« Wido » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
mAucun résumé des modifications |
||
(11 versions intermédiaires par 3 utilisateurs non affichées) | |||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Perso|PHOTO=Wido.JPG|PSEUDO=Dwalan|ROLE=Tirailleur|GRADE= | {{Perso|PHOTO=Wido.JPG|PSEUDO=Dwalan|ROLE=[[Tirailleur]]|GRADE=[[Trousorier]]|CONTACT=[http://letrollbaveur.fr/memberlist.php?mode=email&u=692 Messagerie]}} | ||
[[Category:Inter-Caradoc 2009]] | |||
[[Category:Membre 2010]] | [[Category:Membre 2010]] | ||
[[Category:Membre_2011]] | [[Category:Membre_2011]] | ||
[[Category:Membre_2012]] | [[Category:Membre_2012]] | ||
[[Category:Membre_2013]] | [[Category:Membre_2013]] | ||
[[Category:Membre_2015]] | |||
[[Category:Marchands ambulants]] | [[Category:Marchands ambulants]] | ||
[[Wido]] ( | [[Wido]], « celui qui habite la forêt » en vieux parlé, est un paysan, bûcheron et artisan breutonnien originaire de [[Morvandie]]. | ||
Suite à de tragiques événements, il deviendra marchand ambulant, parcourant les routes et villages reculés du royaume et succombera finalement à l'appel du nouveau monde où il rejoindra la Compagnie Caradoc sur l'île de [[Mythodea]]. | |||
==1206== | |||
Son village dévasté (voir le récit de la campagne « [[1206 Sous les ailes sombres du Valhallaluia|Sous les ailes sombres du Valhallaluia]] »), Wido et son amie [[Ditlinde]] n'ont d'autre choix que de partir sur les routes afin de trouver une nouvelle contrée d'accueil. Ils avaient même pensé un temps suivre les survivants de la compagnie Caradoc dans leur déroute mais s'étaient ravisés car ceux-ci semblaient en mauvaise posture vu la tournure des événements. Ils tâcheraient tout de même de garder un contact épistolaire avec eux… | |||
Sur les chemins, ils s'improvisent marchands ambulants : Wido fabrique hypocras, hydromel et autres breuvages forts appréciés tandis que [[Ditlinde]] concocte potions de soins et colifichets inspirés des [[Saints Breutonniens]] des régions qu'ils traversent. Par le plus grand des hasards, ils retrouvent leur compagnon [[Stig]] qui avait tenté le métier de [[troubadour]] à [[Roann]], la capitale de [[Beurretagne]]. Ensemble, ils continuent leur itinérance plusieurs années jusqu'à ce qu'ils entendent à nouveau parler de la Compagnie Caradoc. Celle-ci recrute dans les villes côtières de l'Ouest du royaume en vue d'une grande campagne visant à porter un coup définitif aux forces de la ruine sur [[Mythodea]]. | |||
==1210== | |||
Les trois amis retrouvent donc plusieurs connaissances caradociennes et rencontrent enfin le [[Kaïser]] dont ils ont souvent entendu parler. En accord avec lui, ils proposent de créer [[La règle du « cinq pour un »]] dans [[le Codex]] afin de pouvoir prêter serment en tant que non combattants et vont vendre leurs produits mais c'est en vendant des pommes sur le champ de bataille et en distribuant de l'eau qu'ils feront fortune. | |||
==1211== | |||
[[Ditlinde]] restera en Nova Bretonnia pour prendre possession de nos terres et commencer à mettre en place des échanges commerciaux tandis que Wido et [[Stig]] intègrent le régiment de tirailleur afin de se remplir les bourses avec la belle solde de la Compagnie cette année-là. Une tentative de création du service de "messagers de guerre" échoue. | |||
==1212== | |||
[[Ditlinde]] fait fructifier nos actifs et Wido monte quelque sorte en grade puisqu'il est promu "gardien du coffre" et remplira la fonction d'Intendant conjointement avec le sergent Sire [[Max Du Boulet]]. Autre fait marquant : Wido "épouse" le capitaine de la garde du camp de la Terre, entrant ainsi dans une grande famille quasi-immortelle. Par contre, c'est un peu inquiétant car nous n'avons aucune nouvelle de [[Stig]] depuis quelques temps... | |||
==1213== | |||
Wido retourne donc encore une fois en campagne militaire, sans Ditlinde. Quelques sous ne feront pas de mal car les graines manquent encore pour que les champs soient exploitables. Mais quand tout le monde décide de franchir le portail, Wido fait demi-tour et retourne auprès de sa douce. | |||
==1214== | |||
Wido reste à Nova Bretonnia, l'hiver est long et la belle saison particulièrement sèche, favorisant la profusion de certains insectes. Les récoltes seront mauvaises cette année, il faut mieux rester travailler aux champs pour éviter une catastrophe. | |||
==1215== | |||
Wido reprend du service dans la Compagnie Caradoc pour leur deuxième incursion dans le [[Calendrier Bretonnien 1214 (Mythodea)#Le Miroir et la Caradoc|monde du miroir]]. [[Ditlinde]] l'accompagne également.<br> | |||
Le fonctionnement de la Compagnie est bien rodé. [[Grièche]], le nouveau sergent tirailleur, donne un nouveau souffle à ce régiment aux compétences multiples. Malgré des ennemis puissants, les champs de bataille virent parfois presque à la promenade de santé. Bref, Wido et les siens passent du bon temps loin de leurs préoccupations agricoles habituelles. Voyant leur décontraction, le [[Capitaine]] [[Rancelot]] leur lance une boutade en les appelants « ses touristes de guerre ». | |||
Le Capitaine semble justement se dire que la Compagnie n'a plus vraiment lieu d’œuvrer en dehors de ses terres et qu'il serait peut-être temps de songer à prendre une retraite méritée et à dissoudre la Compagnie. Après tout, cela fait déjà longtemps que nous ne fonctionnons plus comme des mercenaires. | |||
Mais suite à la dernière bataille de cette campagne, le Capitaine semble très perturbé. Il ordonne la dissolution de la Compagnie, puis se ravise, il parle de prendre le titre de « <i>Tyran</i> » pour marcher sur [[Nova Bretonnia]] dans un élan guerrier peu compréhensible, puis nous donne permission et souhaite un bon retour à tout le monde... À quoi peut bien être dues ces sautes de caractères ? Une insolation ? Un alcool frelaté ingurgité avant la bataille des 4 grammes ? Ou plus grave ? | |||
Mais la dernière soirée a tôt fait de rassurer Wido sur l'état du Capitaine qui enchaîne les boutades et les récits des faits d'armes plus ou moins héroïques. Tout semble rentrer dans l'ordre et pour Wido et Ditlinde, c'est une retraite militaire définitive qui se profile. Ils s'en retourneront sur leurs terres, ainsi que bon nombre d'anciens, pour y vivre de leur labeur. | |||
==Une retraite active== | |||
Depuis le retour au calme à Nova Breutonnia, Wido le bûcheron s'est lancé dans marché bien plus lucratif que ses habituels fabrications de manches d'outils agricoles ; il réalise en effet des « bâton de massage » en bois travaillé qu'il a appelé les « wido-masseurs » et qui rencontrent un succès croissant auprès des dames et des mages, ces derniers étant connus pour être naturellement friands de baguettes plus ou moins magiques... |
Version actuelle datée du 16 janvier 2024 à 20:11
Informations :
Nom | Wido |
---|---|
Pseudo | Dwalan |
Rôle | Tirailleur |
Grade | Trousorier |
Contact | Messagerie |
Wido, « celui qui habite la forêt » en vieux parlé, est un paysan, bûcheron et artisan breutonnien originaire de Morvandie.
Suite à de tragiques événements, il deviendra marchand ambulant, parcourant les routes et villages reculés du royaume et succombera finalement à l'appel du nouveau monde où il rejoindra la Compagnie Caradoc sur l'île de Mythodea.
1206
Son village dévasté (voir le récit de la campagne « Sous les ailes sombres du Valhallaluia »), Wido et son amie Ditlinde n'ont d'autre choix que de partir sur les routes afin de trouver une nouvelle contrée d'accueil. Ils avaient même pensé un temps suivre les survivants de la compagnie Caradoc dans leur déroute mais s'étaient ravisés car ceux-ci semblaient en mauvaise posture vu la tournure des événements. Ils tâcheraient tout de même de garder un contact épistolaire avec eux…
Sur les chemins, ils s'improvisent marchands ambulants : Wido fabrique hypocras, hydromel et autres breuvages forts appréciés tandis que Ditlinde concocte potions de soins et colifichets inspirés des Saints Breutonniens des régions qu'ils traversent. Par le plus grand des hasards, ils retrouvent leur compagnon Stig qui avait tenté le métier de troubadour à Roann, la capitale de Beurretagne. Ensemble, ils continuent leur itinérance plusieurs années jusqu'à ce qu'ils entendent à nouveau parler de la Compagnie Caradoc. Celle-ci recrute dans les villes côtières de l'Ouest du royaume en vue d'une grande campagne visant à porter un coup définitif aux forces de la ruine sur Mythodea.
1210
Les trois amis retrouvent donc plusieurs connaissances caradociennes et rencontrent enfin le Kaïser dont ils ont souvent entendu parler. En accord avec lui, ils proposent de créer La règle du « cinq pour un » dans le Codex afin de pouvoir prêter serment en tant que non combattants et vont vendre leurs produits mais c'est en vendant des pommes sur le champ de bataille et en distribuant de l'eau qu'ils feront fortune.
1211
Ditlinde restera en Nova Bretonnia pour prendre possession de nos terres et commencer à mettre en place des échanges commerciaux tandis que Wido et Stig intègrent le régiment de tirailleur afin de se remplir les bourses avec la belle solde de la Compagnie cette année-là. Une tentative de création du service de "messagers de guerre" échoue.
1212
Ditlinde fait fructifier nos actifs et Wido monte quelque sorte en grade puisqu'il est promu "gardien du coffre" et remplira la fonction d'Intendant conjointement avec le sergent Sire Max Du Boulet. Autre fait marquant : Wido "épouse" le capitaine de la garde du camp de la Terre, entrant ainsi dans une grande famille quasi-immortelle. Par contre, c'est un peu inquiétant car nous n'avons aucune nouvelle de Stig depuis quelques temps...
1213
Wido retourne donc encore une fois en campagne militaire, sans Ditlinde. Quelques sous ne feront pas de mal car les graines manquent encore pour que les champs soient exploitables. Mais quand tout le monde décide de franchir le portail, Wido fait demi-tour et retourne auprès de sa douce.
1214
Wido reste à Nova Bretonnia, l'hiver est long et la belle saison particulièrement sèche, favorisant la profusion de certains insectes. Les récoltes seront mauvaises cette année, il faut mieux rester travailler aux champs pour éviter une catastrophe.
1215
Wido reprend du service dans la Compagnie Caradoc pour leur deuxième incursion dans le monde du miroir. Ditlinde l'accompagne également.
Le fonctionnement de la Compagnie est bien rodé. Grièche, le nouveau sergent tirailleur, donne un nouveau souffle à ce régiment aux compétences multiples. Malgré des ennemis puissants, les champs de bataille virent parfois presque à la promenade de santé. Bref, Wido et les siens passent du bon temps loin de leurs préoccupations agricoles habituelles. Voyant leur décontraction, le Capitaine Rancelot leur lance une boutade en les appelants « ses touristes de guerre ».
Le Capitaine semble justement se dire que la Compagnie n'a plus vraiment lieu d’œuvrer en dehors de ses terres et qu'il serait peut-être temps de songer à prendre une retraite méritée et à dissoudre la Compagnie. Après tout, cela fait déjà longtemps que nous ne fonctionnons plus comme des mercenaires.
Mais suite à la dernière bataille de cette campagne, le Capitaine semble très perturbé. Il ordonne la dissolution de la Compagnie, puis se ravise, il parle de prendre le titre de « Tyran » pour marcher sur Nova Bretonnia dans un élan guerrier peu compréhensible, puis nous donne permission et souhaite un bon retour à tout le monde... À quoi peut bien être dues ces sautes de caractères ? Une insolation ? Un alcool frelaté ingurgité avant la bataille des 4 grammes ? Ou plus grave ?
Mais la dernière soirée a tôt fait de rassurer Wido sur l'état du Capitaine qui enchaîne les boutades et les récits des faits d'armes plus ou moins héroïques. Tout semble rentrer dans l'ordre et pour Wido et Ditlinde, c'est une retraite militaire définitive qui se profile. Ils s'en retourneront sur leurs terres, ainsi que bon nombre d'anciens, pour y vivre de leur labeur.
Une retraite active
Depuis le retour au calme à Nova Breutonnia, Wido le bûcheron s'est lancé dans marché bien plus lucratif que ses habituels fabrications de manches d'outils agricoles ; il réalise en effet des « bâton de massage » en bois travaillé qu'il a appelé les « wido-masseurs » et qui rencontrent un succès croissant auprès des dames et des mages, ces derniers étant connus pour être naturellement friands de baguettes plus ou moins magiques...