Pinacle
Informations :
Nom | Pinacle |
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Pseudo | |
Rôle | Tirailleur |
Grade | Soldat |
Contact |
D'aussi loin qu'il s'en souvenait, Pinacle a toujours vécu dans la rue, vivotant de petites rapines, communes pour les gens du bas-peuple. Le soir de ses dix-sept ans, il fut recueilli par un tavernier de sa ville, suite à une menace lancée par un sorcier. Tous ses compagnons d'infortune ont été emportés par une malédiction de paralysie générale le soir-même, alors qu'ils cherchaient protection chez les bonnes gens, et Pinacle fut partiellement touché alors qu'il essayait de faire entrer ses amis à l'abri de l'auberge où on lui avait offert un refuge ; depuis, ses genoux peuvent se paralyser de manière tout à fait aléatoire.
Il quitta le tavernier en très mauvais termes, le rendant responsable de la mort des autres mendiants, et quitta la ville. Pour se faire de l'argent facile, il se fit brigand, puis, lorsqu'il réussit à voler des armes, il s'improvisa bandit de grands chemins, et continua de voler, parce qu'au final, ça lui plaisait bien d'extorquer des voyageurs sans défenses, et ce en restant courtois.
Enfin, ça, c'était jusqu'au jour où il vit une équipée composée de Wolfir, de son frère Jaster, de Nathanaël, et de quelques autres personnes, à la recherche de la promise de Jaster. Pinacle allait les accoster (comprendre les alpaguer pour leur voler leurs bourses), quand il remarqua leurs armes. N'ayant aucune échappatoire, il provoqua Nathanaël, en apparence le plus défavorisé, en duel : si Pinacle gagnait, il lui était assuré que Nathanaël lui donnerait toutes ses richesses et que le bandit pouvait partir sans encombres ; en cas de défaite, Pinacle rejoignait l'équipée et renoncerait aux rapines jusqu'au sauvetage de la fiancée Van der Griff. Se pensant « la plus fine lame de la région », il croyait avoir toutes les chances de son côté, et c'est trop confiant qu'il fut battu misérablement par Nathanaël.
Lors de l'épopée, Pinacle s'est rendu compte que « finalement, c'est pas trop mal d'être du bon côté de la loi : on a des copains pour éviter de se faire blesser à tout bout de champ, on gagne des sous sans être préoccupé par la milice, et on évite aussi de se faire refouler de la taverne quand on veut se payer une binouze ». C'est ainsi qu'il entra dans la Caradoc en l'an de grâce 1216.