Rancelot

De Caradoc

⭐️⭐️⭐️

Rancelot

Informations :

Nom Rancelot
Pseudo Banban
Rôle Panzer Vougier
Polyarmureux :
plate, haubergeron, écailles et gamboisson.
Monteur de roncins, trousseur de lavandières
Grade Capitaine, Vétéran
& Capitaine-Vétéran
aux pieds propres
Mercenaire sans frontières
Trouvère à ses heures perdues
Contact Sur le Troll Baveur

Rancelot

Rancelot le sans-terre, dit « de Caradoc », est un ancien chevalier errant du Ranceval en Breutonnie et l'un des fondateurs de la Compagnie Caradoc avec Malefosse et Frau Spiesse en 1205.

Il a su mener avec brio la Caradoc sur de nombreux champs de batailles. Il se présente comme un guerrier fer-vêtu à l'armure étonnamment rouillée dû à une curieuse maladie et avec une prédilection pour jouer de la vouge en première ligne. Il redoute de ce fait les archers ennemis... mais moins que les mages, et surtout ceux de la Compagnie !

Fin diplomate, il a n'a jamais manqué de rendre les hommages aux dirigeants des autres factions en enfilant un caleçon propre avant de les recevoir.

Historique rapide

Promu Capitaine de la Compagnie Caradoc en l'an de grâce 1212, il tint ce rôle quatre années de suite sur Mythodea, jusqu'à ce qu'un étrange maléfice le pousse à tenter de renverser le Kaïser lors de « La Bataille des 3 Kaïsers », puis le contraigne à l'exil durant l'année 1216 où il mena la troupe dite de la « Championnie Caradoc » lors du DrachenFest. De retour à Mythodea en tant que Vétéran en 1217, il venge avec violence la mort du nouveau Capitaine Grièche. Mais les tensions au sein de la Compagnie sont toujours vives, et Rancelot préfère assurer ses arrières en rentrant chercher des soutiens en Breutonnie durant l'année 1218. Bien mal lui en prit, car de retour sur Mythodea, il apprend que le Kaïser a cédé son titre de Ri de l'Ouest à l'insidieux mage Isenden, qui ne peut dès lors plus masquer sa soif de pouvoir. Rancelot sent qu'une réelle menace pèse dorénavant sur lui et ses plus fidèles compagnons. Le temps serait-il venu d'organiser la riposte ?

Fidèles Compagnons

Mes plus fidèles compagnons sont évidemment ceux avec qui nous avons débuté la Compagnie Caradoc : Malefosse et Frau Spiesse, Pépin Quincampoix, Sire Caribert de Caradoc, Tiksamhelm.

Ceux qui ont pu nous rejoindre très tôt sur Mythodea : le Baron Rataflute de Trall, Sire Max du Boulet, Seh la Pie, Chilperic, notre Bienaimé Kaïser, Le Chovalier et Pascale Hyne la Lochegardienne.

D'autres personnalités remarquées : Georges de Montequeu, Marquis de la Biscotte, la Baronne Conquête de Combletrou, les frères bernardins Polux, Gadin et Picrate, notre cher et fidèle soldat aux lorgnons Kermut, Birnabifle le gnome de (mauvaise) compagnie, Shaanty Kapoor la diplomate du Penîsh Pradesh, Le Roitelet de l'Atelier du Corbeau, feu le moine Gollik et feu le Père Nidral, feu notre mendiant préféré Gluck « la chance », et la délicieuse bardesse Korydouinne.

Une compagnie avec bon nombre d'amis : Les Haquebutes de Talabheim.

Le renouveau de la Compagnie par la Caradoc Prime : Morviette la championne de Biture de fer et de Tatane Couenne Do, Bauvain de Montluc, Puceau d'Ulric et Purin la fine aiguille, et évidemment notre cher Aimable « Tambouille » de Couchognon, un Panzer-cantinier au caractère délicat.

Mes ennemis perpétuels

Je n'ai guère plus beaucoup d'ennemis en vie, mais il en reste assurément un qui hante encore mon esprit : le Seigneur Le Guellec !
Mais aussi un ancien "compagnon" que j'ai été assez stupide de croire inoffensif alors que c'était un félon de la pire espèce qui soit : un Mage ! J'aurai donc dû me méfier comme de la peste de cet Isenden, ce fourbe, ce grand Mageouilleur de l'Ouest !

Mes Quêtes sans fin

  • Une armure inoxydable : du fait de ma malédiction, la « Rouillolle », une maladie magique me faisant secréter une sueur extrêmement corrosive, je suis condamné à être le Chevalier « du rance », et à porter une armure inéluctablement rouillée, qu'elle que soit les quantités de graisses que je débourse pour son entretien.
  • Reprendre le Ranceval en Breutonnie : cette seigneurie est celle de ma famille et me revient de droit car j'en suis le dernier héritier vivant. Mais avant cela, je vais devoir obtenir l’aval des Ducs et me plonger dans les méandres de la politique du Gras-Duché de Beurretagne...
  • La relique de la Panse de Saint-Caradoc : les pouvoirs d'une telle relique parviendraient peut-être à endiguer la malédiction de la « Rouillolle » et la Cirrouille qui me ronge les entrailles.
  • L' « Épée de Passe » : posséder la légendaire « Pass Sword » me permettrait d'envisager un retour en Beurretagne pour régler mes comptes et de rallier bons nombres de guerriers à ma cause.
  • Une armée : « les Rancelames », dont chaque membre arborera fièrement une pièce d'armure rouillée que je lui aurai offerte. Avec eux, je reprendrai le fief du Ranceval, j'abattrais le Seigneur Le Guellec et réclamerait enfin légitimement la main de la Duchesse de Molfherse. Mes prétentions s'arrêteront là, mais s'il on tente de m'en empêcher, je me verrai obliger de me mêler des affaires du Gras-Duché de Beurretagne... voir de celles de la couronne de Breutonnie, ce « royaume sans roi » ...

Historique avant la Compagnie Caradoc

Le Ranceval, ou l'enfance grisonnante : Les malheurs de Gillot

Rancelot, né Gillot de Ranceval en l'an 1180, est le second fils d'un petit seigneur Breutonnien moqué par ses pairs et voisins pour la piètre qualité des terres agricoles et du climat de sa région.

Des débuts Patristes :

Comme tous les deuxième fils de seigneurs Breutonniens, Rancelot était destiné à une carrière ecclésiastique, et c'est tout naturellement qu'à l'âge de 7 ans il fût amener au monastère des Saint-Patristes de Ranceval pour être présenté à l'abbé Grouillot. Celui-ci, en échange d'une bonne bourse et de l'assurance que le Seigneur de Ranceval augmenterait les taxes sur le commerce des glaires d'Abbaye ne provenant pas des moines Patristes, entama la formation du jeune Gillot qui se montra avoir quelques facilités pour le dessin et les enluminures, mais de piètres dispositions concernant l'écriture et l'écoute des récits des Saints Breutonniens. Un jour qu'il était en train de recopier un ouvrage abondamment illustré sur la vie de Sainte-Marie Mamelonne, il fut surpris par l'abbé Grouillot qui compris enfin pourquoi l'écriture du jeune Gillot était aussi tremblotante et brouillonne. « Par le prépuce de Saint-Patriste, sale petit têtard, tu profites de laisser ta main gauche sous ton habit pour t'astiquer la nouille ! C'est chez les Bernardins que tu aurais dû aller ! À partir d'aujourd'hui tu écriras des deux mains ! » s'exclama l'abbé.
Certains disent de nos jours que la propension de Rancelot à manier les armes à deux mains remontrait à cet événement...

La punition de la morvouille :

Où comment Gillot appris qu'il fallait toujours avoir les pieds propres pour fouler les glaires d'Abbaye. (à écrire)

La gargouille de la Chapelle Patriste :

Le dernier malheur de Gillot qui le fit exclure du monastère et mis fin à sa courte carrière ecclésiastique. (à écrire)

Le Livre des Ranceurs :

Suite à son exclusion du monastère, Gillot adolescent entame l'écriture d'un recueil où il raconte ses malheurs durant les dix années écoulées. Personne n'est épargné dans ce pamphlet, que ce soit les ecclésiastes, les fils de nobliaux ou bien même les gueux et les lavandières.

« il y avait plus de cheveux d'enfants que de brin de laine de mouton sur le revers de leur bure »
Gillot de Ranceval, Livre des Ranceurs, Tome I, chapitre sur les prêtres de la joyeuse soutane.

La guerre comme échappatoire ~ Le Chevalier Rancelot

La période où Rancelot n'eut d'autre choix que de prendre la voix des Armes jusqu'à mener une vie de chevalier errant en Breutonnie.

Des mages et des chevaux, il n'en ait point sans défauts

Une guerre non voulue, aux conséquences graves. Le Roncin de Gillot.

La malédiction de la Rouillolle

Une affliction qui forgea le caractère bien trempé du chevalier Rancelot.

Retour au Ranceval ~ Les prémisses de la Caradoc

Le retour de Rancelot dans sa seigneurie familiale pour le décès de son père, litige avec son frère aîné pour l'héritage et envoi sur la côte pour défendre le royaume avec d'autres mercenaires, la première ère de la compagnie mercenaire de Saint-Caradoc. (à écrire)

La Geste de Caradoc

Spectacle fondateur de la Compagnie Caradoc, joué lors de la fête du grand-lisier en Beurretagne avec Malefosse et celle qui n'était pas encore Frau Spiesse.

La vie de taverne

Lors d'une soirée dans la taverne dite de « La bonne mifle », quelques serveuses délurées accompagnent une bardesse et régalent les convives de leurs chants à la gloire du royaume de Breutonnie... Quelqu'un fait la remarque forte à propos que le spectacle serait encore plus plaisant si les drôlesses retiraient leurs chainses... Acquiesçant cette riche idée mais soucieux de préserver un semblant de pudeur pour les jeunes femmes, Rancelot prête alors sa brigandine à l'une d'entre elle, très vite suivi par d'autres hommes d'armes présents. Enfilées à même la peau et trop grandes pour elles, les plaques métalliques des brigandines sonnent comme des instruments lorsque les serveuses sautillent de table en table, révélant parfois quelques charmes duveteux pour les plus attentifs des spectateurs. Ainsi naquis le groupe de bardesses connues plus tard sous le nom des « Brigandines », qui fut plus tard frappé d'interdiction dans le Grand-Duché de Chiampagne pour trouble aux bonnes mœurs et détournement de matériel militaire.

Historique au sein de la Compagnie Caradoc

Annus 1206 ~ Les possédés de Vauvert, la Fuite et la Faute

La confrontation avec les vikings sur la côte septentrionale, nos troupes submergées par des êtres qui n'ont plus rien d'humains, quand le siège devient piège, notre fuite effrénée jusqu'à commettre le pilage de l'abbaye de Ker-ar-Berg pour notre survie.

Retour à notre fief : après les bolés de Vauvert, les volées de bois verts de notre Seigneur... et même le cachot !

Annus 1207 ~ La Grande Traversée, ou la fraternité des champs de bataille

L'exil de Breutonnie, notre attente en Mauritanie, puis le voyage vers un idéal illusoire : le Royaume Licorne le bien nommé, dans la perfide Albion, la fraternité dans le malheur.

Notre improbable victoire au concours de Barde ~ Haut-Fait de la Compagnie.

La poursuite de notre exode.

Annus 1208 ~ La moule n'a plus que 28 guerriers : À la conquête de Mythodea !

L'arrivée sur le continent de Mythodea, les premières batailles, une terre à conquérir.

La blessure de Tiksamhelm, les divergences avec la Loffel... Une bonne douche pour Malefosse...

L'incroyable Haut-Fait de la Compagnie pour la récupération de notre bannière auprès d'Argus lui-même... Mais demandez-donc à Frau Spiesse, elle vous le racontera mieux que moi...

1209, notre persévérance payera !

Annus 1209 ~ Des alliés prometteurs

L'arrivée de troupes de renfort et la rencontre de précieux alliés : Haleph et les Six Vents de l'Ouest.

La rédaction de la Charte du camp Mercenaire.

La Brique et Futé, la fine équipe... Le duel de Caribert contre Znorf ~ Haut-Fait du valeureux champion de la Compagnie.

Le bélier d'Aleph ~ Haut-Fait de la Compagnie qui ne sufira malheureusement pas à faire de lui le nouvel Archon du Sud.

Le réveil du Xericon, l'impossible victoire contre Le Vide.

Tensions et dissensions, la perte de Guywen du Val Brun, les départs de Malefosse et Tiksamhelm...

Annus 1210 ~ Un Cauchemar de Rêve

Embrigadé par Sable et Charade pour un « voyage astral » (on m'a dit que se n'était pas magique mais juste psychique... mais à mon avis ça reste du pareil au même !), je vais plonger dans un rêve qui me fera mal au crâne : la campagne dite d'Avatar en 1210 au sein des mercenaires du Dragon, forts accueillants mais bien fauchés et sans employeurs... Ça me rappelle des heures bien sombres de la Compagnie en 1207 mais fort heureusement, même si je ne sais pas bien où je me trouve, je sais que mes autres compagnons fourbissent leurs armes en ce moment-même sur nos toutes nouvelles terres sur Mythodea.

Pour tuer le temps je passe dans le quartier des forgerons, j'ai dû mal à comprendre si ce que j'achète ici dans ce « rêve » se retrouvera dans mes affaires une fois de retour dans les terres de l'Ouest de Mythodea. Je prends un coutelas recourbé de bonne facture, assez exotique mais très maniable. Sur la route du camp, voilà que sept « nains » me tournent autour, ce sont des gosses grimaçant, mais certains ont de la barbe, ils sont très laids, j'espère ne jamais enfanter des nabots de la sorte ! Pris dans mes pensées, je reçois un premier coup sur mon heaume, un coup de bâton ! Puis le plus malingre tente de percer ma brigandine avec le sien... Je rigole... mais c'est très bizarre, ils continuent de me taper sans me faire la moindre égratignure mais je rie de plus en plus sans pouvoir m'arrêter... J'ai même un peu du mal à respirer. Ils me frappent, encore et encore, j'en pleure de rire, j'ai mal aux mâchoires, je suis obligé de me plier en deux et de me soutenir la panse... Bon sang mais que m'arrive-t-il ? La ronde des nabots s'arrête enfin, ils sont aussi essoufflés que moi. Le plus grand regarde son bâton et s'adresse aux autres « Mé sa march' po not' machin.» Son accent pitoyable s'avère avoir le même effet sur moi que ses coups de bâton : je m'écroule en me tenant les cotes... mais je commence à avoir un peu peur, il y a de la magie là-dessous c'est sûr, et je n'ai aucune idée des risques que j'encours. « Doune nou tien bours' ou on continu le baston... » Je me roule par terre, j'avale les larmes qui ruissèlent sous mon casque, j'ai vraiment mal et à vrai dire, j'avais déjà penser à les éloigner en leur jetant quelques écus. J'ouvre grand mon aumônière et prend tout son contenu dans ma main crispée et moite de sueur, et projette les piécettes le plus loin possible dans leur direction. Je tente de reprendre un peu mon souffle après ce qui me parait avoir été un geste surhumain. J'entends qu'ils se sont rués sur les quelques pièces de cuivre retombées à terre mais que cela n'engendre pas vraiment l'admiration, à quoi s'entendaient-ils ? Des pleins doublons d'or ?? « Il é moudit, quek'un li a jeuté in sor! » J'arrive tout juste à entre ouvrir un œil pour voir le garnement brandir une pièce complètement oxydée de ver de gris ce qui semble l'avoir figé d'effroi. « Vinez on s'cass c la rouillolle ! » S'en suit quelques cris et un détalage en bonne et due forme tels des gobelins devant une charge de cavalerie... Le maléfice qui m'a fait m'écrouler de rire semble s'estomper... et je comprends que je dois mon salut à la maladie qui me ronge moi et mon armure. Saleté de magie ! N'y a-t-il donc pas moyen de contrer ce foutu élément autrement qu'en l'utilisant contre lui-même ? J'en parlerai à Sable et aux autres, ça me semble être une bonne question.

Des retrouvailles peu commodes avec le Taureau Fertile. (à écrire)

Seul réconfort, mon escuyère Argane, qui compense sont manque de rigueur par un enthousiasme débordant. Elle a fabriqué une petite bannière de seconde ligne avec d'anciennes chainses et vêtement de corps. Je pense qu'elle rejoindra les rangs des tirailleurs de la Compagnie lors de notre retour à Mythodea.

Annus 1210 ~ Retour à Doerchgardt, gloire au Kaïser : une campagne charnière

La consolidation de la compagnie autour de l'emblématique Kaïser, le serment à notre Codex, et les victoires déterminantes pour notre ascension dans le camp mercenaire.

D'encombrants voisins : les Batistons, qui peuvent tout de même se targuer d'un « petit haut-fait » dans le casino de la ville...

Barbaque morbaque à la barbacane

Le Mikado-vouges du Kaïser lors de la prise de Doerchgardt ~ Haut-Fait de la Compagnie

Annus 1211 ~ Sous les miches de Terra : Viva Nova Breutonnia !

Notre allégeance à Terra, nos terres promises dans l'Ouest.

À l'ombre du Roi Cornu...
Le retour de la grande campagne de 1210 est une vraie transhumance, les bouses en moins... Quoique, nous nous retrouvons bien dans la mouise en arrivant sur nos nouvelles terres : le Sergent Du Boulet, pourtant partis en avance avec ses éclaireurs, est introuvable ! Pis que cela, après une rapide recherche dans les environs, la Panzer Omega menée par le Baron Trall trouva le corps du malheureux soldat Morales, noyé dans une rivière où il était tombé probablement en tentant de se soulager la vessie. Tout cela était de bien mauvaise augure... (à écrire)

ConQuest sous les Miches de Terra
Cette Campagne 1211 fût l'occasion de pérenniser notre alliance avec les Sechs Winde et Terra.

Les lugubres matines :
Très tôt le matin du 2ème jour, le camp de la Terre subit une attaque concertée des armées de la Schwarzes Eis et des Untonten.
Bravant la gueule de bois et le désordre du campement, notre Compagnie, bien que réduite, défendit valeureusement l'entrée du camp et les brèches dans les barricades, certains d'entre nous combattant vêtu de leur simple chemise de nuit, d'un gros pavois et d'un pot de chambre hativement vidé en guise de casque. Mais les palissades finirent par céder sur un côté et nous n'eûmes pas d'autres choix que d'abandonner le camp dans la hâte, laissant bien malgré nous quelques compagnons trop avinés pour nous suivre, non sans les avoir recouvert de quelques oripeaux afin de les cacher dans l'attente d'un moment plus propice pour tenter une reprise du camp.

Si les autochtones du camp de la Terre qui étaient en déroute avec nous se lamentaient car le jardin de Terra allait certainement être souillé, nous autres Caradociens étions particulièrement peinés de n'avoir pu prendre de collation avant de combattre. Il est vrai que si nous avions pu faire une prière pour les matines à ce moment-là, nous aurions tous d'abord souhaité un festin remplis de boissons chaudes et odorantes, de charcuteries tendres et rosées accompagnées de gros michons de pains avant de nous préoccuper du sort de Terra... L'esprit de Caradoc primant sur le reste ! (à continuer...)

Annus 1212 ~ Un nouveau Capitaine

Le renouveau de la compagnie, la deuxième génération, Capitaine Rancelot. (à continuer...)

Annus 1213 ~ Vers un nouvel ennemi

Duels majeurs ~ Haut-Fait de la Compagnie

La mort d'Argus

La victoire sur le Vide

L'ouverture du sceau du Ratio (à continuer...)

Annus 1214 ~ Le monde du miroir, déculottées et victoires

Une campagne difficile où nous dûmes nous adapter à un nouveau monde hostile. (à continuer...)

Annus 1215 ~ La "Der des Ders"

« Miroir, monde du miroir, dit-nous ce qu'on fout là ? »

Carnet de Campagne 1215, par Rancelot :

Arrivée au camp, nous avons une belle place centrale pour y mettre des tables et manger tous ensemble. La vinasse coule à flot et le Baron n'y est pas pour rien !

Des mercenaires parlant passablement le Breutonnien viennent nous vendre leur service, la bonne affaire... envoyés paitre comme il se doit !

1er jour, entrainement et manœuvres, on nous appelle à l'autre bout du terrain... pour rien ! Tout ça commence à me gonfler, et c'est mauvais pour mon armure. Dorénavant, je dirai non aux sollicitations de l'Ouest et des Six vents, je ne me fierai plus qu'à mes éclaireurs. J'ai d'ailleurs trouvé un bon sergent Tirailleur en la personne de Grièche, il remplace au pied levé ce bon Max Du Boulet, harassé par 8 années de service à ordonner autant que faire se peut les tires aux flancs...

Le Ratio, c'est un peu comme les morts-vivants mais sans l'odeur... Bref, on peut encore moins s'y fier. Tout comme cet énigmatique Isenden ; cette année il a fait des émules dirait-on, il est venu accompagné de plusieurs comparses choisis par ses soins. S'ils semblent tous avoir des accointances avec la magie, j'ai grand hâte de voir les élèves dépasser leur maître dans ce domaine, parce que pour ce qui est de la bataille c'est déjà fait ! Ce sont de bon gars je pense, et leur petit groupe, même s'il ne me rapporte évidemment pas toutes leurs actions, m'informe de choses et d'autres de meilleurs façons que nos alliés. On aura tout vu !

Bains et boissons, tavernes et petites bastons... J'ai roulé ma bosse ici sur les champs de bataille pendant 8 années, on se lasse même de ça, et pourtant la guerre n'est pas une putain...

Quelques batailles, rien de décisif. Nos alliés ont bien compris qu'on ne se mettrait plus en branle pour rien, et semblent respecter mon choix. Tant mieux, parce que je ne reviendrai pas dessus. En revanche, les autres membres du Triumverrat semblent inquiets, ont-ils peur que nos alliés nous tournent le dos ? Je m'en cogne comme de ma première glaire ! Nous avons nos terres, et de quoi nous y occuper plus qu'il ne faut sans qu'on nous colle des randonnées en armure parce qu'un bon seigneur au nom d'oiseau en a fait la promesse à un autre...

Bref, le monde du miroir n'est plus notre guerre, du moins la mienne, mais nous partirons sur une écrasante victoire : « la Bataille des 4 grammes ».

La Bataille des 4 grammes et la prise du trône du Ratio ~ Haut-Fait de la Compagnie (à continuer...)

Mon cul pour un trône :
Où comment en s'asseyant sur le trône du temple du Ratio, l'Avatar de la colère insuffla l'idée à Rancelot de prendre le pouvoir au Kaïser, prémisse à La Bataille des 3 Kaïsers...

À l'issu de la campagne de 1215, le capitaine Rancelot a réunit la Caradoc et dans un discours enflammé a expliqué qu'il était temps pour la compagnie de retourner sur ses terres en Nova Bretonnia pour enfin y élever des poireaux, à l'instar du rêve de l'ancien sergent vougier Malefosse en son temps. Certains membres ont manifesté leur volonté de ne pas suivre les ordres de Rancelot et de rester pour continuer à se battre dans le monde du miroir. Cette succession allait être un beau bordel !
Enfin, il parait que les ordres d'aller élever les poireaux ont été mal interprétés par quelques Lochegardiennes qui sont parties élever les poireaux dans un bordel miteux... Une mission de sauvetage de leur malheureuses consœurs sera peut-être entreprise par des fidèles de Sainte-Marie Mamelonne...

« Je n'allais pas sacrifier d'avantage de mes troupes pour une terre que ne voulions pas. Nous avons fait honneur à nos accords et à notre réputation, combattant avec hargne contre de nouveaux ennemis, nous sommes victorieux et ne souhaitons rien d'autre que de rentrer. »
Rancelot, Livre des Ranceurs, Tome III, 1215, avant-dernier jour de campagne

Annus 1216 ~ La Championnie Caradoc : En route vers le DrachenFest !

Une fois rentrés à Nova Bretonnia, Rancelot pensa trouver du plaisir à s'occuper des affaires courantes : convoyer des chariottes d'hypocras du Baron, régler les sujets de passation de commandement de la Compagnie, s’enquérir de la santé des frères Val Brun, surveiller les lavandières les mieux lochées afin qu'elles ne chutent pas dans la rivière en se penchant trop... Bref, de bien ternes occupations au vu du pédigrée de l'ancien Capitaine.
Un jour qu'il venait de graisser pour la 3ème fois son armure, de rosser le gnome Birnabifle pour un tonnelet d'hypocras renversé et de jouir d'une femme de chambre peu farouche, il réfléchit et comprit que cette vie de repos mérité ne pouvait lui correspondre ; la clameur des batailles, les chants de ses compagnons d'aventure, le goût du sang et de la sueur, les cliquetis d'armures et d'armes s'entrechoquant, les silhouettes imposantes de champions se dressant face à lui et les cohortes d'ennemis se déversant sur les champs de bataille, tout cela lui manquait... (à continuer...)

La Championnie Caradoc
Le groupe de Caradociens du DrachenFest 1216, qui vit ses rangs complétés pour la première fois par deux moines Bernardins forts aventureux.

Du rififi chez les Dragons


Un mariage baronesque


Chasse, prêche, biture et compagnons
(partie de chasse pour célébrer le mariage / deux ordres majeurs à l'honneur : Les Bernardins et Sainte-Marie Mamelonne / La biture au coin de la rue / Le marquis à l'assaut du camp Lansquenet...)


La technique de la retraite fantôme


Retour à Nova Bretonnia
La Championnie rentre à Nova Bretonnia. Tandis que le Kaiser assoie son pouvoir et ses liens avec l'Ouest, Rancelot comprends que les choses vont petit à petit changer. La Compagnie Caradoc s'est trouvé un nouveau Capitaine en la personne de Grièche, un bon compagnon de Rancelot qui fut l'un de ses meilleurs Sergent. La Compagnie est entre de bonnes mains mais le Triumverrat semble vouloir peser de plus en plus dans les décisions politiques de Nova Bretonnia, a-t-elle point qu'il pourrait faire office d'un réel contre-pouvoir face à l'autorité du Kaiser !

Quelque peu inquiet des manigances qui pourrait se jouer dans un avenir proche, Rancelot prend pour habitude de côtoyer les deux frères Bernardins rencontrés au Drachenfest. N'étant pas avare sur les quantités d'hypocras qu'il leur offre quotidiennement pour s'entretenir avec eux, les avinés frères Pollux et Gadin lui apprennent, au détour de discussions plus ou moins captivantes sur la vie de Saint-Bernard, qu'il existerait un ancien traité pour les mercenaires originaires de Beurretagne qui offrirait des droits et avantages exubérants à ceux qui ferait preuve d'au moins « X » années de service dans des campagnes militaires d'envergures. Cela ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd et Rancelot remua ciel et terre afin de retrouver le précieux texte de la Convention du Mercenaire Vétéran qu'il souhaitait remettre au goût du jour. D'autant plus qu'il en serait de même pour ses fidèles compagnons des premières heures de la Caradoc : Pépin Quincampoix, Frau Spiesse et Caribert. Le traité fût retrouvé dans la bibliothèque de l'abbaye des moines Patristes de Ranceval et une copie certifiée conforme par ses compagnons Bernardins fut présentée par Rancelot au Kaiser qui l'accepta sous condition que les Vétérans se montrent raisonnables quant à la majoration de leur solde. Cela étant fait, Rancelot et ses compagnons se verraient maintenant dédouanés d'un certains nombre d'engagements par rapport à ce Triumverrat aux envies de grandeurs...

Pendant ce temps, Le Chovalier promettait monts et merveilles à la Baronne Conquête qui devenait sa mécène, forte de son mariage avantageux avec le Baron Trall. La suite ne portera pas vraiment chance à notre ingénieux et glabre compagnon...

Annus 1217 ~ Retour en fanfare : la Forteresse du Ratio

Cette année là, Rancelot le Vétéran rejoignit la compagnie accompagné d'une charmante diplomate orientale répondant au nom de Shaanty.

Le retour des vétérans de la Compagnie Caradoc

La troisième génération, dit le « Gros Remplacement »

Mort & Vengeance du Capitaine Grièche ~ Haut-Fait de la Compagnie
De part sa place d'érudit du Triumverrat, notre brave Pyrop s'est senti obligé d'improviser une interminable et poussive éloge funéraire pour notre défunt Grièche mais dont l'intérêt non avoué était vraisemblablement de nous dissuader de mourir au combat pour ne pas avoir à infliger de nouveau cela à nos compagnons survivants... Mais si je ne pu évidemment pas le blamer pour ses talents d'orateur de basse-cour, je remarquais en revanche quelque chose de plus grave : l'absence totale du port des couleurs de la compagnie, celles du Kaïser, ce qui me gena fortement, d'autant plus de la part d'un ancien « Panzer » que j'ai mené durant trois années, et parvenu depuis au Triumverrat... Et il était malheureusement loin d'être le seul dans nos rangs ! Quelque chose s'était perdu lors du « Gros Remplacement »...

Les 10 ans de la Compagnie

La prise de la forteresse : la mort et la boue

Annus 1218 ~ La Compagnie aux deux visages

« L'aveuglement est le pire des maux... »

Tempête dans une chopine :
Où les vétérans se virent accuser de tous les maux par des personnes ayant encore des gouttes de lait de leur nourrice au coin de la bouche.

À l'Ouest, plein de nouveaux...
Il faut bien avouer que les nouvelles recrues tiennent plus du diplomate ampoulé et de la jouvencelle en jupette elfique que du rude guerrier suant sang et os sous son armure de plates et se ruinant le soir à la taverne... et je ne vous parle pas des mages... On se croirait parfois au collège de Boudlard... Bref, quand on en est les supplier de porter les couleurs il faut mieux laisser tomber et faire bande à part avec les braves qui ont déjà fait leurs preuves.

Caradocracie :
Où comment le Kaïser fût obligé de céder à la vindicte populaire. Les vétérans stigmatisés, son autorité fragilisé, le Kaïser ne sentit pas venir le vent de félonie qui léchait son beau manteau...

une belle conne-Ri !
Par le Prépuce de Saint-Patriste !!! Le Kaïser mis à mal a légué son titre de Ri de l'Ouest à ce fourbe d'Isenden !!! Un mage Ri de l'Ouest à la place du Kaïser !!! C'est Blasphèmerie je ne vois pas d'autres mots !!! Les prochaines saisons risquent d'être des plus compliquées pour mes compagnons vétérans et moi-même... Si seulement notre solde bien méritée de vétérans nous était reversée en totalité... Il va falloir trouver autre chose pour assurer nos arrières...
Anno 1218, Annus horribilis !!!

Gueule de bois et retour aux sources :
Sans prévenir aucun de ses fidèles compagnons, Rancelot tente un retour en Breutonnie. Après une traversée d'un mois il débarque à Branle-île pour se requinquer. Puis gagne la côte. De tavernes nauséabondes en tripots miteux, il parvient tant bien que mal au Duché de Molfherse pour revoir brièvement son amour impossible en la personne de la Duchesse. Celle-ci, autant émerveillée que craintive de cette surprenante entrevue avec son ancien prétendant, consentis à lui octroyer un pactole plutôt conséquent : un coffret entier de pierres précieuses récemment acquises. « L'argent n'a pas d'odeur dit-on, alors j'espère pour toi que les pierres non plus car elles proviennent du dernier cadeau que m'a fait un seigneur bien connu que tu abhorres... à juste titre dirais-je... Car qui voudrait épouser un chardon, je te le demande... »

Comprenant ce que la Duchesse lui disait à demi-mot, Rancelot pesta dans un premier temps avant de se raviser ; après tout n'était-ce pas le début d'une longue vengeance que d'utiliser à sa guise le cadeau que cette crevure de Le Guellec avait envoyé afin de courtiser la Duchesse ? Cela serait pour sûr bien utile de retour sur Mythodea, pour, dans le meilleur des cas... racheter leurs terres à la Compagnie, ou au Kaïser, ou... payer les services de quelques mercenaires afin de se défendre de ceux qu'ils pensaient être leurs compagnons il y a encore moins d'un an... Quelle ironie du sort !

Mais le temps n'était pas aux lamentations ; après avoir reçu de la Duchesse un chaste baiser d'amour pur avant de prendre congé, Rancelot pu récupérer le coffret dont il dissimula le contenu dans un sac empli de noix et reparti vers le port de Saint-Mazoù sur la côte, non sans longer avec amertume les bords du Ranceval...

Un plan à la noix :
Depuis le port de Saint-Mazoù, Rancelot gagne celui de l'Angouille afin de trouver un navire faisant la grande traversée vers Mythodea, tout en gardant son sac de noix bien en vue.
En échange d'une cuite à la gnôle de gland, Rancelot rachète la dernière place de passager sur un galion de Paolo Armatio à un certain Henry le Ventru, dont la gueule de bois devrait être plus longue encore que le voyage du Capitaine-Vétéran.

Annus 1219 ~ La Caradoc Prime !!!

Annus 1220 ~ Annus Horribilis Bis !

Objectifs 1222

  • Danser un slow en fin de soirée au Black Pearl sur Warum de Camillo
  • Garder les pieds propres
  • Ne pas chier dans la bouche d'un mage
  • Trouvez un trousorier intérimaire et garder un œil sur lui


Citations

  • "Il frappe fort le bougre, mais c'est son haleine qui m'a renversé" (Annus 1209)
    Rancelot, à terre après un pugilat avec le sergent Malefosse sur la place du village.
  • "Ouais ben les manœuvres des tirailleurs, c'est de la merde !!!" (Annus 1212)
    Rancelot, pour le moins déçu, après son premier jour en tant que Capitaine.
  • "Les bonnasses en feu, c'est de la merde !!!" (Annus 1212)
    Rancelot, quelque peu chafouin, devant un spectacle de jonglage de feu de nuit.
  • "Jack Sparrow, ta taverne c'est de la merde !!!" (Annus 1212)
    Rancelot, passablement éméché, renversant les bancs du Black Pearl à 2h du matin.
  • "Le Scorpion Inn, c'est de la merde !!!" (Annus 1212)
    Rancelot, assurément irrité, insultant les serveurs de la taverne du Scorpion Inn à 3h du matin.
  • "Et la milice, c'est du merdin !!!" (Annus 1212)
    Rancelot, prêt à prendre un repos bien mérité dans une geôle "V.I.P." (vraiment insalubre et puante) de la ville à 4h du matin...
  • "Haut les miches !" (Annus 1212)
    Rancelot devant l'étonnant spectacle mammaire offert par les femmes de la compagnie lors de leur bain devant la grand place au passage du Kaïser et du Capitaine.
  • "Faites venir à moi les putains, je dois me détendre !" (Annus 1213)
    Rancelot au retour d'une bataille, après que Caribert de Caradoc failli engager son régiment de Panzer contre une armée d'alliés Chaotiques qui passaient à sa portée alors qu'il s'ennuyait.
  • "La bite pleine de merde, mais les pieds propres !" (Annus 1214)
    Rancelot au sortir des douches publiques.
  • "Vous voulez voir l'épée d'Aqua ?" (Annus 1214)
    Rancelot nu, en pleine rue dans un petit baquet d'eau à l'entrée des bains publiques.
  • "Isenden sale pédale, vient te battre sur le champ !!!!" (Annus 1215)
    Rancelot lors de la Bataille des 4 grammes, motivant Isenden, mage réputé et ô combien énervant de la Compagnie Caradoc.
  • "À une tyrannie forte, vous préférez une Caradocratie molle !..." (Annus 1216*)
    Rancelot durant la résolution de la Bataille des 3 Kaïsers.
  • "Grièche, Grièche, Grièche, Droite, Grièche !!!" (Annus 1217)
    Rancelot lançant l'ordre de marche en hommage au défunt Capitaine lors de l'expédition punitive dite de "La Vengeance de Grièche".

Participations

Chronologie des événements liés à la Compagnie Caradoc :

  • Annus 1204 ~ La Geste de Caradoc (Lizio, août 2006) interprétant le rôle du preux Caradoc contre le Dragon.
  • Annus 1206 ~ Sous les ailes sombres du Walhalla / InterCOM (Bretagne, mai 2009) Vougier.
  • Annus 1207 ~ La Grande Traversée / The Gathering (Angleterre, juillet 2007) Fer-vêtu avec épée à 2 mains, allié à la Loffelgarde sous les ordres de l'Alliance Mercenaire.
  • Annus 1208 ~ La Longue Marche / ConQuest of Mythodea (Allemagne, août 2008) Panzer Vougier, allié à la Loffelgarde dans le Camp Gris (mercenaire).
  • Annus 1209 ~ ConQuest of Mythodea (Allemagne, août 2009) Panzer Vougier dans le camp Mercenaire.
  • Annus 1210 ~ Avatar (Belgique, juillet 2010) Lieutenant, chef du contingent caradocien chez les mercenaires du Dragon.
  • Annus 1210 ~ ConQuest of Mythodea (Allemagne, août 2010) Lieutenant dans le camp Mercenaire.
  • Annus 1211 ~ À l'ombre du Roi Cornu / InterCOM (Bretagne, mai 2011) Lieutenant à Nova Bretonnia.
  • Annus 1211 ~ ConQuest of Mythodea (Allemagne, août 2011) Lieutenant dans le camp de Terra.
  • Annus 1211 ~ Rencontre dans l'Ouest / InterCOM en Allemagne (Allemagne, novembre 2011) Lieutenant.
  • Annus 1212 ~ ConQuest of Mythodea (Allemagne, août 2012) Capitaine dans le camp de Terra.
  • Annus 1213 ~ ConQuest of Mythodea (Allemagne, août 2013) Capitaine dans le camp de Terra.
  • Annus 1214 ~ ConQuest of Mythodea (Allemagne, août 2014) Capitaine dans le camp de l'Unité.
  • Annus 1215 ~ ConQuest of Mythodea (Allemagne, août 2015) Capitaine dans le camp de l'Unité puis Archityrant & Kaïser Suprême de la Tyrannie Caradoc.
  • Annus 1216 ~ Drachenfest (Allemagne, juillet 2016) Capitaine-Vétéran, éleveur de Champions de la « Championnie Caradoc » dans le camp Rouge.
  • Annus 1217 ~ Kandorya (France, juillet 2017) Soldat sous l'identité de Bedaine des Haquebute de Talabheim.
  • Annus 1217 ~ ConQuest of Mythodea (Allemagne, août 2017) Panzer Vougier Vétéran dans le camp de l'Unité, chef du contingent de la Vengeance de Grièche.
  • Annus 1219 ~ Kandorya (France, juillet 2019) Serveur à la taverne « Les 3 couteaux » sous l'identité de Bedaine.
  • Annus 1219 ~ ConQuest of Mythodea (Allemagne, août 2019) Capitaine-Vétéran de la Caradoc Prime dans le camp Mercenaire.
  • Annus 1220 ~ Kandorya (France, juillet 2020) Meilleur client de la taverne « La Dérive ».
  • Annus 1220 ~ Inter-Kandorya d'automne (France, octobre 2020) Pire client chez Kenaz, artisant du cuir.

Autres évènements en relation avec le « Caradoc Univers » et / ou internationaux :

  • 2008 ~ Kriesghammer IV en Allemagne : Skaven du clan Eshin.
  • 2013 ~ Trollball d'Hiver à Rennes : Équipe de vieux chevalier Breutonniens « Lépreux Chevaliers »
  • 2015 ~ Trollball d'Hiver à Rennes : Équipe de geux Breutonniens « La famille Crassepieds »
  • 2018 ~ WH Larp en Russie : Pèlerin du Graal de la procession de la Sainte-Panse de Caradoc.