Falafel Von Struddel
Informations :
Nom | Falafel Von Struddel |
---|---|
Pseudo | Falafel |
Rôle | Vougier Panzer Traducteur |
Grade | Caporal (1216) |
Contact |
( ancien perso : Garok )
De son vrai nom Hildebert Gisbert Hubert Falafel von Struddel, dit, de la Passoire raccommodée
.
Enfance
Falafel (ou Struddel pour les intimes) n'a pas réellement eu un grand passé, ni une enfance, quoique germanique, très palpitante. Septième fils d'un septième fils il a eu l'enfance à laquelle on peut s'attendre dans une famille nombreuse, en bon petit dernier, protégé par l'aîné et sa mère il grandit peinard, va même un peu à l'école quelques fois, quand il n'a pas plus important à faire. Il a appris à compter et connaît quelques lettres de l'alphabet, ce qu'il a le plus développé est une langue étrangère qu'un vagabond lui apprenait en échange de quelques croûtons que lui volait Falafel.
La douce vie de garde municipal
Peu doué pour les travaux des champs, pas plus doué de ses mains ou de sa tête que la moyenne c'est naturellement qu'il se dépêcha de trouver une lance tombée d'une charrette et postula à la garde de la cité voisine. Il y passe quelques années tranquilles, prenant grand soin de son arme, buvant des coups en fin de service et ne faisant pas de vagues. D'un naturel enjoué il est respecté voir même apprécié des commerçants et collègues, on lui promettait du coup un bel avenir dans la garde.
La fin du début
Cet avenir si radieux fut malheureusement réduit en cendre lors du devenu célèbre "mois des brasiers" de l'an 1215 durant lequel trois incendies majeurs se sont déclarés dans des tavernes et qui ont à chaque fois rasé tout un pâté de maisons. L'incendie provenait toujours de l'établissement dans lequel se trouvait le malheureux Falafel.
Fortement suspecté par ses supérieurs il fut renvoyé de la garde pour "potentiel dangereux". Les témoignages divergeant des 3 taverniers qui parlaient qui de feu qui sortait des doigts de Falafel, qui de ses cheveux ou qui de sa bougie qui se transformait soudainement en brasier. Sans plus de preuves on le jeta hors des murs de la cité ou il fut prié, à coup de pierres, de ne plus jamais repointer le bout de sa lance.
Il rejoignit alors une caravane en tant que mercenaire. Il s'agissait d'escorter des armures qui devaient réarmer la croisade en Kelriothar. Une fois sur place il fut poussé à rejoindre le camp des mercenaires mais la vue de ces pauvres hères sans hiérarchie ou but lui donna envie de rejoindre un groupe un peu plus important et coordonné. À la suite de ses investigations il décida d'aller voir la si glorieuse "Compagnie Caradoc" dont tout le monde lui vantait les mérites.
Campagne 1215
L'accueil fut agréable, Jaster lui proposa même de dormir dans le même "pédé" que lui, Wolfir, Pavois (ou est-ce Nero?), Cenarius et Dazael. Akim a tout de suite voulu l'emmener visiter les campements des croisés.
L'ordre et la discipline n'étaient pas aussi poussés que s'y attendait Falafel mais il se fit de bons amis qui l'aident même à perfectionner ses talents linguistiques. Suite à ça Falafel décide d'utiliser sa solde à apprendre à lire et écrire durant l'année à venir afin de pouvoir se rendre utile à Akim qui voulait toujours qu'il lui explique ce qu'il y avait écrit.
Entre temps Falafel a bien appris à lire et écrire, il a même entrepris la traduction de textes anciens conservés dans les bibliothèques du monastère ou il a passé sa paisible année.
Campagne 1216
Deuxième incursion dans le monde Miroir, Akim n'est pas là cette campagne mais Dazael et Wolfir sont toujours de la partie.Falafel est fier de sa nouvelle armure achetée à bas prix à un vieux marchand malade devant un cimetière. Durant l'année Falafel se lie un peu plus d'amitié avec Regnak Malar qui s'installe dans le même pédé. L'ancienne hiérarchie n'étant plus présente la compagnie désigne les nouveaux officiers et lorsque Corran se fait élire sergent panzer celui-ci se tourne immédiatement vers notre bon Falafel afin d'en faire son caporal, sa connaissance de la langue de l'Ennemi étant un avantage stratégique important. Les batailles s’enchaînent et les hommes sont contents de leur frais caporal. Falafel a même été félicité pour la gestion de la ligne lors de la bataille au matin du 3ème jour par le Capitaine ainsi que son second. Les hommes commencent même à plaisanter à ce sujet en scandant de temps à autre Falafel sergent, Kivh Caporal (le sus-nommé étant le plus bruyant à ce sujet). Falafel qui avait accepté cette charge presque à contre-coeur, commence à y prendre goût, commençant à entrevoir des lacunes dans les façons de faire de son supérieur direct.
Falafel tomba lors de la bataille du quatrième après-midi alors que la compagnie, subissant un sort de crampes et atteint aux mollets décide de battre une retraite au pas de courses tandis que les crampes de Falafel, ainsi que toutes celles des personnes parlant la langue de l'Ennemi, étaient généralisées. Les coureurs de la Glace Noire en profitent alors pour achever le courageux caporal qui tombe aussitôt dans un coma profond. Il parait qu'il s'est relevé sous la magie d'un mage du Ratio et qu'il est allé infliger du dégât au sein de ses anciennes troupes, les affrontant de sa hallebarde. Il se souvient de son réveil et de la sensation de bien-être transmise par l’Érudit Pyrop, penché au dessus de lui. Ce dernier retire alors la 11ème flèche collectionnée par le corps du caporal Von Struddel durant la campagne, il en profite alors pour le traiter de passoire, dont Falafel se fera un titre honorifique.
Cette campagne a quelque peu assombrit le naturel enjoué de Falafel qui, dit-on, en perdrait même son accent sur et en revenant du champ de bataille.
Après cette campagne Falafel, traumatisé d'être une cible privilégiée, décida de visiter son ami Dazael afin que celui-ci l'introduise doucement à l'art subtil de la potion d'armure car cette dernière a été testée et plus qu'approuvée par notre ami Germanique.
Convention des éléments 1217
Falafel s'est tout naturellement proposé pour faire partie de la délégation caradocienne pour la première de celle-ci à cet événement politique majeur dans la vie du continent. Les journées chaudes aux abords de la ville de Holtzbrück sont fatigantes et l'attente à l'ombre est l'occupation principale de la moitié des délégations tandis que les autres font le tour des camps. Le 1er jour sera, pour notre ami, celui de l'ennui, la délégation caradocienne fait le tour des autres représentants afin de se "faire connaître" des Rii de l'Ouest. Falafel, un peu perdu par la politique rentre régulièrement au camp pour casser une graine ou boire un coup, sa place de caporal ne lui permettant pas vraiment de prendre part aux échanges. Ne lui demandez-pas comment mais il réussit à agrandir le trou de pantalon qu'il s'était fait en tombant sur le chemin de la convention (une sombre histoire de ronce, d'ortie et de bonbons au miel).
Le second matin il décide de rapiécer son pantalon ce qu'il fit, assis à la table de l'Intendant Rignak. Arrive alors une personnalité importante de l'Ouest (Falafel n'a toujours pas saisi de qui il s'agissait) pour qui la communication en langue Schaksespirienne est compliquée, en l'absence de la Diplomate Floewin on demande alors à Struddel de venir servir de traducteur. Il s’exécute, posant son ouvrage sur la table, se levant pour rejoindre l'intendant et ce qui devait être un ministre. C'est jambes écartées et poings sur les hanches que le caporal servit de vecteur de discussion. Le ministre ne paru pas très à l'aise à Falafel mais il mit ça sur le fait d'une petite gêne d'avoir à recourir à un traducteur. C'est après le départ de ce représentant de l'Ouest que le Caporal, revenant à son ouvrage, se rendit compte de la bourde qu'il venait de commettre.
Il venait de s'adresser à un haut dignitaire de l'Ouest en caleçon.
Le Kaiser, qui faisait le point de ses différents titres honorifiques avec l'Intendant, paru bon d'ajouter le doux sobriquet de "raccommodé" au nom déjà pompeux d'un homme qui était tout simplement trop naturel.
Le même jour la Diplomate revint de Holtzbrück avec un comportement étrange. Falafel sauta alors sur l'occasion de se dérouiller un peu en courant après les malfaiteurs. Travaillant avec Akim et le second ils débusquent le duo qu'ils font identifier par l'Intendant et la Diplomate. Nous passerons les détails techniques mais sachez qu'il y eu course poursuite, sauvetage de l'Intendant qui allait se faire assommer par un complice en embuscade, planque, balade dans les bois, échange de regards haineux avec des hommes encapuchonnés ainsi que moult parties de cache-cache en situation urbaine et forestière, la totalité des sus-nommés événement notre Vougier était sans arme aucune, le port d'arme étant soumis à autorisation en ville. Au final tout le trafic de Tirolite fut démantelé par la compagnie aidée par les Tivar Kharassil mais aussi la garde de la ville lorsqu'il fallait une plus grande force d'intervention.
Falafel persévéra dans l'effort avec le Second ET le Bourgmestre de Holtzbrück afin de trouver les pochettes laissées cachées par les trafiquants. Lorsqu'il revint de cette mission au poste de garde il fut immédiatement mis aux arrêts par la Heereswacht (comprenez police militaire). On lui expliqua alors qu'un témoin de meurtre avait dit que le meurtrier était Strudel. Falafel, qui était au moment du meurtre en train de trinquer au camp avec la Voix de l'Ouest, a donc coopéré sans trop craindre. Il eu tout de même un petit éclat de fierté lorsqu'il fut escorté à travers la ville par une dizaine de hallebardiers. Arrivé au camp de la Heereswacht il fut soumis à un interrogatoire par une dame à l'allure très stricte. Celle-ci fit même d'étranges choses autour de lui avec une boule de verre qui projetait une lumière aveuglante. Il apprit par la suite qu'elle cherchait des traces de magie dont il serait doté,lui pauvre petit Caporal inutile qui n'avait rien à se reprocher. Suite à cette inspection il fut libéré dans le quart d'heure, l'investigatrice étant convaincue de son innocence. Il se jura alors qu'on ne l'y reprendrait plus à se faire arrêter ainsi.
Après discussion avec lui Falafel prit alors le temps de courir après les voleurs de la ville avec Akim. Les primes furent au rendez-vous car cette journée devint la plus rentable de l'histoire du caporal.
Le soir même Falafel accompagna le Second et le Kaiser à la rencontre de la Porte Noire (Schwarzes Tor), combattants de la Feste der Vielfalt avec qui il passa une soirée agréable et amusante. Tout le monde faisant l'effort de parler Anglois afin de se comprendre Falafel en fit de même. Cependant il prit, au bout de 2 bonnes heures à boire ensemble, la parole en langue Germanique ce qui faillit renverser les Germanophones de leurs assises.
Le Troisième jour fut celui du serment du Kaiser envers l'Ouest. Il ne se passa plus grand chose, à part peut-être la blague que fit Falafel au Second mais vous lui demanderez, il le racontera sûrement mieux.
Le dernier soir Falafel assista à la présentation du Grand Grand maître Alchimiste de la Feste afin de devenir Grand Grand Grand maître Alchimiste. Lors de cette présentation il fut présenté à beaucoup de monde par le Kaiser.
Entre la convention des éléments et la campagne 1217 Falafel passa beaucoup de temps avec Akim, laissant un peu de côté ses apprentissage en potion.