas moi Sergent, c'est le Marquis qui a commencé »
    Pépin Quincampoix, injustement condamné au pilori (1212)
  • « Il y a deux raisons qui expliquent l'invincibilité du Marquis à son propre jeu. La première est que c'est un éjaculateur précoce, la seconde étant que le faciès particulièrement disgracieux de l'individu fait immédiatement débander le plus motivé des concurrent. »
    Caribert de Caradoc, lassé d'avoir encore perdu... (1212)
  • « Marquis, où allez vous ainsi chamarré ? En biscothèque ? »
    Rancelot interpellant le marquis a sa sortie du camp (1212)
  • « Approchez si vous voulez votre étoffe déditâchée du Marquis ! »
    Rancelot haranguant la foule préssée devant le lit du Marquis lors de la fête des 10 ans de la Caradoc à Mythodea (1217)