Breutonnie

De Caradoc
(Redirigé depuis Grassoulet)

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Ancienne carte de la Breutonnie
Le point bleu correspond à peu près à la campagne militaire « Sous les ailes sombres du Walallah » (Baronnie de Vauvert dans le Gras-Duché de Morvandie)

La Breutonnie ou Royaume breutonnien

[ HRPès ] : La Breutonnie est basée sur une retranscription médiévale et fantastique de l'Histoire de l'Europe occidentale. Vous pouvez l'assimiler à la France et à l'Angleterre entre le XIIIème et le XVème siècle mais aussi à la "Bretonnie" du monde de Warhammer.

On y trouve plusieurs fiefs et seigneuries aux multiples héraldiques et historiques alambiqués.

Les Sept Gras-Duchés de Breutonnie

Les terres royales sont réparties en Sept Gras-Duchés de différentes importances et réputations :

La Beurretagne

Dans le Nord-Ouest se trouve le Gras-Duché de Beurretagne, composé d'une part des terres de Haute-Beurretagne aussis appelées pays Grallo avec sa côte Nord vaillamment défendue au cours des âges et les Marches du Vinouillet à l'Est, territoire frontalié particulièrement surveillé du fait de sa proximité avec la Morvandie, et de la Basse-Beurretagne d'autre part, avec sa côte Sud proche de la basse Parinavie, et pour finir, de l'Arvorec'h dont les terres occidentales plongent dans le Grand Océan jusqu'aux archipels de Lamentec et des îles du Ponec. Le centre de la Beurretagne est principalement occupé par le massif des Monts Diarrhée et la légendaire forêt de Gros-Seliande.
Historiquement, la Beurretagne fut la dernière terre indépendante à être rattachée à la Breutonnie suite à plusieurs guerres et événements inattendus qui s'abattirent sur cette région convoitée. Finalement, le rattachement de la Beurretagne fut scellé par un mariage que beaucoup rechignent à accepter encore de nos jours, particulièrement dans les terres d'Arvorec'h.
Plus au Nord, et sans doute pas assez loin dans les mers se trouve l'île d'Albion et les archipels montagneux de Kiltish.
La Beurretagne regroupe les fiefs du Cornouillinnois, de Plougaloin, du Bousignant, des Arvorec'h (Arvorec'h du Nord, Arvorec'h Centrale et Arvorec'h du Sud), de la Gallorance et des Marches du Vinouillet.

La Queutardie

Au Sud de la Puire, fleuve délimitant la Beurretagne, et en façade Ouest du Royaume se trouve la Queutardie, parfois écrit l'Aqueutardie ou encore la Côte Hardie chez quelques érudits pédants. On dit que le climat doux et tempéré de cette région dont le front de mer borde le grand océan et s'étendant dans de vastes et luxuriantes campagnes fut le terreau fertile des anciens peuples dont la démographie explosa lorsqu'ils s'intallèrent sur cette terre, chaque femmes ayant généralement entre 26 et 30 enfants au cours de sa vie. Pour certain, il s'agirait également du berceau de la noblesse breutonnienne car bien qu'il n'y ait point de preuve, on entend souvent dire que c'est en Queutardie que serait né Gras-Heaume le Coq Errant, fondateur du Royaume breutonnien.
Mais s'il fait relativement bon vivre dans les terres intérieures et notamment le Comté de Castellanjou dont le rattachement au Gras-Duché fut récemment acté par décret de la Régente, la façade maritime en limite du territoire beurreton est souvent évitée par les voyageurs et même les malandrins de la pire espèce pour deux raisons : d'une part parce qu'il s'agit du Duché de Brotonnie, légué au Xème siècle aux puissants barbares Nordiques afin de clamer leur ardeurs belliqueuses, et d'autre part parce qu'il intègre la région maudite du Bassin d'Arcahon, un puissant et très ancien seigneur du Chaos qui aimait s'y baigner entre deux tentatives de destruction du monde dit-on. Seuls les Brotonniens sont capables de se délecter des terribles moules du Chaos que l'on peut y pêcher à ses risques et périls.

La Morvandie

Au Nord-Est maintenant, se situe la Morvandie et ses enclaves vikinghers plus au Nord qui bénéficient d'une relative autonomie. Proche de la frontière beurretonne se situe l'un des lieux de pèlerinages les plus réputés de Breutonnie : l'abbaye du Mont Saint-Missel qui émerge des étendues de vases et dont la forme de la toiture concave rappelle celle d'un grand livre ouvert. On dit que sa construction provoqua un envasement de certains fiefs de Beurretagne comme la peu avenante seigneurie de Ranceval.

La Chiampagne

À l'Est : la Chiampagne et la capitale Royale : Couilleronne, dont les hautes tours de pierres blanches sont la fierté du Royaume.
Duchés notables :
Le Bouchon de Chiampagne : dont les belliqueux seigneurs gardent fièrement la passe menant à l'Empire.
Le Gras-Queunelles : Riche Duché du Sud de la Chiampagne, aux frontières de la Preuvance.
À quelques jours de marches au Nord-Est de la Capitale, se trouve le riche territoire libre de Bourges-en-Bourg, qui fait office de banque royale.
Plus à l'Est encore, la dernière grande ville avant l'Empire, Grassebourg, dont les toitures des plus hauts édifices telle la cathédrale Notre-Dame de la Gougoutte sont recouverts une fois l'an d'une couche de graisse protectrice.

La Preuvance

Au Sud-Est : la Preuvance, territoire ensoleillé parsemé de nombreuses forteresses afin de résister par le passé aux envahisseurs d'Arabrie et de Mauritanie. À l'Est, par-delà la frontière de la Breutonnie se trouve une vaste montagne recouverte de forêts, demeure de la Fée Enchantrollesse. Ce territoire est nommé le Royaume Elfette.

Le Pays Autarque

Au Sud-Ouest et au Centre : le vaste Pays Autarque. Anciennement appelé « Gras-Duché de Parfaite Autarquie » avant que le Roi Séraphin le Malin ne fasse modifier son nom par une appellation moins séditieuse.
Ce Duché très étendu abrite la Cité dite « libre » de Combletrou, connue pour sa relative autonomie, son port marchand mais plus encore pour ses mœurs étranges...
Notons également les formidables sites souterrains des anciens peuples, telles les grottes de Lavemaux, dont les formidables peintures rupestres nous dépeignent certaines histoires oubliées des nains, des elfes, des gnomes et des gobelins...

La Gascouillie

Puis encore au Sud de cela se trouve la Gascouillie qui fait tampon avec les territoires étrangers de la péninsule Ibériaque, faisant eux-mêmes tampons avec la lointaine Mauritanie au-delà de la mer de Saphyr et du contesté Détroit de Chibraltar.
Lieux notables : La forteresse de Mortadelle, théâtre de nombreuses batailles dont le siège du Calife Noir en 1080.

Monarchie & Pouvoir

Les terres royales sont encore sous vassalité du Prince Grohann Ier mais ce dernier, désespéré de ne pas avoir encore réussit à accomplir les Trois Haut-Faits qui feraient de lui un Roi, a préféré laisser la régence du royaume à sa tante bien aimée, Dame Chateurine de Branle qui exerce un pouvoir fort depuis la capitale, parvenant à se faire respecter même des Ducs les plus récalcitrants. « Une main de velours pour frapper, un gantelet pour caresser », telle est sa devise.

Mais depuis le début de la période de régence en 1205, des voix dissonantes commencent timidement à s'élever et on entend parfois parler de la Breutonnie sur un ton moqueur : le « royaume sans roi »...

Le système politique féodal est fortement ancré et ce sont les Gras-Ducs des Sept Gras-Duchés de Breutonnie qui assurent l'autorité royale dans les régions auprès des seigneurs et du peuple. Ils peuvent lever l'impôt mais ne peuvent frapper monnaie et doivent hommage à leur suzerain royal en cas de guerre avec des puissances étrangères.

Les Gras-Ducs se substituent donc localement au Roi et exercent le même pouvoir que lui dans leurs duchés respectifs... du moins en théorie car suivant les duchés, le pouvoir des Gras-Ducs peut varier au bénéfice des Seigneurs, Comtes ou Barons locaux, qui seront parfois plus riches, mieux organisés politiquement et même militairement et ayant le soutient de la population tandis que les Gras-Ducs pâtiront de leurs liens avec le Roi au mieux lointain, au pire absent. Ainsi, dans le vaste Pays Autarque, le Gras-Duc se cantonne aux affaires à proximité de la grande ville où il réside, et laisse le soin aux seigneurs de régner sur d'immenses fiefs, ou des cités autonomes aux mœurs étranges comme la Cité libre de Combletrou.

La Compagnie Caradoc est donc originaire de Breutonnie, de par son appartenance au Gras-Duché de Beurretagne au Nord-Ouest.

Liste des titres de noblesse par ordre hiérarchique :

  • Roi & Reine : Le pouvoir suprême du royaume de Breutonnie. Ils siègent à Couilleronne, la capitale.
  • Comte & Comtesse : Titre rarissime donné par le pouvoir royal, indépendant des autres titres déjà acquis ou des terres possédées. Il confert l'honneur d'être un représentant légitime du roi, le plus souvent pour contre-balancer l'autorité d'un Gras-Duc dans une contrée éloignée de la capitale.
  • Gras-Duc : il y en a sept en Breutonnie, correspondant aux sept Gras-Duchés que compte le royaume. Ce titre ne peut échouer qu'à un homme avéré (ayant eu une descendance).
  • Duc & Duchesse : depuis le XIème siècle, ce titre est donné par les Gras-Ducs qui ont ordre du Roi de veiller à ne point trop morceler le territoire. Les Gras-Ducs sont donc très attentifs aux duchés sans héritier mâle afin de pourvoir fusionner deux duchés via un mariage, qu'ils pourront ensuite allègrement re-diviser au besoin.
  • Baron & Baronne : titre donné par les Comtes ou les Gras-Ducs, en général un territoire restreint avec un point névralgique militaire ou marchand à surveiller. En cas de défaillance, le titre peut être remis à une autre famille, ce qui est une terrible affliction pour la famille déchue. Lors de la découverte de nouveaux territoires, on nomme aussi arbitrairement des Barons, représentants de l'autorité et de la suprématie Breutonnienne sur ces nouvelles terres.
  • Marquis & Marquises : titre honorifique donné par un Gras-Duc pour service rendu, la plupart du temps pour une restitution de terre qui permet la création d'un nouveau duché. Les Marquis sont donc un rang noble mais rarement acquis pour des faits de guerre.
  • Seigneur :
  • Chevalier :
  • Banneret : Ils portent la bannière que leur a donné leur maitre qui est soit chevalier, soit seigneur et se doivent de rejoindre ses rangs en cas de conflits. Ce n'est pas un vrai titre de noblesse car il ne donne pas lieu à une lettre et n'est pas transmis aux descendants du banneret.

Les Rois Breutonniens

Les Saints Breutonniens

Les Alcools et vins Breutonniens

Gastronomie Breutonnienne

Le Grassoulet

Plat mijoté à base de viandes, de choux et de haricots cuisinés dans la graisse animale.
On dit qu'un bon grassoulet commence à sortir avant-même qu'on ait finit de le manger.

La Tralliflette

Spécialité brotonnienne à base de tubercules, de viande de porc et de fromage fondu, ce plat est traditionnellement consommé par les Brotonniens au cœur de l'été lors des fêtes des moissons entre le jour de la panse et la Saint-Caradoc.

La Grallette

Spécialité emblématique de la Beurretagne, la gralette se compose d'une couche de couenne de porc pannée dans du beurre et de la farine de blé noir. Elle peut être agrémentée de diverse façon et repliée sur elle-même ou encore roulée autour d'un morceau de viande ou d'un légume. La recette la plus courante reste évidemment la fameuse grallette-saucisse.
La Légende dit que le Roi fondateur du Royaume breutonnien, Gras-Heaume le Coq-errant, fut sauvé par l'ingestion de plusieurs grallette alors qu'il se mourrait de faim lors d'une interminable bataille l'ayant obligé à sauter pas moins de six repas d'affilé pour défendre sans discontinuer la côte beurretonne face des horde d'assaillants venus des mers. Requinqué grâce à ce met qu'il avait pu rouler et manger d'une seule main tout en continuant à se battre de l'autre, il décida alors de laisser le territoire beurreton libre, et nomma le chef autochtone Gronan, allié à la couronne de Breutonnie sans en faire son vassal. Pour célébrer ce Haut-Fait, lorsque l'on fait des grallettes pour plusieurs convives, on cache parfois un rivet d'armure, un anneau de cotte de maille ou autre objet métallique dans une des grallettes. Celui qui trouve l'objet gagne le titre de roi. Cette pratique est donc appelée grallette des Rois, en l'honneur des souverains Gronan et Gras-Heaume.
Suivant la localité, la grallette n'est pannée que d'un seul côté comme en pays Grallo ou bien des deux côtés comme c'est le cas en Arvorique.
La grallette peut également être appréciée seule ; on parle alors de grallette-nature.
Par un édit ancien relatif aux bonnes mœurs, il est interdit de se faire une grallette dans un lieu de culte.
Attention, la « grallette espignole » n'a rien à voir avec une quelconque recette mêlant grallette et piment d'Espignole, localité pourtant réputée pour ses épices. Il ne s'agit là que d'une plaisanterie douteuse que font les habitants de Preuvance aux étrangers.

Danses Breutonniennes

Coquine et amusante, la danse de la briganviole est appréciable autant à pratiquer qu'à regarder.
La Breutonnie est un royaume fort réputé dans les Arts et notamment la qualité de ses danses folkloriques ou nobles dont voici une liste non exhaustive :

La Beurrée

Danse traditionnelle de Beurretagne, où les danseurs frottent énergétiquement le sol avec les semelles de leurs souliers comme on le ferait pour enduire de beurre le fond d'une marmite.

La Gigouillette

Danse très répandue comportant de nombreux petits pas et mouvements de pieds. Les meilleurs danseurs s'exécutent en posant une chopine bien remplie de bière sur leur tête qui ne doit jamais se renverser.

La Briganviole

Danse amusante en duo qui consiste à ceinturer son ou sa partenaire pour opérer des petits frottement de bassin contre ses cuisses ou son séant. Un danseur de briganviole aguerrit parvient à ceinturer le corps et les bras en même temps et peut ainsi soulever son ou sa partenaire tout en réalisant un tour sur lui-même.

Le Branlourd

Ronde où l'on tente d'écraser lourdement le pied de la personne se trouvant senestre. En cas de réussite, la personne touchée doit sortir de la ronde. Le but est d'être le dernier à ne pas avoir eu le pied écrasé mais le Branlourd finit plutôt en pugilat la plupart du temps.

La Bouinette

Danse timide des convives de seconds plans qui consiste à simplement plier légèrement une jambe puis l'autre afin d'opérer un balancement mollasson du haut du corps.

La Foirandole

Des paysans breutonniens exécutant une tournebourre à l'occasion de la fête du grand-lisier.

La Tournebourre

La Tournebourre consiste à danser en tournant autour d'un poteau ou d'un mât avec une main posée sur celui-ci. En se retenant au mât, le danseur peut contrer la force « sent-qui-pète » comme l'explique le savant Amandistar de Chalaburne, et ainsi continuer à tourner de plus en plus vite.

La Chiennouille

Serpentin dansant où les participants se serrent les uns derrières les autres tout en se tenant par les hanches. La personne en tête du serpentin est appelée le Chiennard ou la Chiennasse et est libre de choisir la direction où aller, sans jamais avoir à croiser ou interrompre la Chiennouille. Le danseur de queue est appelé le queutard ou la queutarde. Cette position étant considérée comme honteuse, le but du queutard est d'inviter physiquement les danseurs potentiels à rejoindre la chiennouille en prenant place derrière lui.
Exemple de chant lors d’une chiennouille : « C’est la chiennouille qui redémarre, c’est Caribert le chiennard... »

Le Menouillet

Danse très prisée de la noblesse. On « menouille » en décrivant de petit cercle de la pointe de son chausson tout en sautillant avec légèreté.
On « menouille » mieux en collant moulant et pourpoint ajusté qu'en portant d'amples vêtements, cela va de soi.

Œuvres réputées

Le paillasson de Boyaux

Impressionnant tapis essuie-pied brodé relatant la formidable épopée de Gras-Heaume le Coq-errant pour la fondation du royaume de Breutonnie.
Le paillasson a été de nombreuses fois recoupé pour servir aux seuils des très nombreuses portes du château royal de Couilleronne et très sommairement recousu suite à une forte injonction de la Fée Enchantrollesse du temps de Chiarles le Faible, avant d'être à nouveau déchiré par Fulbert le Bilieux qui s'était pris les pieds dedans alors qu'il rentrait d'une partie de chasse pluvieuse et peu fructueuse.
De nos jours, la régente Chateurine de Branle a émis l'idée de confier l'entretien du paillasson sacré aux moines ballotins pour un curage profond des nombreuses strates d'impuretés accumulées au fil des siècles dans le but de purifier l'air du palais royal et de réduire les risques de chutes.
Les dimensions exceptionnelles du paillasson de Boyaux devaient à l'origine permettre à Gras-Heaume, premier Roi de Breutonnie, de relier son château à la demeure de la Fée Enchantrollesse sans se crotter les pieds. Les dernières mesures parlent d'un paillasson de huit coudées de troll de large par deux-milles-six-cent-trente-neuf clochers de long ce qui en fait le plus long ouvrage du vieux monde. C'est lorsque le Roi Fulbert fit jeter le tapis en dehors de la capitale que les Elfes Sélenites apparurent pour la première fois car ils avaient été intrigués par ce tapis visible selon eux depuis la lune.

Autres occupations Breutonniennes

Le Bouseballe

Amusement populaire où deux équipes s'affrontent avec des déjections bovines.
Voir l'ouvrage spécifique sur Le Bouseballe.

La biture de fer

Concours de beuverie en deux adversaires, souvent à la gnôle locale. Le vainqueur est celui qui tient le plus grand nombre de verre sans perdre connaissance. Suivant les régions, les régurgitations peuvent être éliminatoires. La compétition la plus réputée est celle de la grande ville portuaire de l'Angouille, réputée pour faire venir les meilleurs participants étrangers.

La lutte breutonnienne

On ne présente plus ce noble art où le but est de le contraindre son adversaire à l'abandon ou à la disqualification par vomissure ou défécation. Suivant les catégories, la perte d'urine peut aussi être éliminatoire. Pour les amateurs avertis, il existe une liste des prises les plus prestigieuses en lutte breutonnienne.

La lutte érotique

Bien qu'elle n'égale évidemment pas la traditionnelle lutte breutonnienne, la lutte érotique de Combletrou rencontre un intérêt certain depuis que les compétitions sont ouvertes aux hommes. Bien sûr aucun d'entre eux n'a encore pu remporter une victoire face aux terribles gladiatrices de la Cité libre.

Le pet-en-bouche

Gymnastique amusante pour petits et grands, servant à dédramatiser les gaz corporels et souvent conseillée comme pratique d'initiation à la Lutte Breutonnienne.

La biscotte

Jeu de groupe originaire du fief de Montequeue, très apprécié des hommes du guet et des veilleurs de nuit. Il est dit que son inventeur et champion incontesté est tombé dans une profonde léthargie suite à un trop grand nombre de parties jouées... et gagnées.

Le chausson l'angouillois

Originaire de la grande ville portuaire de l'Angouille, le chausson est un ensemble de technique de combat avec les poings et la pieds pratiqué par les marins de la côte Nord du royaume. Le grand maître du chausson est actuellement le capitaine du Loufier Volant, Gringeaume le Bonheur.

La taloche

Ensemble de technique de combat debout ou à genoux utilisant principalement les mains, ouvertes ou fermées.
La « taloche de fer » est un dérivé servant à l'origine à tester les casques et les heaumes, et requiert l'utilisation et souvent la desctruction d'une poèle en fer. Cela donne souvent lieu à des joutes de kermesses.

La tatane

Autre technique de combat debout utilisant principalement les membres inférieurs, la tatane est pratiquée surtout dans le Sud de la Breutonnie mais s'est aussi développée dans de lointaines contrées grâce aux fiers marins Breutonniens. Ainsi, on trouvera à l'autre bout du monde, au « pays du crottin calme » les mêmes techniques sous le nom de Tatane-couenne-doux.

Les Maladies Breutonniennes

Faune et Flore Breutonniennes

Les Restes du Monde

Chope Onomastique

Lexiquanus